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151 réponses à “Histoire des positions d’accouchement”
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Je trouve dommage que la femme et la mère, voire l’accouchement n’aient pas davantage de considération à l’époque, pour qu’il y ait si peu de reference visuelle de l’acte, vue l’importance de l’enfantement quant à la situation sociale et financière.
Si volontaire, cela mystifie d’autant plus la maternité.
Heureusement que l’évolution permet une approche plus humaine et mieux prise en charge. Cependant la femme et la mère restent encore sous domination, soumises au choix des conditions d’accouchement des professionnels. Heureusement que certaines institutions proposent aujourd’hui l’accouchement dans l’eau, ce qui devrait, à mon humble avis, être proposé systématiquement dans les maternités, accordant aux mères et aux parents, l’opportunité du choix, sauf contre indication, des conditions d’accouchement, La mère gagnerait en légitimité et en droit de décision sur sa Maternité et ses conditions d’accouchement.Merci pour ces informations au cours des siècles.
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Petit rectificatif concernant la présentation de mon fils par le siège, (il a mis du temps à se retourner) et alors on m’a dit : «ça sera une césarienne ». (j’avais noté péridurale)
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Merci, c’est passionnant ! Cela m’éveille plein de souvenirs.
Il y a 30 ans, pour la naissance de mon fils j’étais persuadée qu’on ne pouvait accoucher que sur le dos et sur un lit. J’étais aussi persuadée que « on » allait m’accoucher
Mon fils a mis du temps à se retourner et alors on m’a dit : «ça sera une péridurale ». mince alors, moi qui rêvais d’accoucher par voie basse, persuadée que j’avais un bassin de rêve qui allait me permettre de donner naissance avec aisance.
Par chance, pendant un cours de préparation à la naissance, une sage-femme, pour laquelle je suis tellement reconnaissante, ma glissé à l’oreille que dans tel hôpital je pouvais avoir un autre type d’accompagnement « mais pschut, ne dites pas que je vous l’ai dit »..
Ah bon ? On peut faire autrement ? On a le choix ? On peut décider des choses, dans cette affaire ? C’est là que je suis tombée sur un livre de Michel Odent et d’autres qui m’ont ouvert des perspectives incroyables ! -
Merci de rappeler la capacité importante d’adaptabilité du sophrologue en laissant bien entendu de côté tout jugement lié au choix des femmes, en restant un allié neutre et objectif.
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Merci Charlotte. Un réel défit et travail d’accompagner les mères dans leur adaptabilité pour le jour J.
Les pratiques évoluent doucement. -
Merci pour cet éclairage sur l’évolution des positions d’accouchement à travers l’histoire. Aujourd’hui les mentalités évoluent certes mais le projet de naissance n’est pas toujours respecté ou bien accompagné. Car plusieurs paramètres peuvent ‘dérouter’ ce projet: la posture du gynécologue, le choix de la maternité, puis au bout du compte l’équipe médicale présente le jour de votre accouchement. C’est là que la pratique de la Sophrologie prend tout son sens dans le fait d’accueillir au mieux ce qui se présente.
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Très intéressant ! Je n’avais jamais réfléchi aux différentes postures d’accouchement. J’ai accouché il y a 30 ans, j’étais suivi par une équipe médicale qui avait une bonne réputation. J’étais jeune et ignarde, j’ai fait confiance sans rien demander. J’ai suivi les préconisations médicales sans être à l’écoute de mes besoins physiologiques. Je suis contente d’entendre que les maternités évoluent et que les futures maman possèdent une conscience davantage éclairée.
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Bonjour Aurélie
Moi aussi, quand j’étais sage-femme, je pensais avoir été très bien formée… et pourtant je n’avais rien appris des postures d’accouchement. Quand les cours transmis sont “biaisés”, personne ne voit qu’il y a un souci…
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Cette vidéo sur l’histoire dans l’évolution des positions d’accouchement permet de mieux comprendre pourquoi aujourd’hui la position allongée pour accoucher est la plus préconisée.
Cela permet également de prendre conscience que selon les lieux d’accouchement le projet de naissance de la future mère ne pourra être respecté.
D’où l’importance de bien connaitre le lieu de son accouchement et si celui-ci pourra répondre à la demande initiale de la maman.
C’est la où la sophrologie a toute sa place : se préparer et s’adapter en fonction de ce qui se passera le jour de l’accouchement et de ce qui sera possible.
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Une explication historique de l’évolution des postures d’accouchement très importe à connaître . j’ai pu situer mes accouchements d’il y a 24 et 28 ans où je n’entendais pas ou à peine parler de choix d’accouchement.
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L’évolution de la place de la femme et des bébés dans la société est très intéressante. Merci !
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L’évolution de la place de la femme et des bébés dans la société est très intéressante. Merci !
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Merci pour tout cet historique très éclairant et riche !
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La position allongée est encore pratiquée de façon “obligatoire”. Beaucoup de femmes ne sont pas informées des différentes possibilités qui existent et les salles “natures” trop peu nombreuses.
Merci pour ce cours enrichissant. -
Merci pour ce partage!
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Très intéressant. Je savais que le fait d’accoucher allongée était dû aux demandes des médecins, mais encore une fois, cet historique est très parlant.
Merci. -
Merci pour ce récap historique et éclairant quant à notre rôle de Sophrologue.
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merci pour ces informations indispensables
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Merci pour ce chapitre. Connaitre ces fondamentaux feront de nous de meilleures sophrologues.
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Merci pour cette vidéo qui a ouvert ma vision sur l’ampleur des demandes possibles des futures parents….
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Merci pour ces pages d’histoire ! ” Aujourd’hui” me réconforte avec cette belle reconnexion avec l’enfant!
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C’est très intéressant et ça permet de se poser des questions sur son propre vécu!
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Module très intéressant. Merci pour ce partage.
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C’est très intéressant, merci !
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Merci pour toutes ces précisions.
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Merci pour toutes ces précisions enrichissantes
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Intéressant de suivre l’évolution des postures d’accouchement. La posture allongée est loin d’être “naturelle” pour les femmes… mais encore beaucoup beaucoup pratiquée.
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merci pour ces précisions.
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Merci pour ces informations importantes
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MERCI pour ses renseignements
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Merci pour toutes ces informations importantes
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Enrichissant, ce cours me confirme aussi que la position allongée n’est à la base pas naturelle.
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Merci important toutes ces informations
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Très intéressant merci 🙏
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Merci pour toutes ces informations passionnantes.
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Quelle séance enrichissante! Merci
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merci pour ces informations c’est passionnant
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Merci. c’est passionnant . Nous avons tellement de pratiques diverses et variées dont on ne questionne pas l’origine.
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Passionnant! merci
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C’est révoltant de voir à quel point l’accouchement à été adapté aux hommes au détriment des femmes et des enfants. C’était très intéressant !
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L’accouchement allongé :encore un abération, un décision prise par des hommes au détriment du bon sens et de la physiologie.
Oups ! C’est la journée des droits de la femme qui ressortir mon côté féministe !-
Hello Maria
Tous les jours sont bons pour laisser notre féminisme s’exprimer 😉
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Très intéressant merci
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En effet, le puzzle se remplit au fur et à mesure … J’aime beaucoup la réflexion sur le rôle du sophrologue et me permets vraiment de donner du sens au choix de cette spécialité ! Merci Charlotte !!!
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Très intéressant !
Notre rôle de sophrologue, nous poussera donc peut-être à nous renseigner des différentes maternités alentours pour avoir une vue sur leur approche de la naissance afin d’accompagner au mieux les femmes. -
Les éléments historiques nous permettent de comprendre notre position actuelle sur l’accouchement et sa prise en charge dans sa globalité.
Encore une fois, tout ceci est très enrichissant. Merci. -
Merci Charlotte pour cet éclairage très instructif.Effectivement c’est un travail d’adaptabilité.Cela me questionne évidemment .Je me demande si on m’avais proposé la position assise ou même accroupie, est ce que mon bébé serait descendu .?Il était comme bloqué , en souffrance et prévu à plus de 4kg .Je n’avais pas réfléchi auparavant à la position dans laquelle je souhaitais accoucher à vrai dire!Ma réalité objective à ce moment là était, deux ans après une IMG, d ‘être la plus détendue possible pour que le col se dilate correctement ,accueillir le,moment présent , être dans la confiance, que peu importe par où il sort , mon bébé sera bientôt là vivant dans mes bras !!Cela m’a permis d’accueillir la césarienne d’urgence avec plus de lâcher prise !Mais comme cela doit être génial de pouvoir accoucher naturellement dans la,position de son choix !
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Très interessant en effet, et je dirais même rassurant pour la future maman que je suis. Notre corps sait accoucher.
A nous, sophrologue, de permettre à chacune d’envisager l’accouchement désiré. -
Intéressant de voir qu’à l’origine la position allongée a été choisi pour faciliter le travail du médecin et non celui de la femme…Et c’est resté la position la plus répandue pour accoucher. Heureusement que cela à évolué doucement vers une meilleure écoute des besoins de la femme tout en restant prudent sur ce qui ne s’anticipe pas avant le jour J pour préserver la santé de la maman et du bébé.
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J’ai pris conscience de cette emprise sociétale sur les positions actuelles ancrés et la provenance de cette posture allongée
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Bel exposé.
J’en retiens l’adaptabilité du sophrologue dont le rôle est d’accompagner les femmes dans leur désir d’accouchement dans une position qu’elles choisissent mais aussi dans la réalité objective de leur lieu d’accouchement.
Le monde obstétrique change mais il y a des réticences qu’il convient de prendre en compte dans notre accompagnement. -
Je trouve cela formidable que certains obstétriciens, sages-femmes et maternités reviennent à laisser plus le choix aux femmes de leur position d’accouchement.
Je connaissais la possibilité d’accoucher dans l’eau et j’aurais beaucoup aimé essayer cette façon d’accoucher ( 1993), mais lorsqu’on a eu besoin de la médecine pour arriver à être enceinte, on suit le protocole du gynécologue-obstétricien qui vous a aidée, qui vous accouchera dans la maternité à laquelle il est rattaché… -
Sujet très intéressant, j’aurais aimé savoir tout ça pour mes accouchements.
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Sujet tellement vaste et intéressant. Il y a encore beaucoup de travail sur cette liberté d’accouchement mais cette évolution des mentalités reste positives malgré le fait que subsistent encore beaucoup de réticences. c’est tellement dommage de voir dans les maternités des personnes qui rejettent toutes ces avancées. Comme ci il n’y avait qu’une seule vérité.
Pour y avoir été confronté c’est très frustrant et blessant de ne pas être entendu à ce moment-là comme-ci on était qu’un corps dont le seul rôle était de mettre au monde. Alors qu’à ce moment-là on sait, notre corps sait ce qu’il doit faire.
effectivement, chaque femme aura des souhaits, des désirs, des projets pour son accouchement mais il faudra aussi prendre en considération la réalité objective du lieu mais aussi de la situation, de tout ce qui n’est pas maitrisable dans la naissance de son enfant. -
Très intéressant ! J’aurais aimé qu’on m’explique tout cela pendant mes préparations à l’accouchement. J’aurais surement voulu essayé en physio
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Bonjour Coralie
Votre commentaire fait écho à quelque chose que je dis souvent à mes clientes pour présenter la méthode sophro : nous cherchons à favoriser la physiologie.
Et en fait, c’est vraiment comme ça que je le conçois : il n’y a pas à “choisir ou à ne pas choisir la physiologie” (même si c’est le discours qu’on nous répète beaucoup en ce moment). Il y a à “la laisser s’exprimer”. Parfois jusqu’à la naissance, parfois jusqu’au moment où la médicalisation doit prendre le relais.C’est comme si nous disions “je choisis de laisser ma thyroïde fonctionner plutôt que de prendre des médicaments pour se substituer à son fonctionnement physiologique”. Dis comme ça, c’est bizarre hein ^^
En fait, on a tellement dépossédé les femmes du respect de leur physiologie que c’est devenu un sujet de choix. Alors que c’est juste une fonction normale de notre corps. Ce n’est pas quelque chose qui devrait être soumis à un choix. Le corps fait ce qu’il a à faire. Et s’il doit être accompagné, soutenu, remplacé par qqch d’extérieur, pour une raison médicale ou qui appartient à la femme, et bien, c’est ainsi. Mais la commencement reste la physiologie. (en-dehors de tout déclenchement ou césarienne programmée, nous sommes bien d’accord)
Bon, bref, je me suis emballée, j’espère que je suis restée claire. Mais votre commentaire a vraiment “tilté” dans mon esprit ! ^^
Merci !
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Bonjour,
Cours très intéressant. Il devrait y avoir lors des préparations à l’accouchement quelques leçons d’histoire. Quel cheminement! -
Merci pour cet éclairage. C’est encourageant de voir une avancée vers des accouchements plus physiologiques, il y a encore du chemin à faire mais les choses avancent !
Il est regrettable que ce soit devenu autant médicalisé, sans parler des violences obstétricales dans ces moments pourtant si importants pour une femme, son bébé et le conjoint… Est-ce que cela pourrait être lié au fait que les médecins qui se sont chargés de ces sujets au siècle dernier étaient principalement des hommes et donc plus éloignés des besoins de la femme? Versus les femmes qui accouchaient entre elles en se transmettant le savoir?
Avez-vous vu le documentaire “Le premier cri” ? Je l’ai regardé il y a très longtemps, il m’avait marqué. Il montre des femmes aux 4 coins du monde et leurs différentes façons de donner la vie en fonction de leurs cultures.
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Bonjour Stéphanie
Il y a indéniablement une influence de la position “patriarcale” de la société sur l’accompagnement des femmes et de la prise en compte de leurs besoins. C’est une thématique qui revient régulièrement dans les grèves des sages-femmes qui mettent en lien leur manque de reconnaissance avec le manque général de reconnaissance des besoins des femmes.
Si vous souhaitez creuser, je vous mets le lien du rapport de la HAS qui traite de cette question de genre et sexe dans l’accompagnement médical : https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2020-12/rapport_analyse_prospective_2020_synthese.pdfConcernant le documentaire “le premier cri”, oui je l’avais vu alors que j’étais encore sage-femme. Il m’arrive d’inviter mes clientes à le regarder lorsqu’elles se demandent comment cela se passe ailleurs qu’en France. Il est vraiment très instructif !
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Leçon interpelante. A chaud je me sens frustrée de ne pas avoir bénéficié de ce topo lors de ma propre préparation à l’accouchement… Aurais-je fais des choix différents ? Peut-être… Une chanson dans ma tête “on nous cache tout, on nous dit rien…”
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Merci pour ce cours. très intéressant de voir que les idées évoluent à différents endroits du monde. Il y a encore beaucoup de travail, et faire le lien entre les souhaits des femmes et les possibilités ne va pas toujours être facile…
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merci pour cet apport ! effectivement, le mot d’ordre est bien l’adaptabilité!
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Ces informations me permettent de donner des informations à mes consultantes qui souhaitent ,dans un hôpital classique, accoucher dans une position autre qu’allongée. Rappeler la force de la gravité, la liberté et la souveraineté de la maternité. Merci de nous rappeler de respecter le désir parfois bien différent d’une femme à l’autre dans ce moment de donner la vie qui les confrontent à leur faculté d’adaptation.
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Incroyable de s’apercevoir de la négation du corps des femmes dans le passé ! Nous sommes heureusement sur le bon chemin, mais la vigilance reste de mise ! Merci pour ces informations essentielles
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Heureusement que les choses évoluent. L’histoire des forceps c’est dingue, c’est bien triste, car cela a traumatisé beaucoup de mamans et de bébés, Une amie notamment à qui je pense, mais je ne suis pas médecin pour savoir s’ils avaient un autre choix dans son cas, je vais donc éviter de juger.
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C’est très instructif !
La relation entre nos futurs accompagnements et notre rôle en tant que sophrologue commence à se dessiner , et ça devient vraiment palpitant. Il en ressort qu’il est clair de comprendre tout cela avant de se lancer dans l’accompagnement à la maternité .
Merci Charlotte , -
Merci beaucoup pour ces informations très intéressantes.
D’où peut-être l’utilité de connaître un peu plus les mentalités des maternités privées ou publiques de notre secteur ? ou pas ? (les différentes possibilités et moyens mis en place pour l’accouchement des femmes).
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Bonjour Emilie
Tout à fait, j’aborde cet angle dans le Module 2 🙂
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Très instructif de comprendre pourquoi une telle évolution au cours de l’histoire des positions d’accouchement. Toutes ces informations sont une véritable mine d’or.
Merci -
Les effets de l’inconscient collectif sont encore omniprésents dans les esprits, dans les pratiques. A travers vos propos,je perçois des avancées, des lueurs d’espoir, des prises de conscience certaine, comme un voile qui se soulève.
Je ne peux m’empêcher de penser que tout est là, tout est déjà donné.
Il s’agit d’aller vers plus de conscience pour vivre en harmonie.En vous écoutant, j’ai pensé à l’intelligence du corps, sa capacité à “s’autogérer”
Lors de la séance sur les valeurs, je me suis sentie puissante, très ancrée dans la position debout au point où il m’est venu que c’est possible d’accoucher debout , que la vie peut jaillir de mon corps et ce, en toute sécurité.Je suis née dans un pays où les femmes fortes,” vaillantes”, celles qui élèvent les enfants, celles qui se “démènent pour faire vivre la famille”, celles qui tiennent la maison”,qui détiennent aussi une certaine sagesse, sont appelées en créole “fanm doubout” (femmes debout en français) ou “fanm poto mitan” (littéralement, le poteau du milieu, celui qui soutient un édifice). Il s’agit de la mère, on est toujours dans une certaine verticalité.
On voit bien dans votre contenu que la position allongée n’était pas mise en place ni pour le confort de la femme,ni pour celui du bébé.
Cependant, comme vous l’avez rappelé, il faudra s’adapter et accompagner les femmes dans la réalité objective de leurs lieux d’accouchement.Merci Charlotte
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Je suis exaspérée de comprendre comment on en est arrivés là ; merci pour cet éclairage … et je comprends mieux en effet tout l’intérêt de notre adaptabilité face à toutes les situations qui pourront se présenter entre les projets de naissance des futurs parents, les possibilités laissées par les établissements et les personnels et la réalité des accouchements !
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C’est très intéressant de comprendre pourquoi il y a eut une évolution des positions d’accouchement, et d’où viennent parfois ses peurs de l’accouchement dit physiologique ou naturel, tant pour la parturiante que pour le corps médical . Tout comme ces explications aident à mieux compendre les efforts supplémentaires que le bébé à naitre va devoir réaliser dans la position couchée pour s’adapter aux mesures du canal pelvien.
Un tout grand merci -
Très intéressant de connaitre l’évolution des positions dans l’histoire.
Je n’avais jamais vu cela dans mes formations!
Je pourrai maintenant donner des explications plus précises à mes consultantes. -
Envie une fois très intéressant
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Là encore l’histoire des positions de l’accouchement m’a appris comment sont nés les “maternités”au fil des siècles. Et pourquoi elles sont devenues quasi incontournables.
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Très intéressant cette évolution dans les positions d’accouchement. Ca me renvoie à mes propres accouchements. Pour mon 2eme bébé, jJ’ai été préparée par une sage femme qui prônait l’accouchement sur le coté. J’ai souhaité tenté l’expérience, l’équipe médicale a accepté sans conviction, et j’ai fini par accouché de manière traditionnelle car mon obstétricien n’étais pas à l’aise avec cette méthode.
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Bonjour Agnès
Et oui, encore un obstétricien qui n’a pas pris conscience de la réalité d’un accouchement… Peut-être votre demande et son impossibilité de réalisation l’auront peut-être fait cheminer sur ses propres limites personnelles…
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Merci pour ces précisions sur l’histoire des positions d’accouchements
Très intéressant -
Très instructif de connaitre l’évolution de la posture d’accouchement et les raisons de la généralisation de la position allongée!
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Cette vidéo est très importante. Je sais que je suis bien informée sur ce sujet par rapport à mes accouchements mais il est vraiment primordial d’aborder ce sujet mal connu à ce jour et persistant à l’hôpital. Merci bien pour toutes ces indications très précises qui aideront dans l’accompagnement des femmes enceintes.
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Merci beaucoup pour ces explications très enrichissantes.
La connaissance permet le choix, dans la limite des possibilités, oui la réalité objective prend tout son sens. -
Très intéressant !
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Tellement intéressant.
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Tout se met en place doucement…merci cela permet vraiment de commencer à comprendre notre rôle
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intéressant merci
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Passionnant et très instructif.
Je comprends mieux ma propre naissance et les difficultés que de nombreuses évoquent lors d’accouchements réalisés en position allongeé.
Merci infiniment pour ce partage. -
Informations sur les postures extrêmement intéressante. J’aime ce voyage à travers les époque et notre évolution, merci pour cette approche
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Merci pour ces explications sur l’évolution des positions d’accouchement. C’est incroyable de constater que les mesures prises pour le confort des médecins à entraîner des accouchements plus douloureux et plus longs et ont nécessite l’utilisation d’outils dont on se passait auparavant.
J’imagine que beaucoup de femmes font confiance et se laisse guider parfois par manque de connaissance sur ce qui est réellement bon pour elles.
J’espère grâce à cette formation être en mesure de les informer au mieux des choix qui s’offrent à elles pour qu’elles puissent vivre leur accouchement en pleine conscience et comme elles le souhaient.
Merci encore -
Très instructif ce module sur l’historique des postures de l’accouchement. Etonnant de constater que d’une posture naturelle nous ayons évolué vers une posture adaptée au confort du médecin car la société a été faite pour les hommes. Et dans la religion la notion de posture non allongée = posture indécente ou animale, m’interpelle. La place de la femme est peu enviable
La notion de lit de misère ou lit de douleurs est très forte et je comprends mieux les associations d’idées accouchement = douleurs, idées fausses transmises parfois de mères en filles , tant et si bien que je n’ai pas compris à mon second accouchement, pourquoi c’était magique et pourquoi je n’avais pas souffert.
Il va falloir savoir adapter notre rôle pour accompagner au mieux et au plus près de la réalité objective des bénéficiaires -
Très instructif
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Merci, c’est passionnant et très éclairant !
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Merci pour toutes ces informations ! Très intéressant de comprendre pourquoi nous accouchons toutes en majeure partie allongées !
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Merci pour ce très beau chapitre. c’est très enrichissant et très instructif
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Eh bien voila ! je vis ma première grossesse (à 40 ans), je suis à 10 Sg (12Sa), et j’arrête pas de me dire, que c’est bizarre d’accoucher allongé dans la mesure ou aucun animal le fait me semble-t-il ? je me rapporte toujours à la vie animale pour me rendre un peu compte ! votre vidéo est vraiment très riche d’infos et répond vraiment à ma question fondamental (mais pourquoi sur le dos ?) Ravie de voir que mon intuition était encore une fois fondée.. hâte de regarder la suite ! merci
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Très enrichissant et très clair ! Merci !
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Merci beaucoup pour cette belle historicité !
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Merci pour tous ces enseignements et éclairages!
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En commençant le formation, je n’avais pas saisi tout l’intérêt de connaître un peu d’histoire autour de la naissance. Je m’interrogeais sur cette proposition. J’en comprends désormais tout le sens et l’intérêt pour l’accompagnement des femmes enceintes.
Merci pour toutes ces informations passionnantes.-
Bonjour Stéphanie
Remettre la naissance dans sa tridimensionnalité finalement 😉
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Modifier les comportements innés et naturels des femmes pour le confort du médecin , généralement homme … ca en dit long sur la place des femmes.
Chapitre très intéressant. -
Malheureusement,notre système actuel fait que les habitudes sont plus faciles et plus confortables à suivre pour les soignants, au dépend de la personne pleinement concernée ! La technique prend de l’ampleur et permet de masquer la peur et le manque relationnel. Agir, faire… Les soignants sont parfois débordés, tiraillés et envahis par la peur de mal faire et de ses conséquences. Davantage dans le faire car pas le temps d’être dans l’être !
J’ai accouché trois fois et sans péridurale par choix, en 84, 87 et 93 à l’hôpital, et j’ai eu trois fois très mal. J’ai eu trois jolis bébés sains.
Mon souvenir concernant les sages femmes c’est qu’elles n’étaient, hélas, pas toutes sympathiques ! stressées ? contraintes ? pas reconnues ? Par contre, pour mon deuxième accouchement j’avais perdu les eaux et les contractions étaient très douloureuses alors j’ai demandé à la sage femme de pouvoir me mettre debout, car je ne tenais plus, allongée. Elle m’y a aidée et encouragé en me disant que cela favoriserait la descente du bébé ce qui s’est produit. Par contre elle et mon mari étaient très désolés et aussi très inutiles en face de moi, je les sentais presque témoin complices de mon désarroi et cela ne m’a pas plu.Comme si il y avait deux mondes eux observateurs voyeurs et moi, dans la souffrance.
Je m’étais dit, à l’époque, que si je faisais un quatrième bébé, j’accoucherais sous péridurale…Accoucher sans souffrir, que du bonheur…Mais je n’ai pas expérimenté puisque je me suis, nous nous sommes,contentés d’avoir 3 enfants.
Par contre ma fille qui a eu son premier par césarienne, son deuxième par voie naturelle sous péridurale me dit qu’elle a souffert malgré tout et contradictoirement qu’ elle a été dépossédée de ses sensations. Pour son troisième elle souhaite accoucher normalement, et sans péridurale…
A suivre… -
La position allongée pour faciliter le travail des médecins… dingue. J’ai encore appris plein de choses. Si j’avais su ça avant mes grossesses, mes accouchements auraient sans doute été très différents. 🙂
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C’est une séquence où en tant que mère, je n’ai pu m’empêcher de penser à mes accouchements. J’ai envie de vous partager l’histoire de mon second accouchement. J’ai commencé à accoucher seule, instinctivement accroupie, prenant appui avec mes bras sur le lavabo de la salle de bain, la tête du bébé sorti entre mes jambes (la clinique n’ayant pas de place on m’a mise dans une chambre pour patienter et la sage-femme pensait que j’avais le temps …). Je n’ai eu mal que quand j’ai réalisé que j’étais seule, la peur m’a envahit et la souffrance physique aussi du coup. J’ai bien cru que j’allais accoucher sur le tapis de bain. Heureusement la sage-femme est arrivée, on m’a aidé à m’allonger sur le lit et je n’ai poussé qu’une seule fois pour que mon fils sorte comme un boulet de canon. Je suis émue rien que d’y penser.
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Bonjour Lucie
Merci pour ce partage d’expérience qui résonne énormément avec ce qui est dit dans les modules sur l’accouchement !
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C’est vrai que les conditions de l’accouchement dépendent beaucoup du personnel qui nous entoure à ce moment là. J’ai vécu trois accouchements très différents dans la même maternité. Pour le dernier, ça s’annonçait compliqué, mais le sage-femme, qui venait de Mayotte, m’a encouragée à prendre les positions que je ressentais le mieux, pendant que le gynécologue interne paniquait complètement et se préparer à sortir l’artillerie lourde. Finalement, mon bébé est sorti sans encombre. A la fin, j’ai demandé au sage femme comment il avait gardé confiance. Il m’a dit : chez moi, j’ai vu des femmes accoucher et je sais qu’elles savent très bien le faire toutes seules…. Tout un enseignement pour moi !
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Bonjour
Pour ma part j ai vécu une césarienne en urgence ce qui m’a le plus marqué c’est le personnel soignant qui pourtant doit faire cela tous les jours, semblait complètement ignorant à la gestion de la douleur de la femme et très moralisateur. Il y a encore un gros travail à faire dans son ensemble. J ai eu un excellent obstétricien qui était prêt à venir en pleine nuit pour venir m’accoucher mais faute de surveillance approfondie des aides soignantes elles n’ont pas vu que mon bébé était en souffrance pendant plus de 30 minutes… et le après
Je constate que même chez les femmes et entre femmes les rapports peuvent être très difficile voir encore plus dur -
Vaste travail d’adaptabilité en effet …
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Vraiment très interessant ! Quel plaisir de cheminer !!
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N’ayant que l’expérience de césariennes :(, je ressens un tel manque que même la position allongée m’aurait satisfaite pour
un accouchement par voie basse. Mais en effet , quel harmonie cela doit apporter de pouvoir choisir sa position pour accoucher.
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Bonjour Florence
Effectivement, tout est toujours différent, différemment vécu selon notre réalité objective. Après, l’accouchement, la maternité est une globalité tellement riche et complexe que vous verrez que beaucoup d’éléments entre en jeu dans son vécu, la posture n’en étant qu’un parmi d’autres. 🙂
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Très intéressant de comprendre l’histoire des postures de l’accouchement.. et heureusement qu’aujourd’hui il y a possibilité de choisir “plus facilement” et d’enrayer les croyances que l’enfantement est dangereux, voir mortel.
Je n’ai pas eu le choix en ce qui me concerne, position allongée d’office, ou du moins je n’en ai pas été informée..il y a 27 ans..-
Il y a 27 ans, le milieu médical était encore très formaté… et peu ouvert à l’empowerment des patients en général.
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La position allongée, de surcroît avec un drap pour séparer la femme qui enfante et les soignants, comme une barrière pour ne pas faire corps dans cet évènement, quelque chose d’impur à cacher auquel la mère ne participe qu’en “poussant” et laisse au médecin le pouvoir de l’enfantement. J’aurai tellement voulu avoir le choix et expérimenter d’autres types de positions, plus participantes. C’est très positif de savoir que les choses changent pour cet acte qui est la plus belle chose au monde.
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Paragraphe passionnant ! Existe t’il des livres qui expliquent encore plus en détail l’histoire de la maternité au fil des siècles?
merci
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Bonjour Nathalie et bienvenue !
Oui, il existe plusieurs livres qui abordent l’histoire de la maternité au fil des siècles. Je vous donne un titre en bibliographie dans le module 8 mais il y en a bien-sûr beaucoup d’autres. Il est difficile de tous les citer car ils sont généralement axés sur une thématique : histoire, sociologie… J’ai essayé de faire une synthèse dans ce module.Vous pouvez regarder les livres de Claudine Cohen pour le côté historico-sociologique. Concernant l’évolution des positions d’accouchement et la gestion de la douleur, ce sont les mémoires des étudiantes sages-femmes qui sont les plus riches car ils regroupent différentes sources qui abordent les différentes périodes.
Toutefois, soyez attentive à la date d’édition des différents ouvrages que vous trouverez : les connaissances sur la maternité sont assez récentes, du moins, celles qui ne sont pas étudiées à travers un prisme masculin et en transposant la vision patriarcale des femmes actuelle aux différentes époques.Enfin, une autre source peut être intéressante avec un regard éclairé : regardez du côté des romans historiques (avec des bases solides) et vous verrez en filigrane quelle était la vision de la maternité (je lis actuellement un roman sur Aliénor d’Aquitaine et c’est édifiant : elle passe son temps soit enceinte soit en relevailles et on ressent très bien tout le poids de la société patriarcale de l’époque…)
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Super de voir toute cette évolution et de comprendre les différentes phases historiques. merci pour ces explications
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merci pour ces explications.
effectivement nous ferons face à des médecins ou sage femme ayant des mentalités et visions différentes sur la naissance.
Mais aussi à la désinformation des futures mamans sur ce type de sujet.
aujourd’hui l’accouchement allongé est une norme et le reste un effet de mode… ce qui est bien dommage…-
Bonjour Camille
Heureusement, les choses changent.
Les “nouvelles sages-femmes” sont plus formées à la physiologie (ce n’a pas été mon cas lors de mes études en 2000-2004, déjà une évolution positive !) et je pense sincèrement qu’il y a un renouveau dans les mentalités des jeunes femmes. Pas toutes bien-sûr, mais de plus en plus.🙂
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très intéressant d’apprendre toute l’évolution sur la posture d’accouchement, j’ai accouché allongé en centre hospitalier pour mes 3 grossesses et à l’époque il n’y avait pas d’autres choix , je trouve que maintenant ça a commencé à changer et ceci est formidable car les femmes méritent bien de vivre leur accouchement sereinement! J’ai eu la chance d’accoucher très facilement mais infirmière en pédiatrie en néonatologie j’etais conditionnée à la sécurité à l’époque!! Je m’en rends compte aujourd’hui!!!
Retourner sur toute l’histoire est très parlant et me permet de comprendre beaucoup de choses et aussi de m’interroger!
Merci pour ce bel enseignement -
Je me rappelle essayer de me redresser le plus possible pour accoucher et de vouloir descendre les étriers vers le sol…c’est très intéressant toutes ses explications et je vois nettement se dessiner toute l’adaptabilité de notre accompagnement de sophrologue.
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Vraiment très intéressant cette histoire des positions d’accouchement.
Je regrette de ne l’avoir pas connu avant mes grossesses mais j’ai hâte de la faire découvrir.
Merci -
Merci pour ce contenu et de rappeler notre place de sophrologue dans cet accompagnement. Notre valeur d’adaptabilité est vraiment essentielle!
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Merci pour cet historique instructif et qui nous aide à nous positionner dans l’accompagnement des femmes.
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Je vous rejoins Charlotte « Phase de victoire proche » serait tellement plus encourageant et motivant!! Moi je ne savais même pas que ça existait… c’est en cherchant à comprendre pourquoi je me suis perdu à un moment de mon accouchement, en cherchant à me réconforter sur internet (parce que je ne me suis pas sentis forte durant cette phase, j’étais au bout du bout alors que je me croyais prête à 100%) que j’ai trouvé cette explication. Ca m’a bien réconforté, dommage que je ne le savais pas avant et que des mots positifs m’auraient tellement encouragés.
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Merci pur ce partage très instructif. Ces notions vont nous aider à accompagner ces femmes.
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Je comprends mieux pourquoi la formation commence par l’historique. C’est passionnant tant au niveau de l’accouchement en lui lui-même que de la condition de la femme dans l’histoire et la société.
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merci de partager cette évolution de la maternité,
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Il est très intéressant de voir l’évolution des modes d’accouchement et l’évolution au cours des siècles. Je suisuis assez surprise de découvrir que l’homme et les classes sociales ont considérablement perturbés notre rapport au corps, à ce qui est “naturel”. Mais je suis aussi pleine d’espoir quand à la réappropriation de notre corps aujourd’hui. Mais mes propres sentiments mis à part, effectivement toujours rester dans la réalité objective des femmes. Merci pour ce cours !
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Oui, toujours dans la réalité objective des femmes, en restant consciente que nous ne sommes pas toutes au même stade de cheminement de conscience et que chacune avance à son rythme. Ou n’avancera jamais. Mais cela lui appartient.
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Merci Charlotte pour ce retour, le mot effarant était peut-être un peu fort…. et je comprends tout à fait que ce n’est pas toujours facile à mettre en place mais comme vous dites c’est le serpent qui se mort la queue donc ça me fait réagir ^^
Intéressant les changements plein de sens pour la maternité du Léman (péridurale en déambulatoire, père présent même en salle de césarienne, accouchement dans l’eau,…), d’autant plus que je viens d’emménager dans la périphérie d’Annecy donc à proximité! C’est chouette de voir les progrès mis en place dans certaines structures, bien la preuve que les choses bougent ! -
Merci pour cet éclairage, nous avons encore du chemin à faire pour déconstruire cette idée d’accouchement long et douloureux et permettre aux femmes d’accoucher selon je dirai leurs propres ressentis et leur propre écoute de leur corps. Je trouve toujours cela effarant que ce soit à la femme et au bébé de devoir s’adapter à la position plus “confortable” pour le soignant….
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Bonjour Orlane
Après, disons que l’argument, c’est en réalité “plus confortable pour faire des manœuvres sécuritaires”. Le problème, c’est que c’est la verticalisation qui a créé ce besoin de “manœuvres sécuritaires”… Le serpent qui se mord la queue…
(après, dans les faits, on va trouver du personnel médical actuellement qui est prêt à faire de la contorsion et d’autres non. Par conviction ou par “réalité objective” pour les soignants d’un certain âge et ayant des pathologies dorsales… On trouve également du matériel qui s’adapte – ou non – à ce besoin de mobilisation versus médicalisation. Il y a aussi une volonté politique des chefs de service, des directeurs d’établissements hospitaliers. Voici un exemple d’une maternité que j’avais visitée quand j’étais sage-femme à Annecy et qui avait fait preuve d’une vraie volonté politique de changement : https://www.hopitauxduleman.fr/structures/maternite-du-leman/)
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C’est effectivement horrible cette appellation “lit de misère” et toutes ces croyances négatives véhiculées autour de l’accouchement
Je partage avec vous la réaction typiquement masculine d’un beau frère quand j’ai annoncé que j’étais enceinte il m’a directement dit : “Ah tu vas savoir ce que c’est de souffrir!” je lui ai répondu : “qu’est-ce que tu en sais toi ?” j’ai été choquée à l’époque !
Je n’ai jamais oublié l’air “ironico cruel” à la limite du jouissif qui se dégageait de son visage , l’œil brillant m’imaginant en souffrance . Je n’ai pas compris , j’ai trouvé cela méchant et j’ai eu dû mal a appliquer le non jugement vis à vis de cette réaction . Je n’écrirai pas les qualificatifs qui me viennent à l’esprit encore aujourd’hui quand j’y repense 😉
Cela étant, je comprends déjà mieux d’où cela venait en partie (? peut-être) grâce à votre explication historique et il n’était pas responsable de transmettre malgré lui ce qui est dans l’inconscient collectif depuis des centaines d’années ….
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Bonjour Laurence
Oui, je pense qu’il faut essayer de distinguer ce qui appartient à la personne de manière consciente, ce qu’elle porte de son histoire personnelle et familiale et de ce que l’Histoire et la Société ont ancré en nous, que l’on soit homme ou femme. Ce n’est pas simple. Du tout. Mais je persuadée que c’est aussi un des objectifs de la sophrologie : déconstruire, réduire ce qui ne nous appartient pas réellement, s’en libérer consciemment et avancer. Au niveau personnel et sociétal.
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Merci !c ‘est si important de connaître l histoire et l’évolution des accouchements, en fait on se rend compte que les femmes subissent encore malgré l’évolution de notre société
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Et oui, il y a du chemin à faire. Et nous, sophrologues, avons notre petite -ou moins petite – part à faire ^^
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je me rappelle que la salle nature etait disponible et que je l’avais demandé. j’étais soit accroupie sur le lit d’hôpital, soit par terre et la sage femme etait là à mon écoute et se mettait au même niveau que moi et ça j’ai apprécié cette attention. Elle me disait si tu veux te mettre débout, accroupie, à 4 pattes je m’en fou je suis là je te suis, je t’accompagne. Au final césarienne car j’étais fatiguée et le bébé bloqué dans le bassin, il a relevé la tête et ne pouvait plus passer correctement. il est vrai que seule la maman peut savoir la position qui lui convienne le mieux et pas à chaque fois lui imposer le lit.
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Bonjour Aminata et merci pour ce retour d’expérience !
Il nous montre bien que la femme sait et que l’accompagnement respectueux de la femme et du travail physiologique est possible !
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“Lit de misère ou lit de douleur”, c’est encore les hommes qui décident pour les femmes… Heureusement que cela change dans certains pays, et dans certaines maternités ou hôpitaux. J’ai pu bénéficier d’une péridurale ambulatoire, j’ai donc pu marcher presque jusqu’à la fin. Il a néanmoins fallu que je réitère ce désir auprès de l’anesthésiste (suivi de sa cour d’internes) qui voulait faire ce qu’il voulait, à savoir une péridurale plus classique.
Evidemment, réalité objective du lieu d’accouchement, et adaptabilité sont deux notions absolument essentielles pour nous sophrologues. Il n’en demeure pas moins de travailler avec des sages-femmes pour informer des possibilités qui s’offrent aux femmes enceintes. Surtout pour une primipare qui arrive sur un terrain inconnu.-
Et oui, la naissance est clairement un lieu d’enjeux forts en terme d’égalité homme-femme, en termes de violences faites aux femmes, en terme de paternalisme… Voilà pourquoi c’est un terrain que nous devons investir pour l’empowerment des femmes !
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Incroyable toute cette évolution des positions et des idées véhiculées autour de l’accouchement. Adaptabilité en effet !
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Bonjour Margaux
Tout à fait, le choix des mots a un impact sur notre perception de l’accouchement. On le voit ici sur le versant historique et comme vous nous le rappelez, ça joue également sur la perception de la physiologie de l’accouchement. Nous parlerons de cette phase de désespérance plus tard mais en effet, je dis souvent aux femmes que si on l’appelait autrement, “phase de victoire proche ?”, son vécu serait très différent.
Je note donc qu’au Canada, ils ont déjà cette approche (cela dit, ça ne m’étonne pas du tout ^^)Bonne continuation !
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Bonjour Charlotte,
Merci toujours très intéressant. Quand vous avez parlé du “lit de misère” j’ai tout de suite penser aussi à la soit-disant “phase de désespérance” qui m’avait été expliqué par ma propre SF alors qu’elle me préparait à un accouchement physiologique. Je trouvais ce terme très négatif et décourageant pour beaucoup de femmes. Je préfère largement me terme “phase de transition” utilisé au Canada, beaucoup plus encourageant.
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Encore merci pour cet axe, mais c’est dingue comme en tant que femme, on ne nous met pas au courant ! Si j’avais su j’aurais accouché accroupie, au moins j’aurais demandé pour ma première…
Très enrichissant ! -
Bonjour Patricia
Je vous remercie pour votre commentaire. Sera-t-il possible de venir nous donner le fruit de vos recherches sur les positions d’accouchement aux Pays-Bas ?
Je sais que leur vision de l’accouchement est beaucoup plus physiologique que celle en France. Globalement, la vision des pays du nord est axée sur “tant que tout va bien, tout va bien” quand celle des pays du sud – je schématise mais pas tant que ça – est plutôt axée sur “tant que rien de grave n’est arrivé, c’est que cela peut encore arrivé”. Deux visions complètement différentes qui expliquent bien les différences de prises en charge dans ces pays.
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Je n’ai pas d’expérience des positions d’accouchement mais, vivant aux Pays-bas, l ‘accouchement à la maison est fréquent et privilégié. Je sais que beaucoup des femmes accouchent allongées (réhaussement du lit). Peuvent-elles accoucher dans d’autres positions? je vais me renseigner. Merci pour cette séance encore très intéressante.
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Bonjour Maryse
C’est une bonne question.
Il peut y avoir plusieurs raisons :
– La salle nature / salle d’accouchement physiologique peut avoir été créée uniquement dans une démarche “publicitaire”, pour rendre la maternité attractive. Si le personnel médical ne suit pas, ne l’investit pas, ne se forme pas pour l’utiliser à son plein potentiel, en effet, elle ne servira malheureusement à rien. (Est-ce une démarche du directeur de la clinique? Du chef de service ? Des sages-femmes ? )
– Elle peut également avoir été créée dans une vraie démarche de retour à la physiologie mais sans formation adéquate derrière du personnel, sans disponibilité adéquate du personnel (la bonne volonté peut être présente mais si l’équipe médicale et paramédicale est surchargée de travail… comment accompagner une femme dans le respect de la physiologie ?). Est-il possible d’accéder à une péridurale déambulatoire ?
– Elle peut également avoir été créée dans une vraie démarche mais avec un manque de communication auprès des patientes. Quelle type de préparation à la naissance est proposée par les sages-femmes ? Plutôt classique ? Plutôt “dirigiste” ? Avez-vous un “recrutement” particulier des patientes ? (beaucoup de pathologies ?) Les anesthésistes évoquent-ils cette possibilité lors de la consultation d’anesthésie ? Evoquez-vous les autres méthodes de gestion de la douleur ?Voici déjà quelques pistes qui peuvent vous aider à trouver la réponse à votre question… et peut-être à changer la donne 😉
Bonne continuation !
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Très intèressante cette notion d’évolution de position d’accouchement.
Dans la clinique où j’exerce il y a une très belle salle d’accouchement physiologique mais exceptionnellement utilisée.
Choix personnel ou médical ??? -
Merci Anceline !
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oui l’adaptabilité !!!! ;;;;; Merci Charlottte
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