Veuillez vous enregistrer pour le cours avant de commencer la leçon.

Pratique 1 du module 6 : Rétrospective de mes deuils personnels

Retour à : Sophrologie et Deuil > Module 6

186 réponses à “Pratique 1 du module 6 : Rétrospective de mes deuils personnels”

Laisser un commentaire

  1. Caroline
    Caroline

    Douce séance, mon souffle bien là, présent à chaque instant. Un délice de le laisser voyager dans les différents systèmes: l’installer puis le laisser prendre de l’ampleur, remplir mes étages. Debout, je me sentais grande, particulièrement stable, plus haute que d’habitude. Puis l’envie de m’asseoir et de me laisser porter. Sentir la douceur de la peau de mes enfants, à l’inspire puis à l’expire. Déposer un foulard de soie sur la gorge. Puis retrouver le fil de l’histoire avec ma vie coupée en deux : les premiers deuils (je n’ai pas pensé à mes animaux mais là oui), c’est loin maintenant. Vivre comment ils se sont installés dans le corps, et surtout dans le 3e syst. Je me sens en paix même si sous le thorax, un sentiment de vide à un moment. Puis la 2e période, d’autres personnes parties, c’est plus frais, le 3e système qui est plus marqué. Je suis toujours en paix avec eux. Je sens que j’ai de la chance. Ils sont bien reliés à moi et ce transperce c’est leur immense générosité. Dans cette période j’ai perdu 2 grand-mères, 2 oncles, 1 ami. Les premiers morts, étaient reliés par leur mystère, leur dignité. Ils vivent en moi, je suis heureuse de les porter un peu, d’avoir trace de leurs histoires. Quand vient le fil qui relie les 2 périodes, comme un titre su l’écran : la fierté généreuse. Comme un titre de Western. En fin de séance, je me sens encore plus porteuse de vies, d’histoires que d’habitudes. Sensations de fierté. Nostalgie du moment. Merci.

  2. valoucan

    La douceur est venue sous forme d’ouate blanche, cotonneuse, puis sous forme d’un duvet moelleux, m’entourant, me protégeant, m’enveloppant.
    La première partie de ma vie, la perte de mon chien. La deuxième partie de ma vie, beaucoup de personnes ont refait surface. Ma grand-mère paternelle en premier, mon grand-père, des larmes montent, une douloureuse sensation au niveau de ma gorge, dans ma cage thoracique. Je respire, j’ai du mal à retrouver mon calme. D’autres personnes proches apparaissent, je leur dis au revoir. Puis ma grand-mère maternelle et mon père décédés récemment. Je les embrasse, les serre dans mes bras, je respire et retrouve l’odeur de ma grand-mère. Je ressens la présence de toutes ces personnes disparues, le mot amour me vient. Toutes ces personnes que j’ai aimées sont là. Elles me manquent mais elles sont là, elles le seront toujours, cela m’apaise, j’enveloppe mon coeur, ma gorge, de douceur. je me sens plus sereine, le calme revient. Merci.

  3. AGNES CANTONE

    Sensation d’être bien ancrée, bien reliée à la terre malgré la fatigue, les baillements. La douceur m’a fait penser à mon chat qui est arrivé aussitôt et a passé la séance près de moi à ronronner. A l’évocation des deuils beaucoup d’images sont apparues, sans émotion attachée ou sensation physique particulière mais riche de sens. Impression de regarder ma vie et celle de mes proches sur un écran, Mot qui relie les 2 periodes “l’impermanence”. Dans cette séance agréable sensation que la mort faisait partie de la vie , lui donner même du relief, de la lumière.

  4. Hietin Chrystel

    Dansˆ première partie pas vraiment de deuils alors j’ai laissé en moi résonner le deuil de l à petite fille parfaite de ma prime enfance face à l’adolescente
    La douceur dans un souvenir de cotons dan d’une boîte …. Doux , enveloppants , odorants
    Pour deuxième partie j’ai rendu hommage à l’ensemble de mes grands parents et à une tante bien aimée … j apprécie encore une fois le tempo de cet accompagnement et la douceur qui s’intègre en moi
    La luminosité du dehors est douce aussi , alors je sens à la nostalgie la joie se mêler et la gratitude m’imprégner
    Tout fait sens, effectivement
    Merci ☀️

  5. Sonia

    Une profonde détente et un grand calme limpide et clair dans mon corps dès le début de la séance. La douceur qui m’est apparue tout d’abord comme un plaid douillet, puis très rapidement j’ai retrouvé la petite couverture de mon enfance que j’emmenais partout! Réveil des sens, et grand bonheur. Sourire… Dans la première partie de ma vie, me remémorer les deuils avec nostalgie, notamment un que je pensais “classé”. Observer le vide que ces personnes ont laissé avec bienveillance, et reconnaissance pour tout ce qu’ils m’ont apporté, transmis. Apaisement.
    La 2éme partie de ma vie m’a emmené vers des deuils plus douloureux. Sensation d’oppression au niveau du thorax bien moins forte qu’au moment des décès concernés. Sentiments d’être en voie vers un apaisement. Puis accueillir le décès récent qui s’est présenté dans ma vie, plus vif, en chemin. Avoir pleinement conscience que tout peut s’arrêter brutalement, sans prévenir, et que chaque instant doit être vécu pleinement, et que c’est un bonheur de vivre chaque instant et de le partager avec ceux que l’on chéri. Ressentir et apprécier la valeur de la vie qui coule en moi., et des héritages transmis. Merci pour cette très belle séance.

  6. Rachel Galerme

    La douceur m’est venue sous forme des pétales d’une rose. Pendant l’évocation des deuils sur ma première période de vie , j’étais très détendu et ma respiration était calme, fluide . Pour la seconde partie de vie, j’ai ressenti une léger poids sur la poitrine avec une respiration plus haute. J’ai pris conscience que mes deuils m’ont tous appris l’indépendance et de choisir ma vie au delà du regard des autres. A la fin, j’ai le sourire et je suis fière de mon chemin

  7. Karine Vallade

    Un coussin très doux, duveteux et moelleux a représenté pour moi la douceur. Lors de l’évocation des deuils, leger emballement de la respiration, tout se passe au niveau du cœur. Sur les 2 périodes de vie, je retrouve mes 2 grands-mères, une que j’ai peu connu et qui m’apparait sous un jour nouveau, elle chante et danse, elle est joyeuse et je partage cette joie de la revoir. L’autre dégage aussi beaucoup de joîe que je reçois volontiers. Je me sens légère et résiliente à la fin de la séance.

  8. Sandrine

    Pour la douceur, c’est le poil de mon petit animal disparu qui vient à moi avec la sensation du toucher tellement particulier de son poil, sa petite voix, son odeur.
    Premier défunt qui est venu mon arrière grand père avec un sentiment de douceur et beaucoup d’amour ressenti, une ouverte de la cage thoracique, une respiration qui s’est accélérée au début puis apaisée, un corps relâché. Sensation en moi de cet amour.
    Pour le second, il m’a fallu faire un SDN et reprendre contact avec ma respiration et la douceur pour y retourner. Poids sur la poitrine au début qui s’est estompé. Des larmes.
    Ce qu’il en reste ce sont des petits bouts d’eux qui vivent en moi à travers des qualités communes : générosité, amour, douceur, bienveillance. Conscience que ces personnes vivent en moi, à travers moi et que ce sont bien eux et leurs pertes qui m’ont construite et fait ce que je suis aujourd’hui.
    Merci

  9. Emilie Coupé

    Douceur enveloppée dans une couverture “peluche”, que ma fille adore chiper. Elle me permet de ressentir de la chaleur, de la tendresse, enveloppée et serrée comme lors d’un câlin, et peut-être aussi lovée, foetus dans le ventre de ma mère.
    Les deuils qui me sont apparus sont des épreuves qui ont jalonné ma vie, se sont mêlés à d’autres “deuils” tels que la perte subie d’un emploi, le handicap, l’arrivée de la maladie, mais m’ont tous permis d’avancer pour en devenir encore plus forte malgré ces blessures qui sont toujours là mais des événements sur lesquels je peux me reposer, devenus forces plutôt que faiblesses.

  10. Charlotte Weiss
    Charlotte Weiss

    Mon objet de douceur s’avère être un moment de tendresse, de câlin partagé avec ma fille de 4 ans cet après-midi, moment de tendresse dans le canapé. Je peux observer et revivre ce moment, le contempler et laisser sa douceur m’envahir, me renforcer.
    Lors de l’évocation des deuils de ma première période de vie, ce sont les décès de mon grand-père et celui d’un camarade de classe en première : Hervé, qui reviennent en ma mémoire. Je les laisse émerger, je les accueille et je découvre qu’ils n’éveillent en moi aucune tension, juste de la douceur, de l’amour partagé, de l’amitié. Je perçois la peine ressentie lors de leur décès mais elle me blesse pas, je la contemple simplement. Je ressens au contraire beaucoup d’amour, de chaleur, mon corps est détendu.
    Pour la deuxième période, c’est la mort de ma mère qui revient, puis celle de ma grand-mère, de ma tante décédée l’année dernière. Là encore, je ne ressens aucune tension ni peine mais au contraire une pensée s’impose à moi “j’ai décidé de vivre”. Je réalise que cette décision, prise au cours des années, m’a permis de traverser ces décès, de les laisser me nourrir plutôt que m’affecter et me blesser. Ils l’ont fait en leur temps, mais aujourd’hui, je réalise que cette blessure m’a nourri et m’a permis d’être celle que je suis aujourd’hui, celle qui peut trouver et donner de la douceur avec sa dernière-née. Je sens cet élan de vie très présent en moi, dans mes tissus, dans mes cellules, peut-être même dans mes molécules. Un mouvement de vie puissant et cyclique qui se meut en moi.
    C’est très fort, très puissant, très porteur de vie et de force.

  11. Marie R

    La représentation de la douceur apparaît comme une boule à la texture veloutée et aux couleurs chaudes. Elle apaise comme un cataplasme les tiraillements perçus dans le ventre et le plexus a l’évocation des pertes de la première partie de l’existence.
    Les pertes vécues dans la seconde partie de l’existence me permettent de prendre conscience du chemin parcouru. Conscience que la rencontre avec la mort (r)éveille ce qu’il y a de vivant en moi. Je suis curieuse de ressentir cette boule de douceur comme une boule d’énergie, de vie dans la seconde partie de la pratique.
    Je termine la pratique avec l’envie de remercier mes proches disparus pour tout ce que le deuil de leur perte m’a apporté et m’apporte encore aujourd’hui.

  12. Joelle DELUMEAU

    Mon chat defunt s invite comme representation de le douceur avec les souvenirs agreables de calins partages qui m apaisent…dans la premiere periode de ma vie, c est une fausse couche qui est mon premier deuil significatif mais je ressens un grand calme, un sentiment agreable de paix en moi a cette evocation de la presence douce en moi de cet enfant. Dans la seconde partie de ma vie,le deuil le plus significatif est la perte de ma grand mere maternelle il y a 15 ans….et la meme sentiment de paix a son evocation car elle vit en moi ,je ressens ce lien d amour tres fort…chaleur dans le 3eme systeme…c est le mot “spiritualite” qui arrive a ma conscience une des valeurs essentielles de ma vie qui me permet de construire cette relation interieure avec mes etres chers partis poursuivre leur chemin dans une autre dimension que j envisage selon mes croyances comme un lieu d amour inconditionnel.
    Une belle seance!Merci

  13. Véronique VALENTIN
    Véronique VALENTIN

    Tour d’abord je prends conscience que je me sens de mieux en mieux dans ma verticalité, les pieds bien ancrés. Je baille, mon corps se détend .C’est mon nounours Arthur qui vient à mon esprit. Plus que la douceur il représente le réconfort. Il me suis depuis ma petite enfance et à 47 ans il est toujours dans ma chambre.Pour la première grande période de ma vie c’est le décès de mon père à mes 20 ans qui arrive naturellement à moi. Ma gorge se noue, je ne cesse de déglutir comme pour essayer d’avaler quelque chose qui ne passe pas.Je baille également, non pas pour me détendre mais pour trouver ma respiration, essayer de la rendre plus ample. Je pratique la libération des tensions sans succès, ce nœud est bien accroché à ma gorge. Puis c’est le décès de ma grand mère paternelle qui surgit. J’avais 8 ans, Nœud encore présent, bien présent, le sentiment qu’il grossit, je déglutit et baille toujours. Répétition de la libération des tensions toujours sans succès. L’image d’Arthur m’apaise peu. Je me vois le serrer dans mes bras et le sens contre ma poitrine. Pour la 2eme partie je pense au décès de Michel, mon meilleur ami. Même nœud présent moins gros que précédemment mais là. Une autre libération des tensions, toujours peu concluante. Il me vient l’envie de manger. Besoin de manger et c’est d’ailleurs ce que je cours faire juste après la séance. Je prends conscience de ce besoin de me remplir je prends conscience du moment où l’alimentation est devenue un problème dans ma vie .Je ne trouve d’abord aucun mot, aucune phrase pour relié ces décès puis arrive le mot “Secret”. Beaucoup de prises de conscience dans cette séance. A refaire. Merci.

  14. Stéphanie

    La douceur est représentée par une plume, elle évolue au cours de la séance change de texture de couleur, devient de plus en plus douce, de plus en plus blanche et duveteuse, vers la fin c’est une pluie de plume qui vient se déposer autour et en moi. Dans la première tranche d’âge, deux décès reviennent, je vois ma mère triste, effondrée par la mort de mon grand-père, puis ma grand-mère en colère devant l’injustice de survivre à son fils, beaucoup de ressentis au niveau du bas ventre, importance de la filiation, du droit à la tristesse à la colère, et je fais le lien avec une de mes plus grande peur qui me revient souvent la peur de la perte de mes enfants, Dans la deuxième partie la mort est présente mais c’est plus calme en moi comme si je venais de donner encore un nouveau sens à cette filiation, il me vient “l’amour en héritage” construire, donner la vie, transmettre ces liens indéfectibles, ce qui persiste même après la mort c’est ce sentiment d’amour;
    Merci

  15. Severine

    retour a un deuil par suicide pour moi le père de mes fille, séance compliqué sentiment de culpabilité , les larmes sont apparus

  16. Florence Besson

    Début de séance calme. Puis au fur et à mesure ma respiration a été fluctuante, j’ai ressenti des contractions au niveau du dos et des épaules. J’ai volontairement mis en place des déplacements du négatifs au fil de la vivance. Des larmes se sont présentées lorsque mes différents souvenirs sont apparus. Les mots posés sont “culpabilité et injustice”. C’est comme si d’un seul coup un espace en moi s’était ouvert pour “ses fausses couches”, celle de ma mère et les miennes dans un deuxième temps. Cela prend un sens différent pour moi. Plus de douceur…
    A revivre.

  17. Maire Ginhoux

    protégée d’une douceur ouatée aux parfums poudrés, je suis allée a la rencontre de mes deuils et épreuves passées. c’est comme une promenade vers soi, une balade vers l’autre, avec l’autre, et cela fait toujours du bien, Dans le second souvenir, alors qu’il s’agit d’une rupture (qui date), les sentiments sont plus mitigés. globalement apaisant et libérateur.

  18. Caroline HURAUT

    Ce sont des pétales de rose qui me sont apparus pour la douceur alors je me suis imaginée au coeur d’une rose comme dans un cocon.
    Première partie de vie très neutre. Je n’ai pas le sentiment de pertes très significatives pour moi; plutôt de la curiosité de la façon dont je vois les autres réagir à des pertes qui le sont pour eux.
    Deuxième partie avec la perte d’un enfant dans mon cinquième mois de grossesse. Sensations d’oppression dans la poitrine, de chape de plomb sur les épaule. de grande perte d’énergie et pensée qu’il n’y a pas d’endroit où elle repose. Perte de mes grand-parents auxquels grâce à la respiration douce je la confie.
    Apaisement et conscience du cycle de la vie.

  19. Virginie

    Belle représentation bien présente dans tout mon corps de la douceur, toucher de la joue de mon deuxième enfant.
    Dans ma première tranche de vie, deux décès ont émergé. Mon grand-oncle, avec une légère contraction du cerveau et le coeur qui s’est mis à “tourner” faiblement. Puis mon grand-père paternel que je n’appréciais pas à l’époque. Sensation neutre avec le coeur ni rempli ni vide, sensation nouvelle pour moi. Mots qui relient cette partie de vie : apprentissage de la vie.
    Dans la deuxième tranche de vie, c’est tout autre : je remarque que les décès qui arrivent à ma conscience sont tous ceux de personnes décédées trop jeune. D’abord un ami de mes parents (le père d’un copain aussi), mort à 50 ans, tout de suite un poids dans la gorge arrivant de devant et intestins chauds et en mouvement. Puis le décès d’un collègue de travail, lui aussi mort à 50 ans, j’en avais 20. Même sensations avec un sentiment de honte ressenti à l’époque en me revoyant ne pas réussir à retenir mes larmes alors que sa propre jeune fille ne laissait rien paraître. Difficile cette crémation pour moi à l’époque, sensation là de première confrontation au corps mort, à la mort.
    Et le dernier qui est arrivé à moi dans cet instant, celui de mon amie, notre amie de groupe d’enfance, morte à 35 ans brutalement. Les même sensations dans la gorge et intestins avec le coeur serré aussi, et émotions de tristesse une peu là latent dans les yeux et la gorge.
    Pas chamboulée, mais je me sens traversée de choses et d’autres qui viennent remuer ou appuyer le corps. C’est là. Et peut-être que le mot qui me vient le plus et qui relient ces trois décès, c’est “injustice”, personnes “mortes trop tôt”. La représentation de la douceur a été pour moi un baume apaisant le poids de la gorge.
    Belle technique, merci…

  20. Frédérique

    Dans la pièce, je me suis sentie à la fois petite et dans un coin;

    La représentation de la douceur qui s’est présentée est une couverture. Couverture longue étendue à l’infini. Chaude, en laine, de couleur marron avec des bordures plus foncées aux extrémités. Je la porte de la manière d’une cape avec sa longue traine. Une douceur et chaleur profondes.

    C’est avec grand étonnement que dans la 1ere période de vie, deux animaux se sont présentés: mes p’tit chat et cochon dinde . J’ai à la fois un sourire qui s’est exprimé puis mes yeux se sont humidifiés.. Mes épaules se sont levées. La vie n’est que passage, avec un début et une fin à toute existence. L’attachement est douloureux lorsqu’il se fait avec le cœur.
    La 2eme partie, deux relations. La première, j’ai eu un recul du haut de mon corps, une forme de dégout. La deuxième, une forme de trait union.

    Le côté éphémère se renouvelle et se renforce en étant structurant à chaque vécu.. Je me sens à la fois apaisée, grandie et enrichie.
    Une séance emplie de sens.