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120 réponses à “Le rôle du sophrologue”
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Comme lors de mon commentaire sur la leçon précédente, le rôle du sophrologue devrait être pris en compte bien avant et surtout lors de l’EPP. L’accompagnement sophrologique qui pourrait se faire dès lors serait incontestablement plus concret et porteur de résultat bénéfique pour la mère, l’enfant et dans la parentalité. Il permettrait également une veille psychocorporelle, (voire psychosomatique). Le sophrologue pourrait même s’avérer être “le veilleur” et le détecteur des besoins spécifiques de la mère et de son environnement au profit des professionnels responsables du suivi médical de la mère et de sa grossesse. Les mères, le bébé et le père ne s’en porteraient que mieux, et les professionnels de santé mieux informés et plus avertis.
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Bonjour Francine
Et bien en fait, ce rôle existe ! Depuis peu, puisque cela date de cette année, mais désormais les femmes peuvent déclarer une sage-femme référente au même titre qu’un médecin traitant et c’est cette sage-femme qui doit assurer ce rôle.
La sage-femme ayant une double casquette (médicale et d’accompagnement psychique), cela s’y prête bien.
Je vous mets ici la source pour aller plus loin !: https://www.ameli.fr/vienne/assure/sante/devenir-parent/grossesse/grossesse-en-bonne-sante/grossesse/sage-femme-referente-suivi-grossesse
Charlotte
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Très intéressant, merci,
Je ne crois pas qu’en Suisse, en tant que sophrologue, on ne puisse pas utiliser les termes de “Préparation à la naissance et à la parentalité”. Mais je vais me renseigner. -
Merci pour ces précieux conseils. Comment connaître précisément les spécificités des différents lieux d’accouchements (en + de ce que vous nous avez déjà présenté)?
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Bonjour Emmy
Oups, j’avais manqué cette question !
je vous conseille de vous renseigner : consulter les sites internet, voir s’il y a des associations de soutien à la parentalité qui pourraient vous renseigner…
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C’est important d’insister sur le fait de “passer la main” et de “rester à sa place”, merci pour ces clarifications. C’est en restant carré et professionnel que nous gagnerons notre légitimité auprès des professionnels de santé et du grand public.
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Tout à fait Charlotte !
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Merci pour ces explications qui nous permettent en tant que sophrologue de garder notre juste place et de pouvoir s’entourer de professionnels compétents pour “passer la main” quand cela sera nécessaire.
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il y a 24 ans après un 1er accouchement (difficile) et pour ma 2ème grossesse j’ai eu la chance d’être dirigée par mon gynécologue vers une SF sophrologue pour me préparer à l’accouchement. Mon 2ème accouchement a été très facile et très serein grâce à cela.
c’est grâce à cette expérience positive que j’ai eu envie de devenir sophrologue par la suite et aujourd’hui de me spécialiser en périnatalité. -
Merci pour ces informations, notamment sur le rappel de l’interdiction d’utiliser les termes de préparation à la naissance/grossesse et ainsi éviter tout problème avec le corps médical.
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merci pour ces conseils, notamment auprès de nos partenaires, différents lieux etc.
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Merci beaucoup pour ce partage!
Elodie -
Merci pour ce cours, ainsi que l’article suivant. J’ai pris connaissance de certains commentaires, et vos réponses. Une question me reste toujours cependant : pourquoi déconseillez vous d’utiliser le terme “préparation mentale à la naissance”? Merci d’avance pour votre retour.
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Bonjour Mélina
Parce que les termes “préparation à l’accouchement”, “préparation à la naissance”, “préparation à la parentalité” correspondent à la dénomination d’un acte médical. Les utiliser nous expose à “l’exercice illégal de la médecine”. Rajouter le mot “mentale” est une pirouette : ça ne change strictement rien au fait que c’est interdit.
De nombreuses sophrologues me font remonter des menaces de la part des ordres départementaux des sages-femmes quant à l’usage de ces termes. Autant éviter cela !
(et je sais que c’est injuste, mais pour l’instant, la loi est ainsi)L’autre raison, et peut-être cela sera-t-il plus limpide quand vous aurez terminé cette masterclass, c’est qu’on ne fait PAS de la préparation MENTALE. C’est une préparation du corps, du mental, de la sphère émotionnelle, des valeurs. En réalité, c’est une préparation existentielle !
Limiter cela à une simple “préparation mentale” est extrêmement restrictif et démontre d’une méconnaissance totale des phénomènes complexes engendrées par la maternité.
De mon point de vue, c’est préjudiciable pour la valeur de l’accompagnement que nous proposons et c’est préjudiciable pour les futures mamans qui croient alors que c’est juste se préparer comme on se préparerait à n’importe quel examen scolaire (et qui vont déchanter quand elles vivront la vérité).
[D’ailleurs, je ne parle pas non plus de prépa mentale pour un examen scolaire… Là, aussi, c’est méconnaitre toute la force du deuxième degré de la méthode sophro]Cela répond-il à votre question ?
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Merci beaucoup pour ces informations concernant le rôle du sophrologue et également ses limites.
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Merci pour ces très pertinents éclaircissements sur nos potentialités d’intervention et l’importance de bien connaître nos différents partenaires et comment travailler intelligemment avec eux dans l’intérêt de nos clientes
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Merci beaucoup pour ces précision d’autant que certaines écoles de sophrologues n’utilisent donc pas les bons termes légaux. Jai également lu votre commentaire plus bas qui répond à une question pertinente c’est très clair maintenant pour moi . Les mots employés dans notre communication sont essentiels merci beaucoup
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Merci pour cette vidéo. En ce qui concerne le fait de connaître ses partenaires j’ai une question.
Parfois les sages femmes n’aiment pas trop notre métier de sophrologue. Elles ont cette impression que nous voulons leur « piquer leur patiente »
J’imagine que c’est peut être parce qu’elles ont eu a faire à des sophrologue qui sortaient de leur cadre. Que pouvons nous leur dire pour rectifier le tir?
Merci-
Bonjour Lydie
C’est une excellente question.
La première chose à faire est de leur montrer que nous sommes professionnelles : respecter le cadre, connaitre leur champ d’action et le nôtre, rester humble. Je vous invite à utiliser les arguments que je présente dans l’article de blog en annexe (sous la vidéo) afin de pouvoir vous positionner de manière claire et professionnelle.
Montrez que VOUS êtes une professionnelle digne de confiance, à qui elle pourra envoyer des patientes/clientes en toute confiance et sécurité : la qualité de votre formation, votre expérience professionnelle… Ayez un vocabulaire adapté (suffisamment médical pour montrer que vous comprenez mais sans tomber dans le “je sais mieux”).
Restez dans votre unique job : sophrologue. N’orientez pas vos clientes vers des professions non réglementées ou qui éveillent de la suspicion chez les professionnels de santé (un “ma sophrologue m’a dit d’avoir telle personne” que, eux, considèrent comme un charlatan ne pourra que vous desservir). Si vous conseillez des livres, conseillez des livres sans la moindre ambiguïté (notamment tout ce qui est psychanalytique sera mal vu par un professionnel de santé).
Soyez très claire dans votre communication : vous NE faites PAS de préparation à la naissance. Même pas de la préparation mentale. Bannissez le mot “préparation”.
Si une cliente vous prose une question “médicale”, renvoyez systématiquement vers sa sage-femme. Que la sage-femme ait l’écho que vous ne marchez pas sur ses plates bandes. Et que vous ne faites pas d’exercice illégale de la médecine.Une seule sage-femme qui vous fait confiance suffit à lancer une activité. Et ensuite, cela fait boule de neige.
Est-ce que ma réponse vous éclaire ?
Charlotte
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Bonjour Charlotte
Merci beaucoup pour votre réponse très complète. Effectivement j’y vois plus clair maintenant et je comprends mieux.
To be continued… 🙂
Lydie
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Une réponse très claire, merci Charlotte.
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Merci beaucoup votre article est très rassurant pour moi le cadre y est posé clairement et ça me va très bien !
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Merci beaucoup ! Hâte de voir la suite
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Merci pour ces informations ainsi que l’annexe
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Il est en effet très important de rester dans notre rôle de sophrologue.
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Merci , en effet important de ne pas sortir de notre cadre de compétences, savoir passer la main, c ‘est faire faire preuve de respect envers notre profession.
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Merci
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Nous avons un rôle légitime mais il ne faut effectivement pas franchir les limites et rester à notre place.
Peut-on parler de “préparation à l’accouchement et au retour à domicile” ?-
Bonjour Sandra
Non, pas plus. Il faut bannir l’association “préparation” et “accouchement”. Les conseils départementaux des ordres des sages-femmes sont très vigilants à ce sujet.
“Préparation à l’accouchement” / “préparation mentale à l’accouchement” / “préparation à l’accouchement” : “préparation sophrologique à l’accouchement” / “préparation à la parentalité”… tous sont à bannir. A nous d’être créatives pour transmettre notre message sans nous mettre en danger 😉
(PS : oui, je sais, beaucoup de sophrologues utilisent malgré tout ces termes. Toutes ne sont pas au courant de l’interdiction. Mais toutes le font à leurs risques et périls)
Charlotte
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Petit rappel très légitime pour ne pas sortir de ses compétences. c’est très important.
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merci pour ces précisions
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Dans le milieu médical, il est difficile d’être à l’écoute des patients, ils font leur travail du point vue médical. beaucoup de femmes ont besoin de soutien psychologique ou juste de pouvoir raconter comment s’est passé leur accouchement , ce qu’elles ont ressenties et je fais cette spécialisation pour pouvoir leur apporté mon aide .
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Merci pour toutes ces informations
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Merci de définir concrétement le rôle du sophrologue dans ses possibilités et ses limites.
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C’est important de ne pas sortir de nos limites et merci pour la mise en garde de nos appellations.
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Merci beaucoup pour ces informations très importantes
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Merci, cela pose bien le cadre et c’est primordial de le porter à notre connaissance.
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Merci pour toutes ces notions primordiales de limites du sophrologue.
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merci pour toutes ces infos.
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Merci beaucoup !
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Merci
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Merci pour ce rappel.
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Je n’avais pas pensé à l’élargissement familiale même si j’ai déjà eu des demandes des papas. C’est une piste à suivre pour la fratrie.
Merci de toutes ces précisions. -
Notre rôle est tellement large. Merci pour les précisions du terme à utiliser et également pour l’article.
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Effectivement, il y a un rôle à jouer dès le début de la grossesse et c’est très intéressant de penser également à une approche familiale.
Merci pour cet éclairage sur l’interdiction d’utiliser le terme “Préparation à la naissance”. -
Précisions dont nous devrions toutes et tous être conscients, mais il est plus qu’important de les avoir toujours à notre esprit et ce rappel est utile…
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Merci pour ces précisions indispensables à l’exercice de notre profession et concernant les termes à utiliser appropriés pour ne pas avoir de mauvaises surprises!
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les champs sont relativement large pour le rôle du sophrologue avec toutefois cette vigilance de cadre à respecter
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Mise en garde très instructive sur l’utilisation des termes” préparation à la naissance et à la parentalité”!
Très bon article à suivre sur ce sujet, merci -
Merci pour l’article, la posture à adopter en tant que sophrologue spécialisée en périnatalité est très claire.
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j’y vois beaucoup plus clair dans mon rôle et ses limites et je ne savais pas que le terme “préparation à la naissance..” nous était interdit donc merci pour cette information très importante.
Il est vrai que dans cette approche de séance de sophrologie périnatale je le voyais plus en lien avec la femme et ne savais pas comment le mettre en place pour le futur père. Et pour la fratrie comment pouvons nous fonctionner? Des séances en faisant venir les frères/sœurs? avant et après en fonctions des besoins?-
Bonjour Angélique
Oui, simplement faire des séances en couple, ou pour le père ou en famille ou juste les enfants… selon les besoins 🙂
Forcément, on va s’adapter ^^ (on ne vas pas proposer des futurisations de l’accouchement aux enfants mais au père, par contre, c’est très pertinent !)-
merci pour votre retour!
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Charlotte,
Mon ordinateur refuse toujours d’ouvrir votre lien. Il le mets en indésirable, même avec un autre moteur de recherche. Pouvez vous m’aider?
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Bonjour Dorothée
Je ne sais que vous dire, chez moi, ça fonctionne.
(j’ai eu des soucis de piratage il y a un mois mais normalement tout a été nettoyé. Peut-être votre antivirus en garde-t-il une mémoire ?)https://weiss-sophrologie.fr/sage-femme-ou-sophrologue/
Essayez peut-être en cherchant “weiss charlotte” et en allant chercher le billet dans le blog ?
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L’arrivée d’un nouvel être est tellement important et un chamboulement dans un foyer. Que oui accompagner le mari et la fratrie parait tellement important. Et permet aussi qu’ils puissent se sentir reconnu dans leur nouveau rôle.
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Merci pour ces précisions et sur les termes à employer. Intéressant en effet d’accompagner aussi le co-parent et la fratrie!
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Merci Charlotte pour ces précisions.
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Merci pour les rappels.
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Rappels très importants.Merci
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merci pour ce rappel sur la place et le rôle de chacun
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Je pense à un cas imaginaire et sans doute peu fréquent, mais je pose la question tout de même : Quelle attitude adopter si la femme ne souhaite pas suivre la préparation à la naissance mais suivre des séances de sophrologie ? Faut il renoncer à la prendre en charge ?
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Bonjour Agathe
Nous sommes sophrologues, nous n’avons pas à obliger les femmes à quoi que ce soit. C’est leur liberté !
Pourquoi voudriez-vous renoncer à le prendre en charge ?
Vous pouvez tout à fait les accompagner, mais en étant claire pour elle et pour vous : vous ne remplacerez pas ces séances-là, vous ne ferez que de la sophrologie. C’est moins simple pour vous parce que vous ne pouvez pas vous appuyer sur le contenu de la préparation à la naissance pour accompagner la femme mais si c’est son choix, c’est ainsi. Vous ferez de la sophrologie. Et peut-être retournera-t-elle vers une sage-femme en sentant que vous ne la remplacez pas.Cela vous éclaire-t-il ?
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Bonjour et merci Charlotte de votre retour, en effet il ne me viendrait pas à l’idée de l’obliger à quoique ce soit ! Je comprends votre point de vue et y adhère, bien sur. Nous ferons de la sophrologie.
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J’aimerai beaucoup accompagner un couple dans cette magnifique aventure. Les DPS doivent être certainement dingues à vivre pour eux, le changement d’une vie se fera par plus de compréhension envers eux même et envers l’autre !
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Merci pour ces riches précisions.
Concernant l’obligation déontologique de non compérage : cela signifie que je n’ai pas le
droit de laisser mes cartes de visites chez une sage-femme ? ou qu’elle n’a pas le droit
d’orienter ses patientes vers moi ? Cela est un peu flou encore .
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Bonjour Emilie
C’est exactement ça : normalement, la sage-femme n’a pas le droit de mettre vos cartes dans sa salle d’attente ni d’orienter des personnes vers vous.
En pratique, beaucoup d’entre elles peuvent accepter vos cartes et/ou vous orienter des clients. Mais dites-vous qu’elles “jouent avec la ligne” en faisant cela.
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Merci d’avoir mis en avant nos champs d’actions et de nous rappeler nos limites .
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En temps qu’infirmière ai-je le droit d’expliquer la morphologie du système reproducteur féminin et l’évolution du BB durant la grossesse et l’accouchement ou bien je dois considérer que ça ne fait plus partie de mes compétences?
Je le fais dans mes suivis actuels, comme je le fait pour expliquer le système respiratoire et je n’ai pas la sensation de sortir du cadre. J’ai l’habitude de travailler en collaboration et j’oriente volontiers vers un autre professionnel et pour la grossesse je leur conseil de bien poser les questions à leur SF mais du coup est ce ok?Je parle règlementairement, est ce ok?
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Bonsoir Arabella
Alors, dans votre cas, c’est complexe parce que vous êtes à la fois infirmière et sophrologue. Je ne connais pas précisément les missions des infirmières auprès des femmes enceintes.
Je vais donc parler uniquement du versant sophrologue.
Vous n’êtes pas censée expliquer la morphologie du système reproducteur humain et l’évolution si ce n’est pas en lien avec une pratique sophro.Je vous explique : si vous avez une séance juste pour expliquer le système génital et c’est juste une séance d’information, en tant que sophrologue, vous êtes en train de faire de la préparation à la naissance. Donc le travail d’une sage-femme. Donc, non, vous ne devez pas faire cela.
Si par contre, vous allez proposer une pratique de prise de conscience du schéma génital (la pratique que vous expérimenterez dans le module 5), alors là, oui, vous pouvez expliquer le schéma génital SI et SEULEMENT SI la femme en a besoin. C’est un apport théorique pour permettre à la femme de mieux comprendre la pratique sophro. Ce n’est pas juste un apport théorique pour être un apport théorique. Est-ce que vous voyez la différence ?
Votre théorie doit être en lien avec la sophrologie. Nous faisons de la sophrologie. pas de l’éducation sexuelle et procréative. Car ça, ça c’est le travail des sages-femmes.En conclusion, si c’était ainsi que vous fonctionniez, en le faisant uniquement en lien avec une pratique sophro, alors, oui, pas de problème, continuez. 🙂
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Merci pour toutes ces informations. Je n’avais pas forcément pensé à la fratrie, je trouve ça très intéressant et aimerai m’y pencher plus. Pour le co-parent je m’étais déjà posée la question sans trop savoir comment mettre une ou des séances en place dans ce sens.
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Bonjour Manon
Pour le co-parent, il y a 2 possibilités :
– soit il accompagne la future mère aux séances de sophrologie et fais les séances en même temps qu’elle (et là, vous verrez tout l’intérêt d’être la moins inductive possible car le co-parent vivra forcément la pratique différemment)
– soit il vient de son côté pour faire des séances individuelles et là, vous l’accompagnerez sur SA problématique
(Et parfois, on finit par faire les deux ^^ j’ai accompagné récemment une femme et son mari chacun de leurs côtés mais le futur père écoutait également les enregistrements de sa femme – lui venait pour gestion de son angoisse, elle pour anticiper sa fin de grossesse, son accouchement et son post-partum. C’était très riche parce que les 2 parcours le faisait avancer : ce qu’on faisait ensemble et ce qu’il faisait avec sa femme ^^)
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En tant que sophrologues on se rend compte que les champs d’actions possible sont très vastes et variés auprès de la femme enceinte et du noyau familiale cependant il est bon de s’entendre rappeler les limites de nos accompagnements.
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Nous devons effectivement faire preuve d’humilité car le métier de sophrologue a ses limites.
Le travail en réseau est utile et enrichissant.
Le rôle du sophrologue s’étend dans toute la famille. Cela laisse entrevoir des adultes et des enfants capables d’avancer sereinement malgré les difficultés rencontrées.Merci Charlotte
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Merci pour cette mise au point réglementaire.
Quand j’ai contacté le cabinet local de sages-femmes et que je me suis présentée, la sage-femme m’a répondu qu’elle faisait déjà de la sophrologie. Je lui ai dit que je n’étais pas là pour marcher sur ses plates-bandes mais pour venir en complément ce ce qui ne se fait pas déjà ; nous avons convenu d’un RDV à la rentrée mais elle m’a déjà envoyée une femme enceinte suite à 3 PMA pour gérer ses angoisses et se réapproprier son corps (violences gynécologiques) et une personne qui a dû faire une intervention thérapeutique de grossesse (suivi que j’ai refusé car je ne suis pas encore formée au deuil). Les sages-femmes sont débordées donc on peut vraiment venir en complément et faire un travail plus en profondeur sur le corps et les émotions.
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Le cadre de travail du sophrologue a été très clairement définit merci ! j’avais besoin de ces précisions pour définir les limites de l’exercice de la profession de sophrologue.
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L’accompagnement de la fraterie est une bonne idée,je n’y avais pas pensé
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Merci pour ces précisions précieuses.
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Le champ des possibles pour le sophrologue est assez vaste et varié dans l’accompagnement de la périnatalité. L’évocation des limites est importante et permet de ne pas les franchir.
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Toutes ces précisons sont effectivement fondamentales à prendre en compte dans notre métier de sophrologue
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Il est important de respecter les limites et le rôle de chacun
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Merci de faire un rappel sur les limites. Etant IDE de base, on voit trop de dépassement dans les différentes pratiques de médecines alternatives/douces.
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Merci, c’est très clair.
Pour moi c’est effectivement primordial de rester dans son champ de compétence, de respecter ses limites, de savoir orienter vers d’autres professionnels et de le rappeler aussi à nos clients. La sophrologie a sa place, en complément du suivi médicale de grossesse et des séances de préparation à la naissance ou de parentalité. -
Merci d’avoir rappeler les termes à ne pas employer et de redéfinir la position du sophrologue. En restant chacun dans notre rôle cela donne plus de professionnalisme et de légitimité à notre métier. En faisant un accompagnement de qualité et au plus juste, c’est aussi entretenir un lien de confiance entre professionnels dans l’intérêt de tous.
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merci pour toutes ces informations
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Tout est très clair merci !
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Merci de bien redéfinir le rôle du sophrologue. C’est très important de rester dans notre cadre d’activité pour avoir de bons rapports avec nos partenaires qui se sentiront ainsi respectés et pour installer un climat de confiance avec les futures mamans.
Le sophrologue est un aout majeur dans l’accompagnement de la femme enceinte et du père qui est souvent oublié mais qui a souvent beaucoup de questions qu’il n’ose pas poser! -
Merci pour toutes ces précisions bien utiles pour cadrer nos accompagnements et ne pas dépasser nos limites de compétences. Il est important de connaitre notre champ de compétence pour travailler en adéquations avec les personnels de santé et pour que s’installe un climat de confiance tant pour nos patients que pour le professionnels de santé. C’est très clair et les mots et désignations ont toutes leur importance! Merci pour ces éclairages!
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Merci, c’est fondamental, de respecter les termes utilisés et surtout d’éviter ce qui est proscrit .
Le travail en Réseau est le seul qui nous permettra d’exercer sereinement en étant recommandé en tant que maillon de l’accompagnement à vivre une maternité et une parentalité harmonieuse. -
Merci, très clair.
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Très clair. Merci !
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merci pour ces précisions!
accompagnement prénatal, postnatal et à la naissance, c’est donc ok ?-
Bonjour Karine
Normalement c’est ok mais j’ai eu des retours de certains conseils départementaux des sages-femmes qui accaparent également le terme “accompagnement”. Maintenant, je dis “séances prénatales/postnatales de sophrologie”, c’est basique mais moins risqué.
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Merci pour ce rappel sur le cadre de compétences du sophrologue.
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Merci pour ce rappel précieux !
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Il est effectivement important de rappeler les limites et essentiel d’utiliser les termes appropriés… merci pour ces précisions et rappels.
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Merci pour cette leçon encore très intéressante. Je ne savais pas que le terme de préparation à la naissance était réservé, c’est essentiel de le savoir, merci !
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Merci pour cette piqûre de rappel qui peut nous éviter bien des ennuis!
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Merci Charlotte de le rappeler même si cela tombe sous le sens. Nous ne sommes pas de professionnels de santé.
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Merci Charlotte. Ces explications sont très claires et permettent de bien distinguer les rôles de chacun des professionnels tout en comprenant bien la complémentarité. Fort utile !
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Nous ne pouvons pas utiliser le terme de préparation à la naissance, mais pouvons nous utiliser le terme de préparation à la parentalité?
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Bonjour Florence
Non plus. De manière générale, “préparation” est interdit, que ce soit à l’accouchement, à la naissance ou à la parentalité. Tout cela est uniquement du domaine des sages-femmes.
Maintenant, je dis “séances de sophrologie prénatale” pour une plus grande neutralité.
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Super ! Merci pour tes ces précieuses informations. Merci d’avoir précisé et insisté sur les limites du sophrologue !
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le cadre est nécessaire, incontournable pour faire respecter le métier de sophrologue.
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Merci pour toutes ces précisions. C’est vrai que lorsqu’on entend maternité, on pense souvent à la femme et à son enfant, et moins à l’entourage proche (conjoint.e, fratrie), qui a une place très importante lors de cette période!
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Merci de souligner les apports de notre profession mais aussi ses limites!
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merci , pour toutes ces explications, ne pas depasser son rôle de sophrologue est effectivement tres important,
savoir renvoyer chez les medecins si nécessaires
travailler en synergie en équipe est pour moi important -
Merci pour ces précisions, nous avons notre place et notre rôle à jouer dans ces accompagnements à la naissance et à la parentalité.
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Merci pour ces précisions: Dans mon activité, je parlerai d’accompagnement à la naissance pour les séances individuelles et d’ateliers de sophrologie prénatale pour les séances en petit groupe que je prévois dans une maison médicale pluridisciplinaire par tranche de 5 séances.
J’avais commencé … et Là tout est bloqué avec le confinement mais j’ai l’espoir de reprendre après !
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Bonjour Laurence
On va dire que ça nous laisse le temps de mûrir nos projets respectifs ^^ #PositivonsLeConfinement
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Ce qui est extraordinaire avec les papas que j’ai accompagné (même si hélas pas assez souvent) c’est les vivances avec des phéno très précises. Ils sont surpris de tout ce qui se manifeste.
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je confirme en effet que la pratique est quasi inexistante en effet
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Le rôle du Sophrologue est en effet amplement légitime et le travail en réseau se développe de plus en plus, ce qui est primordial.
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J’utilse Accompagnement de la maternité et je fais bien la distinction entre les professionnels de santé et notre métier de sophrologue.
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Bonjour Anceline
Ça me parait très juste. 🙂 -
je dirais j’accompagne la “gestion des ressentis corporels et des émotions liés à la venue d’un bébé”??????
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oui ;il m’arrive souvent de “passer la main “
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QUESTION : Quel est le terme exact à employer par les sophrologues pour accompagner les femmes enceintes à vivre plus sereinement leur accouchement?
RÉPONSE de notre expert Charlotte WEISS :
Il n’y a pas de terme “consacré” pour désigner le travail d’accompagnement des femmes enceintes par les sophrologue. Il y a surtout un terme “proscrit”, celui de “préparation à la naissance, à l’accouchement ou à la parentalité” qui est réservé aux médecins et sages-femmes. Les Ordres de ces professions sont très pointilleux sur leur usage par d’autres.C’est pourquoi, moi, je parle d’ “accompagnement de la naissance”. D’autres sophrologues diront plutôt “accompagnement de la maternité”. Accompagnement plutôt que Préparation permet de contourner la contrainte imposée par les Ordres.
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