Le départ se rapproche… je craque déjà.
Depuis une semaine, quand je préviens mon entourage de mon départ vers le jeûne thérapeutique, j’observe une tension interne, une appréhension.
Depuis 1 semaine, j’essaie d’arrêter les douceurs,le vin, la bière, le café et le pain !
Plus j’y pense, plus la frustration monte, plus j’en ai envie.
En général, je n’en ai pas envie, juste une ou deux fois par semaine, et je me fais ce plaisir librement.
Là, rien que le fait de penser que je ne dois pas le faire, me donne une furieuse envie de carrés de chocolat, pépito, un café, un croûton de pain.
Rien que le fait de me dire que je dois arrêter le café, j’en meurs d’envie et je craque.
Alors que pendant quarante ans je n’ai pas pris de café, là j’en ai trop envie !
C’est quoi ce mécanisme de réaction à la frustration.
C’est bizarre car j’en ai envie et en même temps quand je craque je n’y trouve aucun plaisir, juste une pulsion assouvie avec un sentiment plutôt de dégoût.
ça me fait penser à ce que me décrivent mes patientes boulimiques, ou addictes à des substances.
J’ai arrêté la viande rouge, j’ai craqué à midi sur le jambon de Parme avec le melon.
Je suis rebelle ou quoi ?
J’assimile inconsciemment jeûne avec restriction.
Et vous comment çà se passe dans votre tête si vous choisissez d’arrêter le sucré, le café, la viande ou autre ?
Quelles réactions, pulsions alimentaires cela déclenche-t-il en vous ?
Le jeûne thérapeutique, pourquoi ? à quoi çà sert ? Pour qui ?
Où ? Buchinger, Allemagne.
Combien de temps? 21 jours, 3 semaines.
Comment faire? mode d’emploi, méthode.
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