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178 réponses à “Pratique 2 du module 6 deuil : De ma fin de vie au sens retrouvé de ma vie”
Je ferai cette séance un peu plus tard.
MerciJe me suis vue vieille, assez marquée, beaucoup plus ronde qu’aujourd’hui ! Une petite mamie qui aurait bien profité de sa vie, et qui sait qu’elle peut s’en aller sereinement.
J’avais envie d’être entourée de ma famille, de mes enfants et peut-être mes petits-enfants. Au moment de mourir, l’envie de retrouver ceux qui sont déjà partis et qui peut-être seront là pour m’accueillir. Je ressens quand même un peu de tristesse de quitter mes proches mais j’ai la sensation que je pourrais toujours veiller sur eux.
J’espère qu’ils se rappelleront d’à quel point j’ai pu les aimer. Je me rappelle des épreuves que j’ai traversées et qui ont forgées ma force , et mon envie de vivre pleinement aussi.
Maintenant je me rends compte que j’ai besoin de plus de légèreté et de douceur dans ma vie ! Des choses ont encore besoin d’être réglées, et j’en ai pris conscience.
Merci beaucoup pour cette belle séance.La vie est un chemin d’évolution… Jusqu’au bout. Peut-être que les choses ont “besoin d’être réglée” ou tout simplement, d’évoluer… Dqns un sens ou dans un autre, parfois même dans une direction à laquelle nous n’avons pas pensé… C’est la magie de tous les possibles à laquelle nous ouvre la sophrologie.
Je me sens sereine à la fin de cette séance même si j’ai eu du mal à me détendre au début.
Je me vois entourée de mes arrières petits enfants, je les imagine nombreux.
Je suis souriante malgré mes rides et mon corps affaissé.
il me reste à dire à mes enfants que je les aime et que je n’ai pas peur de mourir, juste triste de les quitter.
Je sais que la mort est un passage à autre chose, une autre vie peut-être.
J’entrouvre les yeux et je les referme aussitôt pour respirer profondément, une court moment de nostalgie.
Ce que j’ai appris de cette vie: que l’on est seul au fond et que l’amour est ce qui nous fait vivre.
L’amour donné, l’amour reçu, que de joies dans cette vie. Je vois les visages de mes amours.
Je reviens à mon corps avec les mains sur le ventre, cela m’apaise et me rassure, je suis envahie par une envie de vivre, de rire, de profiter du temps qu’il me reste, j’ai encore beaucoup de choses à accomplir, je respire et je souris.Je ne suis pas prête à vivre cette séance, je préfère la remettre à plus tard. Je l’ai tout de même écoutée.
J’ai simplement écouté cette pratique car je ne me sens pas prête à la vivre pour le moment. Je préfère remettre à plus tard pour cette fois.
Bonjour Patricia,
Physiquement, âgée, je me sens légère et dense à la fois… un peu amaigrie, la peau des mains fine et ridée… heureuse, espiègle même… et aussi un peu fatiguée, d’une bonne fatigue… L’idée d’approcher de ma mort a plutôt éveillé ma curiosité comme quant on attaque le dernier chapitre d’un roman, j’ai ressenti une sorte d’élan qui m’a faite me redresser sur ma chaise… aucune peur.
Pour les personnes qui m’accompagnent en fin de vie: ma fille chérie… et aussi, bizarrement… un chat… (que je ne connais pas)… finalement j’ai plutôt envie d’être seule, au calme, avec cet animal. Sentir sa chaleur, sa douceur, et son détachement…
Plus j’avance dans la séance plus je me sens coupée en deux. Je suis heureuse dans la vie, et sereine avec l’idée de ma mort.
Ce qui vient à ma conscience c’est mon inquiétude sur l’après… l’avenir de notre planète… j’ai la gorge qui se serre à l’idée de laisser ma fille dans ce monde-là…
J’ai activé ma capacité d’optimisme (celui que j’ai dans la vie de tous les jours) et de confiance.
Merci beaucoupJe me suis vue dans ma maison, le corps légèrement courbé, avec une canne. Je me suis vue avec le sourire sur mon visage, les cheveux blancs. J’étais heureuse d’entendre mes petits enfants jouer pas très loin.(peut-être même arrière petits enfants d’ailleurs) .Ma fille était avec moi, souriante et belle. J’aimerais que mon mari soit là mais je ne suis pas sûre qu’il y soit. Je n’ai pas de regrets car je n’ai jamais lâché dans la vie, j’ai toujours expérimenté des projets. Et justement, ce que j’aimerais développer est le lâcher-prise. Pouvoir continuer dans mes projets mais en lâchant l’obligation de résultat et vivre plus dans la légèreté et l’instant présent. C’est ce que je veux amener à cette vieille femme que je serai, me dire : hey! Tu as toujours continué mais tu as su profiter et avancer avec légèreté et lâcher-prise!
Troqué “l’obligation de résultat” et la loudeur qui va avec contre le plasir de faire les choses et la légèreté que cela procure… un beau programme.
Bonjour Patricia
Une dernière et magnifique séance. Un sentiment de bonheur d’avoir fait ma connaissance dans 30 ans. Nous nous sommes souries et j’étais pleine de joie dans mon corps de vieille femme. Un corps âgés dans un esprit de femme dynamique et proche du monde, de l’humain. Active dans l’associatif. Et surtout heureuse de vivre ce qui me reste à vivre et pleine de gratitude de ce que j’avais déjà vécu. J’étais en parfaite harmonie avec la vie avec la mort qui approche. Aucune peur, un sentiment de confiance et d’abandon. Lors de la venue de ce que je voulais avoir près de moi, une intense, très intense bouffée de larmes. Dire aurevoir à mes enfants et mon petit fils, a été un moment émotionnel fort au niveau de mon plexus. Diaphragme bloqué, spasmes, et montée de larmes. Puis tout s’est calmé à la pensée d’aller rejoindre ceux qui m’attendent de l’autre côté. Un sentiment de lâcher prise de l’émotion de tristesse faisant place à un sentiment de joie et de bonheur.
Je savais déjà que j’étais prête pour le grand voyage à n’importe quel âge, j’en suis encore plus consciente aujourd’hui
merci merci merciBonsoir Stéphanie,
Vous semblez être le lien entre ceux qui restent et ceux qui qui “attendent de l’autre côté”, comme une continuité, un trait d’union…
Dire au revoir peine toujours… La tristesse peut être douce et, une fois exprimée, ouvre la voie à la joie.
Je me suis vue au début les cheveux tout blanc, avec une canne et souriante, sereine. Un voile de solitude m’a cependant parcouru avec une envie de pleurer. N’ayant pas d’enfants, les personnes les plus proches d’aujourd’hui seront sans doute déjà partis. Les petits d’aujourd’hui auront peut-être fait leur vie ailleurs. Puis le sourire est revenu à l’approche de la mort, je me suis sentie prête à partir, prête à retrouver ceux déjà partis. Le sourire et la sérénité sont restés jusqu’à la fin de l’exercice qui a mis en exergue les liens que je souhaite développer pour cultiver et transmettre la joie de vivre, l’amour et peut-être me sentir moins seule sur la fin.
Rebonjour Natacha,
“Retrouver ceux déjà partis” car vous faites partie de cette grande famille humaine d’ici et d’ailleurs… La famille peut-être comrpise dans un sens large: de sang, de coeur, d’âmes, etc. En transmettant cette joie de vivre dont vous parlez, vous créer du lien… On partage et transmet à tous ceux qui croise notre chemin , pas seulement à nos enfants quand on en a et parfois même plus à d’autres personnes…Et si vous faisiez une sophro mnésie senso perceptive des 3 âges pour laisser venir les situations dans lesquelles vus avez soutenu, aidé, parfois même juste rigolé avec quelqu’un lui apportant ainsi de la légèreté, où vous avez tout simplement partagé de bons moments avec d’autres personnes?
J’ai plutôt bien vécu le début de la séance. Il était plaisant pour moi de me projeter âgée. Sensation de paix intérieure , comme si tout était en ordre dans mon esprit, comme un lac calme à l’intérieur de mon corps. Je le ressentais particulièrement dans ma poitrine, comme si j’étais remplie, comme si je baignais dans une grand bien-être. Mon cœur rayonnait comme un soleil. Mes sensations ont complètement changées lorsque j’ai évoqué les personnes présentes…J’ai actuellement 40 ans, je suis divorcée, je n’ai pas d’enfant et je suis la dernière de ma famille qui est très restreinte…Vague d’émotions et de larmes en conscientisant que je me retrouverais seule dans la logique des choses. J’avais déjà vécu ce malaise dans une des pratiques précédente ou l’on évoque l’entourage. J’ai pu constater que j’étais très mal entourée et cela m’a causé un grand mal être. Personne ne peut imaginer que je ressente cela car j’ai un contact plutôt facile, je suis même assez joyeuse de nature, mais je n’ai pas de relations amicales profondes.Je suis actuellement très reconnaissante d’avoir ma famille, mais en me projetant âgée, à l’évidence ils ne seront plus là. J’ai des douleurs dans mon corps à ces évocations, particulièrement dans ma poitrine comme si j’étais enfermée dans une boîte, ma respiration est courte et haute comme si je ne pouvais pas la terminer…
En relisant ma description, j’ai une évidence qui m’apparait : il est important pour moi de tisser des liens avec d’autres et de tisser de véritables relations profondes et sincères, des personnes sur lesquelles je pourrai compter. J’ai l’impression d’avoir ouvert une fenêtre de cette boîte dans ma poitrine, comme si j’avais poussé une porte de secours qui m’ouvrait sur un vaste paysage qui m’ouvrait de multiples possibles…Ma cage thoracique retrouve plus d’oxygène…Bonjour Aurélie,
Quel que soit notre entourage, ne sommes-nous pas fondamentalement seul(e)?
Et en même temps, ne sommes nous pas un membre précieux et unique de cette grande famille humaine? De notre famille de sang, de notre famille amicale, de coeur, de celle que nous formons avec ceux que nous soutenons de manière personnelle, professionnelle, bénévole… Il y a tant de façon d’”appartenir”… Vous trouverez la vôtre…. Peut-être est-elle déjà en train de se manifester, autrement que sous la forme sous laquelle vous l’attendez… Parfois, en regardant les choses sous un angle différent, nous les voyons autrement… N’est-ce pas ce que nous apprend la sophrologie?…Quelle magnifique point de vue et ouverture sur d’autres possibles. Merci Patricia.
le 11 juillet 2021 :
Phénodescription : A la fin de ma séance, il me reste les cartes 3 et 4.
Je me sens sereine face à ma mort, à mon corps qui vieillit et au chemin de vie qu’il me reste semé d’émotions, d’amour de la vie telle qu’elle est, terrible parfois et si belle pourtant.
Je me suis contemplée vieille femme, assise sur ma chaise comme je l’étais pendant la séance. Mes cheveux blancs étaient coiffés avec un petit chignon de grand-mère, ma peau fripée de mon visage et de mes mains ne me semblait pas inconnue. Je me sentais en bonne santé. Puis ma contemplation est devenue plus intérieure, j’ai perçu les battements de mon cœur, ma respiration, ma biologie comme ralentie m’a procuré un sentiment de sérénité.
La présence de mon fils Hugo était forte dans tout mon être. C’était lui que je voulais rassurer. Ce que je souhaite c’est lui transmettre la satisfaction que j’ai de ma vie telle qu’elle a été, mon amour de la vie telle qu’elle est et ma gratitude d’avoir eu conscience de tout cela, d’avoir su en conscience mon existence.
Je ressens beaucoup de gratitude d’avoir la possibilité de préparer ce moment de la fin de ma vie tout au long de la période d’existence qu’il me reste. Et j’ai le sentiment que j’ai déjà commencé ce « travail » depuis plusieurs années.Notes : Merci Patricia pour cette pratique qui me permet de mettre en mots ce que j’éprouve au sujet de ma fin de vie, de la vie et de sa finitude. Belle pédagogie de l’existence.
Au fur et à mesure de la séance les tensions dans les épaules et la nuque disparaissent et je me sens ensuite ancrée et à l’aise. Je me suis vue vieille et tellement sereine avec cette impression d’avoir fait ce que je devais faire, les yeux qui pétillent, de la vigueur et de la force dans mon sourire. Tout cela réchauffe mon cœur. Je ressens de la douceur et de la bienveillance pour cette vieille dame que je suis devenue, qui a fait de son mieux, à tout point de vue. Un sourire se dessine sur mon visage et mon cœur déborde de tendresse pour elle. J’apprécie ce moment où je me dis que je devrais me montrer tendre et bienveillante avec elle (moi) maintenant dans l’instant présent et pas seulement à 90 ans. Je me sens comme réconciliée avec moi-même et ça c’est un cadeau que je me fais.
La bienveillance vis à vis de soi, n’est-ce pas l’un des plus beaux cadeaux que l’on puisse s’offrir?
Dans le prolongement de la pratique précédente, je me sens extrêmement sereine.
Je me sens pleine à l’intérieur et légère à l’extérieur. Je me visualise à 90 ans comme une femme marquée par le temps mais vive d’esprit, accomplie et en paix. Mon mari (mon âme soeur) à mes côtés, nos deux enfants à qui j’ai transmis l’amour et la confiance en la vie, je ressens de la douceur et du soutien de leur part. Je ressens que seul l’Amour compte et que j’en ai donné et reçu énormément. Je me vois comme une femme sage.
J’ai appris à donner sans attendre un retour. J’ai appris à voir le verre à moitié plein. J’ai appris à m’aimer.
Je sais que j’ai encore des choses à dire à mon père, et que le temps me permettra de le faire; le moment viendra.
J’ai confiance en la vie.Bonjour Alexandra,
Oui, parfois il est bon de se lâcher un peu en sachant que “le moment viendra”. Serait-ce de la bienviellance à son égard? 🙂
Je ressens beaucoup de douceur suite à cette séance.
Lors du SDN abrégé, sensation de tiraillement au niveau du bas du dos,et légèreté sur le reste du corps. J’ai ressenti l’énergie de l’univers comme un doux fluide qui coulait dans mes mains.
Lors de la visualisation, j’ai ressenti des tensions au niveau des mâchoires puis au fur et à mesure c’est monté au niveau des tempes et au haut de la tête. En même temps, je me voyais de l’extérieur souriante et à l’intérieur en paix. Je ressentais le soutien de mes proches : mon mari et mes enfants.Leurs amours mais aussi leurs inquiétudes. J’ai ressenti la présence aimante qui m’entoure dans ma mort, moment très doux.
J’ai appris de cette vie que l’amour est le plus important, et que la simplicité peut s’allier avec la richesse. L’amour, la persévérance et croire en mes capacités sont ce qui m’a permis de vivre la vie que je souhaitais. Je ne ressens plus aucune tension corporelle juste le sourire et la paix d’une femme accomplie.
Gratitude pour cette dernière séance avec vousJe rate une première fois la séance car je pensais que je devrai compléter les cartes pendant la séance. Cela me déstabilise. Je n’étais pas bien centrée déjà, je ressens un peu d’agacement. Je veux reprendre mais n’arrive pas à compléter les cartes. Je décide de reporter.
Nouvelle tentative. Je complète les cartes sans difficulté cette fois. Je n’appréhende pas l’idée de ma mort en tant que telle, mais n’ayant pas d’enfant, la question de la transmission est toujours un peu difficile. Quoi? A qui?
La SBV abrégée me permet de me sentir stable et tranquille très vite. Je me vois vieille, petite, plus à l’étroit dans mon corps et en même temps,c ‘est comme si mon énergie était resserrée, davantage présente. Une vieille dame dynamique, gaie, entourée de jeunes, continuant d’œuvrer pour eux. Je lais de côté les noms des personnes auxquelles je dois dire des choses. Sentiment qu’à ce moment-là ce sera réglé. Puis je laisse de côté mon piano, avec cette certitude que je le donnerai à quelqu’un qui en aura besoin, qui en sera heureux-se, ou une association. Ce qu’il me restait à faire? Marcher, faire de longues randonnées. C’est la troisième carte que je laisse. Mon chemin est arrivé au bout. Tout est calme en moi, très serein, ma respiration, ma posture, le poids de mon corps.
La main de mon conjoint dans la mienne, sa chaleur, sa douceur et quelques dernières blagues avec mes amis. Je laisse des rires et de la confiance.
Je prends conscience ici qu’il y a mille façons de transmettre. Pas de vide.
Les deux cartes qui restent; “Jardin” et la liste des personnes avec lesquelles tout est au clair. C’est joyeux! J’ai un jardin d’amis à cultiver. cette image me fait sourire. Elle me refait sourire au moment où j’écris. J’adore ce moment. Ces deux moments. Je dois activer ma capacité à aller vers l’autre. J’y retrouve la marche, j’y retrouve l’empathie, j’y retrouve la confiance. Je devrai utiliser la qualité de présence, ma liberté. Je n’aurai toutefois pas réglé mes difficultés à m’exprimer parfois, de peur de blesser. J’aurai appris à vivre avec. J’aurai appris à accepter les fluctuations de la vie, à les accompagner grâce à la sophrologie J’aurai appris la sérénité, la richesse des autres. Tout cela est joyeux, cohérent pour moi et mes pensée s’envolent vers des projets en cours. Penser à ma mort me ramène à ma créativité, ma capacité d’action. Le surgissement de ces projets me surprend, me suspend un temps et puis il fait naître un sourire intérieur. Je perçois beaucoup de lumière derrière mes paupières. Quand j’ouvre les yeux le ciel est bien gris.
Je me sens bien. C’est juste ça.Je prépare mes cinq cartes sans difficulté, ensuite je commence la séance avec un bon ancrage, comme à chaque fois, je ressens un réel plaisir à faire l’exercice de la verticalité, en m’étirant, ensuite en me connectant à l’univers, je sens bien cette énergie me traverser, ça se manifeste par de la chaleur dans ma poitrine et la couleur blanche qui apparait. Je me remplie de cette énergie positive.
je m’imagine à quatre vingt dix ans, calme, sans angoisse, je vois le dessus de ma tête avec des cheveux blancs, un visage lisse et un corps frêle.
je choisis mes cartes avec hésitation et je les inverse en fin de séance.
le jour de ma mort, j’aimerai que mes enfants et mon mari (s’il est toujours en vie) soient présents, qu’ils m’accompagnent dans ce passage et que je leur dise au revoir paisiblement, que je les rassure aussi pour ne pas qu’ils soient malheureux par la suite, je me rend compte que c’est le plus douloureux pour moi, voir mes proches dans la tristesse.
ce que je veux transmettre, ce que je veux que l’on garde de moi, c’est ma générosité, ma capacité d’écoute et de bienveillance et c’est ce que je veux léguer à ma famille.
je me rend compte, que j’ai encore une chose à régler, que j’ai déjà essayé de faire d’ailleurs, mais sans grand succès, je vais réessayer.
Entre aujourd’hui et ma fin de vie, je veux continuer à être dans l’accompagnement des autres et dans l’entraide.
le mot qui me vient à cet instant c’est plénitude et accomplissement.En vous lisant, je retiens ce mot “accomplissement”.
Il me revient à l’esprit cette phrase en notant votre tristesse à laisser vos proches lors de votre décès, “les vivants ferment les yeux des morts et les morts ouvrent les yeux des vivants”.
Le balancement sur mes pieds me ramène immédiatement dans mon corps. Malgré ça, j’ai eu du mal a m’appropriée le sens des phrases en début de séances. J’observe juste, je me mets dans la séance peu après.
Dans la partie vieillissante de ma vie, je me voie en conection avec la terre, les végétaux, critaux, tout ce qui est Vie.je ressens l’unification.
Je suis accompagnée de mon mari. Je suis entourée de mes proches vers la fin de ma vie, je ressens du réconfort et beaucoup de bienveillance en retour.
Je veux legger, mes écrits, transmettre ce que j’ai pu apprendre, je leurs donne un petit quelque chose à chacun.
J’aimerai que l’on se rappelle de moi comme cette femme souriante et bienveillante. Toujours à l’écoute, prenant chaque personne en considération dans la vie privée comme au travers de l’accompagnement.
Ce qui me restera de ce passage est mon parcours dans son évolution personnelle.
Je pense avoir réglé ce qui devait être fait.
La capacité que j’ai à activé est le passsage à l’action, l’impulsion.
Je suis totalement en accord avec moi-même au moment de partir et me vois paissible.
Merci pour cette séanceLa transmission comme valeur de votre présent et de votre futur.
En écoutant l’explication, la 1ère chose qui m’est venu à l’esprit, c’est le fait de ne pas avoir d’enfants… qui aurais-je à mes côtés au seuil de ma mort ? Pendant la séance, je me suis sentie alignée avec mes choix, avec la vie que j’ai menée. Je me suis sentie réalisée et épanouie dans ma vie de couple et dans mon activité, à travers l’accompagnement. Je me suis vu les cheveux grisonnants, souriante, auprès de mon mari, qui a toujours été présent à mes côtés, dans nos projets, j’ai vu nos échanges, nos regards…A mon chevet, il y avait mes neveux, mes cousins, mes amis. J’étais bien entourée, je me suis sentie réconfortée, en paix, avec le sentiment d’avoir accompli ma mission de vie et d’être auprès de tous ceux qui me sont chers. J’ai eu le sentiment d’avoir oeuvré pour de belles causes, d’avoir accompagné divers publics et communautés dans le besoin. Je garde le souvenir d’avoir baigné dans l’amour, la bienveillance et le partage. Après mon décès, j’aimerai que les valeurs de confiance, de joie et d’espoir accompagnent ma mémoire. Que les personnes qui ont croisé mon chemin, se souviennent d’une personne joyeuse, toujours à l’écoute des autres, qu’ils sourient à l’évocation de ce souvenir.
La moi de 32 ans a eu un peu de frissons d’imaginer la moi de 90 ans en fin de vie mais j’ai adoré la séance.
Les 5 cartes ont été facile à remplir et facile a choisir durant la séance.
A 90 ans je suis accompagner de mes proches, ma famille surtout mon conjoint s’il est toujours présent.
Je suis soutenue par ma fille avec qui j’ai gardée cette relation fusionnelle. Je suis sereine en paix avec moi même tout est régler pour mon départ. J’ai préparée mes proches ils n’auront rien a régler a la suite de mon départ. J’ai tout choisi tout organisé pour laisser mes proches vivre leur deuil sans se soucier de l’administratif.
J’ai le sourire, je laisse a mon entourage une stéphanie qui a bien vécue sa vie qui est fière de son parcours et de sa mission de vie: aider les autres.
Tout au long de ma vie j’ai fais mon possible pour accompagner les autres et me tourner vers les autres. Ma vie a été très épanouissante et enrichissante.
Je laisse le souvenir d’une personne bienveillante et rempli d’amour pour les autres.
J’ai aussi fais des choix pas toujours en accord avec moi même mais je suis la ou je suis grâce à eux également.
Je suis unique, je suis à ma place et la moi de 32 ans a plus qu’a oser faire sa place, oser aller vers les autres oser avoir confiance en elle et s’épanouir de tout le résultat qu’elle va accomplir.Bonsoir Stéphanie,
Je vous remrcie pour votre partage.
L’audace semble se présenter comme l’un de vos futurs moteurs de vie. Une capacité à réveiller?Bonsoir Patricia,
La capacité d’entreprendre et d’aller de l’avant
C’est ancrée que j’ ai pu apprécier cette séance. Le balancement m’a ramené au contact de mes pieds sur le sol et leur stabilité. Mon corps tout entier était stable, solide comme un roc. J’ai facilement écrit les 5 cartes. Âgée, je me suis vue ridée, cheveux blancs, sûre dans ma démarche, le regard doux, je me suis sentie sereine. La première carte mise de côté a été simple, le bien. La seconde “l’activité physique”. J’étais entourée de mon mari et mes enfants, petits enfants, heureuse d’être en famille, vivant chaque instant comme un nectar de la vie. Le jour de ma mort, c’est un jour ordinaire où je m’éteins sobrement auprès de mon mari, main dans la main. Il fait jour, il fait beau. Cette séance m’a fait prendre un peu plus conscience de la libération de la parole, dire ce que je ressens à certains de mes proches. Quant à ce que je souhaite faire, c’est accompagner les personnes qui croisent mon chemin à un mieux vivre. Depuis petite, inconsciemment, je le faisais. J’ ai revu des scènes ou je croisais des personnes tristes, taciturnes et qui au hasard des rencontres croisaient mon sourire et continuaient leur chemin en me rendant le leur, plus légers dans leur démarche. J’ai revu une dame me comparer à un rayon de soleil. Ces souvenirs me font chaud au cœur. À la question de ce qui est important pour moi, une repose simple, “la simplicité”
Ce qui est important pour moi, me connecter encore plus profondément à ma spiritualité pour être encore plus à l écoute et savoir accompagner les personnes dans la guérison de leurs maux. Après ma mort, je souhaiterais que les personnes qui ont croisé mon chemin, sourient en pensant à moi et se sentent heureuses juste avec ce souvenir.
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