Le moment est donc venu d’introduire l’aspect émotionnel de la cohérence cardiaque.
De même que l’intestin ou la colonne vertébrale, le cœur dispose de son propre réseau de neurones semi-autonomes.
Il possède également une petite usine à hormones capable de générer notamment de l’adrénaline et de l’ocytocine, l’hormone de l’amour.
En un mot, le cœur pense et envoie des signaux au cerveau et à l’organisme dans son ensemble. Comme le précise David Servan-Schreiber :
« l’importance du cœur dans le langage des émotions n’est pas qu’une image. Le cœur perçoit et ressent. Et, quand il s’exprime, il influence toute la physiologie de notre organisme, à commencer par le cerveau.» (p.50)
Et de conclure: « En apprenant – littéralement – à contrôler notre cœur, nous apprenons à apprivoiser notre cerveau émotionnel, et vice versa.»
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