Veuillez vous enregistrer pour le cours avant de commencer la leçon.

Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde

Retour à : Sophrologie et Deuil > Module 4

208 réponses à “Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde”

Laisser un commentaire

  1. Barbara ROULLIER

    J’ai eu un faux départ : en effet, j’ai commencé la séance et lorsqu’à commencer l’enracinement des pieds j’ai eu le besoin impérieux d’être pieds nus…
    Je me suis donc déchaussée et j’ai recommencé le début de séance pour me sentir bien ancrée dans le sol et en équilibre. Je ressentais même que depuis le début de la formation je suis de plus en plus stable sur mes pieds et dans mon choix de pratique.
    Je me suis très vite détendue en suivant les consignes et lorsqu’il a fallu que j’évoque un moment de tristesse ma poitrine s’est serrée, j’ai senti mon front se plisser et j’avais l’impression d’avoir un regard empli de dureté et de sévérité et les rides du lion se creuser. Derrière mes paupières fermées ça s’est assombri. Mon corps s’est tendu, mes genoux se sont verrouillés et j’ai eu un énorme poids sur mes épaules. En me contemplant mentalement je me voyais tout en résistance, luttant et surtout très dure : j’étais en révolte. Mon besoin identifié à ce moment-là : être protégée et aimée.
    Lors de l’exécution de l’exercice du souffle de la joie, j’ai eu du mal à ouvrir ma cage thoracique la première fois et lorsqu’il a fallu refermer les bras sur soi j’ai eu l’impression de renfermer ce sentiment de tristesse, devoir le remettre à sa place. Puis est venu le temps du bercement et je me suis sentie me détendre, ma tête s’est naturellement reposée sur mon poignet droit, et j’ai commencé à percevoir que je me détendais petit à petit. Au second mouvement, ma cage thoracique s’est ouverte et j’ai eu besoin de prendre une grande inspiration sans me forcer, puis l’apaisement est arrivé en moi et le troisième mouvement a été encore plus ample : j’ai eu conscience de faire la place à cet état émotionnel.
    La représentation de l’amour m’a aidée à accepter. Mes mains vibraient, je ressentais l’énergie de cet amour qui chauffait mes mains et qui rayonnait. J’ai eu une explosion de couleurs derrière mes paupières. Ça m’a irradiée lorsque j’ai porté mes mains à mon cœur et lorsque j’ai soufflé pour faire cette offrande à des êtres qui me sont chers, j’ai eu l’impression de sentir cet amour s’envoler, quitter la coupe de mes mains.
    Un moment hors du temps, un moment de plénitude, une expérience incroyable.
    Merci pour cette découverte.

  2. Isabelle COOPER

    Bonjour Patricia,
    A quel moment du deuil proposez-vous cette séance ?

  3. Isabelle COOPER

    Séance qui remue les émotions…
    J’ai très envie de pleurer. Je ressens de la colère, mêlée de tristesse. Je prends conscience que je suis dans la phase de dénie. Que part la force des choses, je passe cette étape car peut-être est-ce trop violent d’accepter ce qui est. Et cherche à aller vers les solutions, à m’accrocher au mieux à venir.
    Cette séance m’oblige à visiter ma peine. Et la colère vient de suite à la charge pour ne pas la voir.
    Début de séance avec beaucoup de pensées parasites. Contraction dans le haut du corps.
    Le mouvement des bras en l’air, m’a apporté comme une forme de lumière. Dans cette posture, je me suis sentie reliée à quelque chose qui pouvait me soutenir, m’aider. Le mouvement de balancement était bienveillant. Je prenais conscience de mon besoin d’être consolée, protégée, rassurée.
    L’objet était un pendentif en forme de soleil. Il n’avait pas suffisamment d’énergie positive pour consoler ma peine.
    Je ressens de la colère.
    Je crois que je vais faire une spi associée à une image positive pour aller me remplir du besoin d’optimisme

  4. Laëtitia RIBEYRON

    En position debout, j’ai ressenti ma force intérieure sur le thorax, la poitrine, le dos. Beaucoup de picotements dans les pieds.

    J’ai ressentie ensuite la tristesse au niveau de la gorge et des poumons, sensation un peu d’être étouffée.
    Mon besoin : Amour et présence.
    Puis sur l’exercice du souffle de la joie sentiment d’être reliée à un tout, l’univers. Au moment de me prendre dans les bras et du bercement, j’ai ressenti de la sécurité, je me suis sentie enveloppée et protégée.
    Pour représenter mon besoin des images de nature, la mer, le soleil.
    Ouverture et partage à mes êtres chers, à toutes les personnes de l univers. Les mots joies, partages, humanité, amour et présence me sont venus
    Des frissons sur tout le corps je ressens de la force, la confiance, de la sécurité, de l’amour, véritable présence à moi et aux autres.
    Authenticité

    Merci très belle séance remplie de chaleur

  5. JULIE TIOUKA

    D’abord, je m’installe dans la posture verticale et je me sens tenir debout, avec l’agréable présence de tout mon corps.

    Puis je visualise une situation triste récente. Instantanément mon ventre se durcit, se contracte, ma tête s’incline.
    Et le sourire aux lèvres dû à la détente, laisse place à des lèvres tombantes, mâchoire serrée.
    Mon souffle est coupé.
    Des larmes piquantes restent sous mes paupières.
    Je ressens de la tristesse. Je m’autorise à ressentir de la tristesse !

    De quoi ai-je besoin alors ?
    De bras. De réconfort. D’être portée, soutenue.

    Et lorsque je me retrouve bercée dans mes propres bras. Mon ventre se détend et le sourire revient.

    J’avais exactement besoin de ça !

    Dans ce mouvement de bercement de gauche à droite, les mots chantés “câlins-calinou”
    me reviennent tout de suite.
    C’est la petite chanson de réconfort, celle que l’on me fredonnait autrefois lorsque j’étais petite.
    Celle que j’ai chanté à mon petit frère, à mes enfants, et à tous les bébés dont je me suis occupée.

    Aujourd’hui je retrouve cette mélodie de douceur et je me sens parfaitement consolée.

    Le beau dans mes mains, c’est d’abord une boule, un soleil, puis une planète chaude, jaune.

    Peu à peu elle devient multicolore, vivante, mouillée comme de l’eau fraîche.
    C’est d’ailleurs sa texture, son odeur aussi.

    Tout est dans mes mains. Cela vient de moi.
    Et je peux choisir de donner ce beau à mes êtres aimés, au monde entier.

    Au fur et à mesure que je le propage autour, j’ai le sentiment que ce beau grandit en moi.

    En le donnant. Je me l’offre à moi-même.

    Un grand merci pour cette pratique !

  6. Muriel

    Le mouvement du huit couché avec le bassin libère les tensions que j’avais aux lombaires, je sens cette zone à présent décontractée.

    Quand j’inspire l’énergie et répand l’harmonie vitale dans mon corps, je perçois un frisson qui me parcours des pieds à la tête.

    Je me connecte à l’émotion de la tristesse : je ressens un serrement au niveau du plexus et la gorge, des picotements au niveau du nez et des larmes qui montent, de légers tremblements intérieurs et une sensation de froid (surtout dans le dos). Je constate que j’ai les épaules en avant, je suis légèrement voutée, la cage thoracique refermée, la tête légèrement penchée en avant.

    Je pratique un SDN au niveau du visage, au niveau du 2eme système et 3eme. Le resserrement de la gorge disparaît après une troisième fois.

    Je m’autorise à ressentir de la tristesse : à nouveau je perçois un frisson et une légère sensation de froid dans le dos.

    J’ai besoin de chaleur et de réconfort.

    J’effectue le mouvement d’ouverture, de repli sur soi et je me sens soulagée dans cette position de repli, quelque chose se pose en moi. Je me balance le haut du corps, ma tête suit le mouvement, c’est fluide et doux, je m’apaise.

    Je me sens calme, bien enracinée, les bras lourds et les mains chaudes.

    La 2ème fois, je me sens grandie, des picotements dans les jambes et cette fois-ci de la fraicheur dans les mains
    La 3eme fois : j’ai un peu froid.

    La représentation de mon besoin de chaleur et de réconfort est une couverture en polaire épaisse et duveteuse. Je perçois la douceur au contact de cette couverture et sa chaleur, je me sens apaisée.

  7. Cécile S

    Le balancement de mon corps me permet de plus me connecter à la plante de mes pieds en ressentant la forme et la texture des pieds. Le 8 couché est agréable et permet de déverrouiller le bassin. Je ressens de la chaleur et des picotements dans mes hanches. Je me suis sentie davantage ancrée, bien présente pour vivre ce moment.

    Je me suis connectée à un moment de tristesse et j’ai senti les larmes monter. J’ai fait un IRTER du 1er et je me suis focalisée sur ma respiration abdominale. La sensation de tremblement de mes paupières a disparu et la tristesse également.

    La pratique du souffle de la joie avec le gros câlin m’a permis de me sentir en sécurité et j’étais enveloppée de douceur, un peu comme si une bulle de bienveillance m’entourait. Le balancement rajoute une dimension supplémentaire avec la sensation d’être complètement englobée; j’ai presque eu l’impression de faire un câlin à une personne qui m’est chère.
    En positionnant les bras croisés, j’ai ressenti beaucoup de chaleur et de picotements dans les bras.

    J’ai imaginé un paysage comme représentation de la beauté et j’ai senti tout mon corps léger, prêt à s’envoler.

    Belle séance, merci beaucoup.

  8. Audrey Geoffroy

    Quelle séance riche en émotions, je ne m’y attendais pas.

    Au début de la séance, debout, je me sentais lourde, difficilement stable, une respiration très superficielle.
    La SBV a permis de renforcer ma stabilité, mais je l’ai ressentie comme un peu trop rapide. A la fin de la SBV, je sentais ma posture se redresser (surtout à partir de la conscience de la colonne vertébrale).

    Le mouvement de 8 couché a permis de remettre en mouvement le bassin, et de la souplesse dans mon corps. La respiration énergie – bonheur m’a connectée à des sensations agréables, de la légèreté plus présente dans mon corps.
    Puis la connexion à l’émotion de la tristesse a été assez violente. Ma mâchoire s’est serrée, quelques tremblements, puis les larmes sont sorties ++, un noeud dans la poitrine s’est installé. J’ai fait une libération des tensions puis bercement ce qui m’a aidé à traverser cette tempête. Je me sentais plus apaisée. Le besoin qui m’est venu est “être cajolée”.

    La respiration du souffle de la joie a été très bénéfique. Sur l’inspiration et la posture en V des bras, les tensions se sont relâchées pour s’accompagner du bercement sur l’expir, un moment de sérénité intérieure très agréable.

    Puis la représentation du besoin s’est faite par une peluche, de la douceur, l’odeur de mon enfance. Et cela m’a fait beaucoup de bien de sentir que tout s’apaisait en moi.
    J’ai gardé cette douceur dans mon coeur pour la diffuser à mes proches qui en ont beaucoup besoin en ce moment.

    Merci infiniment pour cette séance.

  9. Jennifer SEMADENI

    Bonjour,

    Séance pratiquée le soir.

    La SBV m’a fait beaucoup de bien, j’ai ressenti mes pieds bien ancrés dans le sol comme fusionné avec celui-ci, en ressentant une force dans mes appuis. Le mouvement de balancier du corps, puis le 8 de mes hanches m’ont fait sentir présente à mon corps, j’ai senti l’apaisement m’envahir et la détente s’est installée et peu à peu par la suite dans chaque partie de mon corps, en ayant bien conscience de la présence de chacune de celles-ci. Cela m’a fait ressentir une belle et douce connexion à mon corps.

    J’ai bien perçu l’énergie circuler en moi, dans une vague de chaleur et de gargouillis, je ne saurais le décrire autrement.

    J’ai accueilli mon moment de tristesse avec une douce émotion du souvenir qui m’a fait parcourir quelques frissons dans le haut du corps, mais aussi la sensation d’une sorte de “nœud” à l’estomac. Nœud qui a disparu en me concentrant sur ma respiration, qui est repassée alors de thoracique à abdominale.

    Aucun besoin ne m’est venu, j’ai accueilli ce rien avec bienveillance et gratitude.

    La pratique du souffle de la joie m’a donné un sentiment de” prendre mon espace”, la position “câlin” associée au balancement m’a fait ressentir de la sécurité, de la douceur et de la chaleur. Je me suis sentie comme dans un cocon apaisant et chaleureux. Et à ce moment je me suis sentie également comme étant capable de me procurer à moi-même du bien-être et je dois avouer que cela m’a fait esquisser un doux sourire de satisfaction.

    Ce qui m’est venu comme représentation de la beauté m’a ébloui et réchauffée en même temps et j’ai pu voir tous ses aspects. A son évocation j’ai ressenti de la douceur et de l’apaisement.
    J’ai beaucoup aimé ressentir de la bienveillance envers moi-même en la déposant sur mon cœur, et également en la partageant avec mes êtres chers ainsi qu’en la laissant s’envoler vers tous.

    Merci pour cette belle séance, j’en ressors effectivement enveloppée de douceur, de bienveillance et de gratitude, tout en étant bien dans mon corps.

    Cordialement

  10. Annabelle Colin

    J’ai l’impression d’avoir connectée à une profonde tristesse très lointaine. Je l’ai accueillie avec beaucoup de bienveillance et de douceur. Le mot “enveloppé” m’a énormément touchée. J’avais besoin de me sentir enveloppée et le faire moi-même m’a apporté un sentiment de sécurité.
    Je me sens fatiguée après cette fatigue, je ressens une lourdeur physique et une légèreté au niveau du coeur. J’ai besoin de prendre le temps d’accueillir encore cette tristesse et d’assimiler cette émotion pour mieux la libérer. Je ressens de la gratitude d’avoir connecté à cette émotion qui semble avoir été là depuis tellement longtemps. Merci

  11. Séverine Flagez

    J’ai le sentiment de découvrir comme la 1er fois cette pratique ; alors que …
    Sensation au pied de cohérence avec le sol, pas lourde mais comme faire partie du sol.
    la représentation de” l’accueil”, mon besoin du moment, vient très vite à mon esprit. Couleur, ambiance,…
    Une sensation sur le sternum comme pour m’indiquer cet endroit en me disant “c’est là”, comme si une main me serait doucement de l’intérieur , une deuxième fois, puis une 3ème.
    Le corps bien relâché j’ai envie de dormir à cet instant encore.
    Je ressens mon corps stable, dense.
    La situation de tristesse est revisité là encore. Je me sens différente de toute à l’heure.
    Un nouveau regard sur le vécu de la situation (qui pour le coup s’est passé ce matin !). Je ne me sens plus emprunté, touché, de cette situation triste…

  12. sophie retailleau

    Je sens en début de séance mon corps souple. Dans l’activation de l’énergie, à l’intérieur de moi cette énergie circule rapidement, bondit, c’est la joie, ça jaillit! Puis, me relier à un moment triste ne me fait pas envie, je le repousse un peu. Je me relie à la sensation de tristesse et la manière dont mon corps se positionne quand je suis triste. Le besoin qui y est associé est l’écoute. Quand je me cajole, je sens que mon contact me fait du bien.
    Peu à peu, je sens que j’ai besoin de temps ou je me met en écoute intérieure. C’est un temps qui me semble important à mettre en place dans ma vie. Quand je met mes mains sur mon cœur, ça chauffe. Puis, d’apporter cette écoute à mon fils, mon conjoint et une amie très proche diffuse une magnifique énergie à l’extérieur de moi vers eux. Ca me rempli d’amour et conscience des liens au delà de ce qu’on partage de vive voix. Ca fait exister cet invisible plus fort encore pour moi.
    Merci

  13. Séverine Flagez

    Bonjour Patricia,

    Après un temps d’activité un peu plus intense personnellement et professionnellement ; je reviens sur nos échanges et la formation à l’accompagnement du deuil.

    Je prends bonne note de votre invitation à refaire les 2 pratiques soulignées… Ainsi que la la visualisation de la masterclass de Geneviève Lautier.

    Merci infiniment pour votre retour.

    Séverine.

  14. Marine Farissi

    Je commence ma pratique ce soir en étant anxieuse et tendue. pendant la SBV, mes épaules s’abaissent enfin. Le souffle m’apporte joie et légèreté dans la poitrine alors que les mouvements des bras m’avaient permis d’évacuer mon stress et mes émotions négatives. Je me rends compte que j’ai surtout besoin de repos, physique oui, mais aussi mental. Je termine avec les traits du visage détendus et apaisés. Merci!

  15. Sophie Folzer

    Mon corps est lourd comme collant désagréablement au sol par les pieds. Très chaud dans tout le corps. Sensation déplaisante d’insécurité, figée dans la lourdeur. L’image me vient d’une boule de pâte pétrie et posée sans farine sur la table, et elle s’étale et elle colle. Une autre boule, dans la gorge celle-ci. Je constate tout cela, la tristesse est là. Je sais de quoi il s’agit car une pensée assortie d’un scénario dramatique m’a réveillée, c’est comme si j’étais en train de “coller” à une idée (néfaste) que je prenais pour vrai et elle est là à générer son cortège de symptômes. Dans le réel, je dois prendre une décision importante avec une dead-line et je n’y arrive pas, j’alterne entre les 2 options.
    Le balancement des pieds droite/gauche que je vis comme un doux massage libère mon corps qui entre avec plaisir dans de la douceur, le bas puis le mouvement s’étend au haut du corps. Le 8 apporte une complication mécanique au mouvement, de l’inconfort et j’ai besoin de m’assoir. Le bas des jambes fourmillent, mal aux chevilles. Lourdeur de nouveau, épaules affaissées, thorax fermé, une petite respiration, un petit filet d’air qui cherche son chemin dans ma gorge serrée. La proposition d’élever les bras, le mouvement d’ouverture vient de nouveau apporter une libération et m’offre la possibilité d’accueillir cette tristesse comme elle en a besoin. Les mains sur me épaules sont “de trop”, bien que doux et chaleureux, je ressens de l’enfermement. Tout moi a besoin de l’ouverture et de l’accueil de ma peine – et de ma peur que je devine derrière aux accélérations cardiaques – par l’univers entier, besoin que “ça” se dilue dans une plus vaste sagesse. je le comprends intellectuellement et intimement au soulagement produit, à l’ampleur de ma respiration libérée, à l’effet “nourrissant” dans ma conscience. L’évocation de mon lieu de sécurité l’amène à moi et contribue a réorienter ma conscience dans un sens plus favorable, plus léger et confiant. C’est l’image d’un petit chien (inconnu !) qui s’invite pour terminer la séance, représentation de la douceur et de la gaité. C’est cette douceur et cette gaité que je partage avec mes proches et avec le Monde.

  16. Cecile

    Au début j’ai eu du mal avec la position debout ( grosse journée physique ) mais petit à petit les tensions se sont relâchées et j’ai senti mon souffle s’installer enfin.
    pour la situation de tristesse le besoin qui est ressorti est la compréhension, au niveau du corps c’est vraiment dans ma gorge serrée que cela se localisait.
    Je n’ai pas réussi à avoir une représentation de la compréhension de ce besoin de compréhension, du coup j’ai opté pour la représentation de la beauté.
    Ce qui m’est apparu est une plage que j’affectionne particulièrement en Corse ou j’y ai fait de très belles photos , la mer méditerranée comme je l’aime avec un bleu presque tropical , tous mes sens étaient en éveil.
    le bercement que du haut du corps je ne voyais pas… mes jambes prenaient systématiquement le mouvement , j’ai laissé faire, je n’ai pas ressenti de libération particulière, par contre lorsque j’ai ramené mes mains sur mon cœur j’ai vraiment ressenti la joie du partage et beaucoup de chaleur j’ai souri , j’ai aimé l’idée de souffler pour aller laisser voler cette beauté , j’ai trouvé cela poétique et apaisant surtout pour moi.
    merci Patricia pour cette séance pleine de douceur envers soi-même.

  17. Anne Huchet

    Une belle séance!
    SBV très agréable, pas de tensions particulières à évacuer. J’ai beaucoup aimé le mouvement de lever des bras en v paumes vers le ciel. La première fois, la position mains en croix sur épaules opposées, menton rentré, tiraille un peu la nuque et au dos mais au moment de reprendre la posture bras le long du corps, je ressens une légèreté comme si tout ce qui pesait était parti.Une réelle sensation de bien-être remplit tout mon être ! les 2 autres fois sont agréables sans tiraillements.
    Position assise, je suis calme. Mon besoin est représenté par un paillon qui vole de fleurs en fleurs….Liberté que je souffle aux miens et aux autres.

    Merci Patricia.

  18. Séverine Flagez

    Très vite je m’installe dans la proposition et mes cheveux à cet instant qui me touchent la peau me donnent de douces sensations et des frissons comme des caresses lors des balancements.
    Cette sensations est comme” installé” et dès que je bouge ensuite je perçois comme des frissons dans le corps à divers endroits.
    Agréable, doux.

    Merci.

    1. Patricia
      Patricia

      Bonjour Séverine,

      Me voilà de retour de vacances!
      Je lis vos phénodescriptions et je me dis que la visualisation de la masterclass de Geneviève Lautier sur la phénodescription, en libre accès sur le site, vous aiderait à étoffer les vôtres. La phénodescription est un temps fort et essentiel d’une séance de sophrologie: c’est là que la conscience se dévoile réellement et pour ce faire, il faut se rendre disponible, ouvrir un espace où les ressentis de la séance se révèlent. Je vous propose de prendre le temps pour vos phénodescriptions, de faire de ces temps de séances des temps d’explorations intérieures, de vous transformer en terres d’aventures et de découvertes et, ainsi, de vraiment intégrer les séances et d’”agrandir” votre univers.

  19. Samantha Schweitzer

    Séance très réconfortante. La situation de tristesse m’a fait ressentir une grosse boule au niveau de la poitrine, comme si ça se serrait et aussi un noeud à la gorge. J’ai réussi grâce à la respiration à ouvrir mes zones de blocages pour laisser l’émotion mieux s’exprimer, lui laisser de la place et ne pas l’enfermer. Je me suis ainsi autoriser à la ressentir.
    2 choses me sont venues concernant le besoin lié à cette tristesse => équilibre/justice et reconnaissance
    Le mouvement de la joie du souffle a été un gros câlin, je me suis bercée… mon écran mental est devenu plus lumineux, rose, J’ai ressenti de la tendresse et j’ai vu des sourires, puis mon sourire.
    Quand je me suis assise je me suis sentie légère, un léger sourire sur les lèvres.
    Mon besoin a été représenté par une balance remplie de sourires. Au final, je me suis sentie comme libérée, j’ai ressenti de la fraîcheur, des frissons de l’énergie que j’ai remis en mouvement en moi.

  20. Sylvie Hennion

    Quelle merveilleuse séance..Je l’ai pratiquée assise, une douleur constante à la jambe m’empêchant de rester trop longtemps debout..
    Mon ancrage était malgré tout très fort. La tristesse a fait place à un moment de nostalgie, mes sentiments étant mitigés entre de la joie et de la peine.. J’ai ressenti un poids au niveau du coeur, pas une douleur, plus une lourdeur.. Et puis ce besoin tout simple qui apparait, celui de recevoir un câlin, juste avant que cela soit proposé. Lorsque mes bras m’enlacent, les larmes montent la première fois, le poids du coeur devient plus important…puis s’atténue sur les 2 fois suivantes, laissant place à plus de légèreté. Ma représentation est une rose rouge, que j’apprécie partager en la laissant s’envoler..C’est alors comme si tout ce poids en moi s’envolait avec elle…Merci pour cette séance..