Veuillez vous enregistrer pour le cours avant de commencer la leçon.

Pratique avec phénodescription : Je prends de la hauteur

Retour à : Sophrologie et Relations toxiques > Module 2

78 réponses à “Pratique avec phénodescription : Je prends de la hauteur”

Laisser un commentaire

  1. Eve Poletti

    Je ressens beaucoup de détente lors de la SDB, mon corps est relaxée et je suis comme dans une une bulle de bien être. J’ai visualisé mes ailes amples et de couleurs claires. Lors de mon voyage je me retrouve à survoler une immense forêt. Le soleil me réchauffe juste comme il faut, le ciel est clair et j’apprécie cette sensation de liberté. Il me vient un sentiment de gratitude à l’observation de cette merveilleuse forêt. Je me sens très apaisée.

  2. Sophie

    Lors de la SDB, je ressens d’abord une sensation de brûlure au niveau de ma gorge, ainsi qu’une sensation diffuse d’appréhension, des pensées concernant des choses à faire, une peur de manquer de temps … puis ma présence à ma respiration ainsi qu’à mes perceptions corporelles m’aide à me sentir plus légère et apaisée.
    J’accueille avec un mélange de joie et d’amusement la proposition d’imaginer sentir des ailes dans mon dos, l’image d’une fée facétieuse alterne parfois avec celle de l’oiseau.
    Je ressens une profonde sensation de joie et de légèreté, je trouve la vue magnifique, très colorée et lumineuse, j’ai presque envie de bouger vraiment les bras pour amplifier certaines sensations.
    Merci beaucoup pour cette pratique agréable, vivifiante et ressourçante !

  3. Salomé Titus

    Sensation de me grandir, de me dépasser. Les ailes ont été très réconfortantes pour moi, comme un guide, qui me permet de voir les choses avec un meilleur discernement. Idée aussi de pouvoir quitter une situation à tout moment si besoin.

  4. corinne giraud

    Beaucoup de bâillements durant la séance avec un sentiment agréable de détente dans tout mon corps.
    Un sentiment agréable lors de l’envol, comme poussée par le bas et légère. Je vole, légère. Je suis au dessus de grands buildings, puis je parcours de grands et vastes espaces vierges et magnifiques. Un sentiment de liberté au niveau du coeur m’accompagne. Je vole avec joie, actrice dans mes battements d’ailes. C’est si bon.Plus rien n’est important, si ce n’est là ici et maintenant.

  5. Valérie GOOCH

    Très belle pratique. Je me demandais si c’était le bon moment pour moi car très fatiguée aujourd’hui. Et pourtant, j’ai déployée mes ailes et je suis partie très haut. J’ai ressenti à la fois de la légèreté, de la liberté et un sentiment de puissance. Merci.

  6. Laure LAGRAVE

    J’ai fait cette pratique alors que je suis très fatiguée aujourd’hui. J’ai d’abord eu du mal à visualiser ces ailes, que je voyaient presque trop lourdes pour moi. Puis j’ai finalement senti ces ailes puissantes me soulever et prendre de la hauteur. J’ai alors pris conscience d’une multitudes de possibilités que je ne voyais pas et qui s’offraient à moi, comme si je ne les avaient pas encore vues mais que je me sentais s’approcher d’elles. En tout cas je suis certaines qu’elle sont là, présentes, quelque part même si je n’y ai pas encore totalement accès.
    Merci pour cette belle pratique.

  7. SILVIA GOUBIN

    bonsoir,

    j’ai adoré cette pratique : détente dans tout le corps, notamment les épaules, et le dos. ma respiration devenait de plus en plus profonde et longue.
    mes ailes belles, lumineuses étaient puissantes, fortes et m’aidaient facilement à prendre de la hauteur. j’ai ressenti ce détachement, cette légèreté dans le corps et le mental, des sensations de froid, de frissons sur les bras puis mes jambes. je me sentais vraiment bien, comme si on me poussait vers le haut pour respirer encore plus profondément. mon positif était cet oxygène et cette respiration ample, chaleureuse qui me donnait de la force, et le calme intérieur, comme un silence dans mon mental qui s’installe.

    permet elle d’aider les ‘victimes” de lâcher prise autant sur leur bourreau que sur les excuses, et leurs comportements ? aide t’elle aussi à comprendre leur rôle, celui de victime, et de leur culpabilité envers leurs émotions et ressentis qu’elles ont envers leurs bourreaux ?
    mène t’elle (cette sophronisation) à la réflexion, au déclic qui déclenche le changement ? est ce un point de départ dans la transformation et la libération des relations toxiques ?

    merci pour vos retours.
    bonne soirée.

    1. nathalie pochon riesen
      nathalie pochon riesen

      Cette pratique spécifique permet aux personnes en souffrance de prendre de la hauteur et de voir leur situation sous un autre angle, surtout lorsqu’elles sont encore sous l’emprise d’une personne toxique. Grâce à cela, elles peuvent souvent réaliser “l’absurdité” de la situation, voir combien il pourrait être simple de partir, de parler ou de minimiser la puissance qu’elles accordent à l’auteur de la toxicité.

      L’objectif de ces pratiques est de permettre aux victimes de réaliser qu’elles ont en fait le pouvoir dans la relation. Ce n’est pas l’auteur qui a le pouvoir, mais la victime, car l’auteur n’est rien sans la victime, tandis que la victime est tout sans l’auteur. Quand les victimes prennent conscience de leur puissance et de leur pouvoir sur la relation, elles font alors un des premiers pas vers la liberté, leur propre liberté. Elles peuvent enfin se reconstruire sans l’autre, se réapproprier leur identité propre, cesser d’être une marionnette, apprendre à se positionner et à exister par elles-mêmes. C’est d’ailleurs ce qui fait peur à l’auteur de la toxicité.

      Toutes ces pratiques sont à adopter avec vigilance. Elles ne sont pas conçues pour aider les personnes à souffrir encore plus lorsqu’elles sont encore avec la personne toxique. L’objectif est plutôt de les aider à prendre du recul et à se voir dans une perspective où elles peuvent identifier leur pouvoir et commencer à se libérer.

      Pour répondre à vos questions plus directement :
      – Oui, cette pratique peut aider les victimes à lâcher prise sur leur bourreau et sur les excuses et comportements qu’elles ont pu adopter pour survivre.
      – Oui, elle aide à comprendre leur rôle de victime et à prendre conscience de la culpabilité et des émotions qu’elles ressentent envers leurs bourreaux.
      – Oui, cette sophronisation peut mener à la réflexion et au déclic qui déclenche le changement. Elle peut être un point de départ crucial dans la transformation et la libération des relations toxiques.

  8. Juline Dufour

    Beaucoup de baillements pour moi lors de cette pratique. Impossible pour moi d’imaginer des ailes dans mon dos…ce qui m’est venu c’est que l’on pourrait de nouveau “me couper les ailes’ et que je serai alors obligée de rester sur place… ce sont donc une multitude de petites ailes partout sur mes bras (ailes bien visibles et sous haute surveillance et protection 😀 ) qui sont apparues et m’ont permis de prendre de la hauteur.