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Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde

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208 réponses à “Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde”

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  1. Isabelle HEMON
    Isabelle HEMON

    Debout, je fais la SDBV, des balancements doux et trouve mon équilibre. J’ai sentie des tensions dans la nuque et le SDN est arrivé au bon moment pour m’en libérer. En faisant le mouvement du 8 coucher au niveau du bassin, je ressens une harmonisation du corps et en même temps un bercement très agréable. Lors de l’évocation de la tristesse, je me relie au décès de ma mère et surgit ma marraine ( ma 2nd maman). Je suis triste de toute l’agressivité qu’elle a déversé sur moi à ce moment là, mais je comprends sa souffrance. Le besoin qui vient, ici et maintenant, est amour. Je sens le besoin de me cajoler. La joie du souffle me permet cela. Je m’ouvre au monde et je me replie pour mieux m’intérioriser et m’offrir de l’amour. J’envoie de la douceur à tout mon corps en me balançant. Je me sens légère, apaisée.
    En position assise, j’accueille mes ressentis, un corps et un esprit légers. J’accueille la beauté d’un coucher de soleil et le besoin d’amour envers moi-même. J’envoie de l’amour à mon mari, mes 2 fils et tous les êtres.
    Je me sens redynamisé, optimiste et je m’ouvre à ma nouvelle vie qui se profile.
    Gratitude Patricia.

  2. Maggie Hantcherian

    Besoin d’une attention physique, me mettre la tête entre les mains, recevoir un toucher sur le bras, être prise dans les bras de quelqu’un, être accueillie, reconnue. M’étreindre et me balancer ramène à l’enfance, je sens mes bras plus présent un coup à droite, un coup à gauche. Ce câlin, entre mes mains que je ressent chaudes, était celui de ma mère qui me consolait, il devient celui de mon conjoint. Lorsque je l’envoie, je ressens mes mains bienfaisantes qui offre ce câlin à mes fils. Mes mains comme toutes les mains ont se pouvoir de faire du bien, elles ont cette chaleur bienveillante, cette douceur rassurante. Merci Patricia.

  3. sylvie fauconnier

    Debout, je me balance et trouve l’équilibre, la juste tension nécessaire pour me tenir debout.Je sens la chaleur dans l’ensemble de mon corps, parfois des frissons me parcourent. Je sens le haut et le bas de mon corps en activant des 8, la réunion du haut et du bas de mon coprs, la chaleur.Au moment de la tristesse je me relie à un évenement douloureux du mois de juin, évènement où il m’a bien fallu les deux mois d’été pour reprendre pieds, ancrer du positif, retrouver mes ressources, me défaire de mes peurs, et là ici et maintenant la tristesse ne vient pas, alors je laisse faire je prends ce qui est, mon mental reviens et je me dis que la situation pour la personne en lien avec ma tristesse n’est pas réglée et que aujourd’hui je vais profiter de ce moment pour accueillir tout le positif qui se présente, me rassurer car c’est le besoin qui est présent.Je sens le besoin de me cajoler, de toucher mes avant bras, mon visage, de me câliner, je sens ma tête qui se penche sur mon épaule en même temps que je me serre dans mes bras.La douceur, la possibilité d’aller chercher ce dont j’ai besoin en réponse à mes émotions est réconfortant.J’ai su le faire cet été et j’ancre en moi la gratitude d’avoir pris ces deux mois pour accueillir ce que je vivais.

  4. STEPHANIE POUPARD

    La SDN m’a fait beaucoup de bien, relâchement total de mon corps. J’ai laissé l’énergie circuler dans la globalité de mon corps à l’inspiration en répétant le mot “énergie” et à l’expiration en répétant le mot “bonheur”. C’est comme si cela décuplait cette énergie qui circulait de la tête aux pieds puis des pieds à la tête avec des sensations de chaleur au visage. J’ai ressenti un très fort encrage et des sensations de chaleur au niveau des pieds également. Le fait de me sentir bien dans mon corps m’a permis de laisser place à l’émotion de tristesse. J’ai ressenti cette tristesse au niveau de ma gorge, elle était vraiment très serrée (phénomène pas très agréable sur le moment). Puis je me suis autorisée à la ressentir, à la vivre, à l’observer, pour finalement l’accepter petit à petit. Le besoin associé à cette tristesse était “le besoin de douceur”. J’ai visualisé une petite boule de coton, blanche, toute douce et j’ai pris conscience que ma tristesse s’estompait progressivement ainsi que les sensations de gorge serrée en visualisant cette petite boule de coton. Le bercement de mon corps m’a procuré un sentiment de sécurité, d’apaisement, de protection, ce qui m’a permis de m’éloigner de ce sentiment de tristesse pas forcément agréable de prime abord. C’était comme si je berçais mon enfant intérieur ou mon propre enfant, comme si je me consolais. Cette séance m’a finalement rempli de douceur et d’amour, elle était très enveloppante. Merci infiniment.

  5. FLORENCE SYLVAIN

    Un magnifique moment pour prendre soin de soi. Les premiers balancements debout sur le corps m’ont beaucoup aidé à rentrer en introspection avec moi même. J’ai trouvé à ma grande surprise très rapidement le besoin lié à ma tristesse. Et le bercement du haut du corps à la suite me permettait déjà de répondre à ce besoin. J’avais oublié à quel point le bercement en se repliant légèrement sur soi faisait du bien. La représentation de ce besoin (être rassurée)est venue immédiatement et a fait ressurgir tout ce qui me rassurait étant petite et mn’a remplie de douceur, de joie. Le fait de le partager avec ses êtres proches apporte beaucoup de bonheur. Merci pour cette belle pratique.

  6. Claire Delacourt

    Je me sens proche du sommeil, j’ai beaucoup relâché la fatigue de la journée. Je fais circuler l’énergie des pieds à la tête et vice et versa comme une vague qui me caresse. L’évocation du moment qui me procure de la tristesse me ramène au pied de la tombe de mon fils, debout , silencieuse . J’accueille la tristesse . Et au rythme de ma respiration je laisse monter mon lieu ressource et m’en imprègne. Mon besoin est de me sentir reliée au monde, de ne pas rester seule. Je prends l’énergie qui m’entoure avec la posture des bras levés et m’en fais cadeau comme une force douce en moi. Les bercements me renvoient à mon fils bébé et c’est lui que je berce tout en me berçant moi-même. Présence de lui en moi. Les paumes ouvertes je me relie juste à la beauté du cimetière, au bruit des oiseaux et au souffle du vent dans mes cheveux, ce lieu est vivant .

  7. LAURENCE MARQUAND GONZALEZ

    Une présence douce à moi-même, un ancrage aussi. Le fait de faire venir à ma conscience volontairement une émotion de tristesse m’a un peu déstabilisée, je me suis laissée ensuite permise de la ressentir, de la nommer, d’être en droit toujours de la ressentir. J’ai beaucoup apprécié le mouvement de la Joie du souffle, je me suis sentie emplie, étirée grandie, vivante et le bercement m’a apporté une agréable douceur, un sentiment de sécurité aussi. Une expérience tonifiante, vivifiante aussi pour moi. Je me suis vue entourée, tout l’amour bien là présent autour de moi. J’ai ressenti de la gratitude. Merci Patricia.

  8. Delphine Miotto

    Pieds bien ancrés dans le sol, je ressens une lourdeur au niveau de ma cage thoracique lorsque j’évoque la situation triste ainsi qu’une légère accélération de mon rythme cardiaque. Il est très doux de me reconforter en me prenant ds les bras, à un moment difficile de ne pas se laisser envahir par la tristesse.
    La représentation de mon besoin s’est transformée au fur et à mesure, un grand soulagement lorsque je me le suis offert et joie de le partager avec les autres.

  9. Malika Benisty

    En début de séance, mes pieds étaient comme “enracinés”, ( je n’avais jamais ressenti cette intensité).
    Puis, Sur la situation triste, j’ai ressenti un poids énorme sur mes épaules, une lourdeur écrasante, une forme d’abattement interieur.
    La respiration thoracique me rappelle à la vie, au souffle. Je m’ouvre à nouveau et mon inspiration me semble infinie
    Pour l’image du besoin, j’ai retrouvé la beauté d’une rose épanouie avec son enchevetrement de pétales, j’ai perçu son délicat parfum et surtout la délicatesse du toucher de ses pétales comme un velours de soie, un voile de légèreté (mais je ne trouve toujours pas les mots pour décrir ce doux velouté que je laisse diffuser en moi et qui m’emplit d’apaisement, de sérénité
    Merci Patricia pour cette séance

  10. Sophie MIÑANA

    Au début de la séance le balancier était agréable, apaisant. J’avais cette impression de ne plus pouvoir décoller mes pieds du tout.
    Lors du SDN, je me suis même surprise à reprendre ce balancier. Ce n’était plus vraiment de gauche a droite mais en transversale.
    Pendant la SAV, en faisant venir l’énergie, je voyais le soleil au dessus de ma tête et j’en ressentais la puissance. Je voyais également sa couleur jaune, très présente au dessus de mes yeux. Et sa puissance restait dans mon buste comme si elle se recyclait de mon bas ventre à mon cou. J’avais cette image des flèches de recyclage.
    Je ne sais plus si c’était à ce moment-là, mais le lieu sécure était toujours ma plage de Martinique que j’affectionne tant.
    Et je m’y sentais bien, posée, au chaud.
    Puis l’image triste était un enfant seul, je voyais partir sa maman, l’abandonner et l’enfant restait dans son coin.
    Je me sentais et me voyais recroquevillée, les yeux baissés.
    Je ressentais une profonde tension entre le 3ème et 4ème système, au niveau de l’épigastre, plus précisément.
    Mais aussi une frustration. Et ma bouche faisait la moue.
    J’ai senti mes yeux s’humidifiés mais sans pleurer.
    Ce dont j’avais besoin à ce moment là c’était du réconfort et les images qui me sont venus ont été des fraises et des coussins moelleux.
    Lors de la joie du souffle, mes mains étaient puissamment gorgées d’énergie chaude qui irradiait ensuite mon corps.
    Cela me faisait autant de bien que le soleil sur ma peau à la plage.
    A la 1ère expir, j’ai ressentie comme un câlin de ma mamie.
    Lors de la 2ème, c’était un câlin de mon ex (avec lequel je viens de reprendre contact très récemment).
    Et à la 3ème, c’était ma maman. Je l’ai entendu me dire “ma fille”. Et j’avais envie de pleurer (Yeux toujours humides mais sans les larmes).
    (Ma maman est toujours en vie mais nous nous sommes éloignées ces derniers temps).
    Et du coup, quand il a fallu laisser revenir les représentations du besoin du début, ce n’était pas les fraises et les coussins mais ma maman.
    Grâce à cette séance, j’ai pris conscience que j’avais encore besoin d’elle.
    Je la voyais demain avec mes sœurs et recevant un message de ma part.
    Je nous voyais ensuite réunis toutes les 4 et nous sautions en l’air en tournant comme je le faisais avec mes co-équipières, lorsque je faisais du volley et que nous avions gagnés un match.
    Nous étions heureuses et je crois que je n’avais jamais vu ma mère comme cela.
    Et j’envoyais cet amour a mes 2 sœurs.

    Un grand merci pour cette séance qui a ouvert ma conscience.
    Les larmes se libèrent enfin en écrivant cette phéno, elles sont libératrices.
    Merci

  11. Sandrine Praud

    Je termine la séance avec le sentiment d’être partie très loin.

    J’ai ressenti la détente s’installer rapidement dans mon corps.
    J’ai beaucoup apprécié le mouvement de gauche à droite puis de droite à gauche qui me donne toujours ce sentiment de faire le roseau et d’être profondément enracinée.
    J’ai eu l’impression de libérer mon bassin grâce aux mouvements effectués.
    Quand je laisse le moment de tristesse arriver je ressens mon coeur se serrer, un voile se poser sur moi et à l’intérieur de moi. Un voile léger et qui pèse pourtant si lourd. Mes épaules s’abaissent. Je ressens le repli physique et moral. Je me sens triste dans mon corps, mon coeur et ma tête.
    Le besoin qui émerge est celui de l’amour inconditionnel.
    Je sens de la résistance dans mon premier mouvement de la joie du souffle.
    Une résistance que je ne contrôle pas mais qui se dissipe pour me permettre de faire un 3ème mouvement très ample et très réconfortant.
    Je me berce d’amour inconditionnel, je m’apporte cet amour.
    L’image de mon besoin se manifeste sous la forme d’une couleur jaune. Je ressens aussi de la douceur, de la chaleur.
    Je me laisse envelopper et pénétrer par cette douce chaleur. Elle est en moi et je peux l’activer, je peux la cultiver.
    C’est cette douce chaleur que j’envoie aux être qui me sont chers. La douce chaleur de l’Amour.
    Je me sens émue par ce beau voyage.

    Merci pour cette séance.

  12. Laurence MAGAT

    Lors de l’activation de la tristesse, je sens mon thorax se contracter, se resserrer et ma respiration devenir plus courte avec un léger nœud au niveau de la gorge. Je me mets à son écoute, j’ai besoin de réconfort et de douceur. Sur l’activation de la joie du souffle, mon thorax s’ouvre, se libère, la respiration est plus fluide. Les bras en croix et les mouvements de balancés m’apportent le réconfort et la douceur dont j’ai besoin. Je prends moi-même soin de moi et c’est agréable. A ce moment là, je connais mon besoin et je sais y répondre.
    La représentation de la beauté m’a apportée de la sérénité que j’ai ensuite partagée avec mes êtres chers.

  13. Delphine Ollier

    Le mouvement d’étirement de la cage thoracique est particulièrement bienvenu après l’évocation de la tristesse. Il ouvre, il nettoie, il fait circuler. Et en même temps, il est suivi de cette phase de repli qui est surtout l’occasion de se recentrer et qui active la possibilité de prendre soin de soi. L’entourage est important, mais il n’est pas toujours disponible ou dans la compréhension de nos attentes. Nous sommes la personne la mieux placée pour prendre soin de nous. Renforcer l’autonomie de l’endeuillé dans cette capacité à se cajoler est si importante. Le vécu est très apaisant et renforce la confiance. Le vivre dans la répétition, trois fois, permet à chaque fois de mieux ressentir le sens des gestes et la circulation de l’énergie dans les mains, les bras. J’ai ajouté le toucher de la peau pour renforcer la connexion à soi et la bienveillance.
    Après le vécu, je mesure l’importance de pouvoir aussi proposer la technique sans faire venir l’émotion négative, pour la rendre plus dynamique. Elle peut être bienvenue aussi dans un second temps, lorsque l’endeuillé ne veut pas se reconnecter à sa tristesse mais a envie de la seconde intention.
    La représentation de la beauté, que l’on partage ensuite avec les êtres chers, je l’ai vécue comme l’occasion très agréable d’envoyer un cadeau à un disparu. Un lien symbolique apaisant car c’est aussi la possibilité d’adresser autre chose que des émotions parfois lourdes comme la tristesse et la colère.
    Merci pour ce partage.

  14. Annabelle Langer

    Que dire… c’est une séance que j’ai particulièrement vécu intensément.
    des mots me viennent : reconfort, tendresse,
    Les balancements lors de l’installation m’ont permis de me détendre tout de suite.
    Je laisse venir la tristesse, je sens ma poitrine se serrer, mais me dire que je m’autorise à ressentir de la tristesse me rassure tout de suite.
    J’ai besoin de quoi lorsque je suis triste, de réconfort et de tendresse. Lors de la joie du souffle, je me suis sentie reconfortée, et tendre avec moi meme. Le bercement accentue cette sensation, tellement agréable ! Apprendre à s’aimer, se reconforter….se toucher.
    Lorsque je laisse venir a moi la représentation de mon besoin, c’est la tendresse qui se présente immédiatement, Je sens ma poitrine totalement ouverte, libérée, je me sens apaisée.

  15. SOPHIE HUG

    Phénodescription

    Image d’apaisement : le lever du soleil avec toutes les couleurs chaudes, vives – je souris avec mes lèvres et mes yeux.

    Evocation de la tristesse : la tête vide – le visage se ferme – je sens ma gorge légèrement nouée – la posture debout jusque là agréable me semble difficile et je contracte mes jambes pour garder ma stabilité.

    Besoins : quand je suis seule me recroqueviller sur mon canapé dans mon plaid – sinon les bras d’un être cher – sentir la chaleur humaine ou du plaid, ce qui me permet de relâcher – me sentir soutenue par le canapé ou dans les bras de mon être cher – ne pas à avoir à faire d’effort, à aller puiser de l’énergie physique – me laisser porter – me sentir réconfortée.

    Le mouvement la joie du souffle : à la première inspiration je sens le mouvement respiratoire bloquer au niveau du plexus – à un moment je déglutis et je sens ma gorge dénouée – avec le bercement, je sens mon coeur battre un peu plus fort, je ne sens plus mes jambes, je suis dans le bercement et la douceur que je m’apporte, je sens mon corps plus léger – à un moment je porte mon attention sur ma respiration, le noeud au plexus solaire est dénoué.

    Image de beauté : je réactive le lever du soleil, l’émerveillement, l’énergie des couleurs chaudes et vives – ça m’apporte de la joie qui s’exprime avec un sourire aux lèvres, une sensation d’ouverture du visage.

    J’envoie des souhaits à mes êtres chers : que l’émerveillement vienne vous toucher à nouveau – que les couleurs de la vie viennent à nouveau vous apporter des moments de joie

    Ressenti global : beaucoup d’amour.

    Merci Patricia pour cette séance.

  16. Véronique BASSET-CHESNAIS

    Bonsoir Patricia,
    J’ai eu du mal à choisir une situation triste car plusieurs se sont présentées à moi, difficile de les hiérarchiser. Alors je me suis laissée guider. J’ai ressenti au début de la séance beaucoup de tensions au niveau des épaules avec une oppression thoracique et beaucoup de difficultés à respirer profondément. Le geste signal m’a beaucoup aidé et je me suis détendue en m’entendant dire “Je ressens de la tristesse, je m’autorise à ressentir de la tristesse”. Ma respiration s’est accordée progressivement au rythme de mes paroles pour la retrouver douce, calme et profonde
    L’évidence même de ce que j’avais besoin en ce moment précis était de l’amour, cela résonnait en moi. Je sentais mon cœur battre fortement comme si il avait peur que je ne comprenne pas le message.
    Le moment le plus fort de cette séance a été celui du mouvement de la joie du souffle, véritable découverte pour moi ,puis conquête, puis transformation avec énormément d’émotion lors du mouvement du bercement.
    Plus je faisais ce mouvement, ce bercement, et plus je me sentais recroquevillée sur moi-même, avec les larmes aux bords des yeux et le sourire au bord des lèvres.
    Moment de pur bonheur et de pure douceur, cela m’a fait énormément de bien. Je sais que je referai régulièrement ce geste ,il fait partie de moi à présent, c’est mon espace sécure.
    Autre moment chargé en émotion ,c’est celui du rapprochement des 2 mains avec notre besoin évoqué au début de la séance ,déposé à l’intérieur de celles-ci.
    J’ai ressenti une énorme bouffée de chaleur avec le simple fait de ramener mes 2 mains sur mon cœur ,comme une reconnexion.
    Je l’ai senti se remettre à battre fortement comme si il me remerciait un nouvelle fois d’avoir compris son message. J’ai adoré ensuite déployer doucement mes mains et sur une expiration très douce ,offrir et partager ces évocations à mes enfants, mes parents, à toutes les personnes qui me sont chères. Je me suis vraiment sentie vivante, légère, libérée.
    Séance à la fois bouleversante et bienfaisante. Merci !!!

  17. Aude VOLDOIRE

    Belle séance, riche et émotionnellement dense… Merci
    La situation associée à la tristesse était présente dés le début de la séance.
    Le besoin associé qui est venu est dans un premier temps l’Amour puis plus précisément l’Amour pour moi même / confiance en moi.
    Le premier enchainement du mouvement de la joie du souffle a été une découverte, une ouverture. Lors du deuxième enchainement, l’émotion m’a envahie, je me suis sentie comme une enfant. Lors du troisième enchainement j’ai ressenti la confiance et l’amour donné par les bras autour de moi.
    La représentation de l’Amour / confiance en moi même, s’est présentée sous la forme d’un coeur, vivant, palpitant. Cela m’a beaucoup émue. Comme une invitation à poursuivre sur la voix du coeur, de l’intuition, se laisser guider vers ce qui vibre, qui rend vivant. J’a transmis cette représentation à ma fille, pour lui servir de guide aussi, puis au monde…

  18. Marie Emmanuelle RAILLARD-FAULON

    Une séance assez difficile pour moi. J’ai beaucoup pleuré, notamment à l’évocation du sentiment de tristesse et du besoin ressenti à ce moment. Ma gorge s’est serrée, j’ai eu l’impression de vaciller comme une chandelle, je n’étais plus stable. Mon besoin est celui de consolation.
    Le fait de me bercer la 1ère fois, ne m’a pas réconfortée, au contraire j’ai continué à pleurer. Ce n’est que le 3ème mouvement qui m’a permis de m’apaiser. J’ai accentué le geste de se prendre dans les bras et de se bercer, cela m’a permis de me sentir présente dans l’instant.
    Je me suis tournée vers l’image de la beauté, une rose blanche au parfum délicat et subtil, aux pétales soyeux. Cette image m’a apportée de la douceur, et dans le devenir de cette rose, m’est apparu la notion de “mourir et renaître”, la rose qui meurt et qui renaît, un cycle…
    Une pratique très forte.

  19. MARIA Céline

    A l’évocation du sentiment de tristesse, j’observe un mouvement subtil de repli sur moi-même, comme si notamment mon thorax et mon abdomen se rétrécissaient un peu en se recroquevillant légèrement en mon centre. Pareil pour mon visage.
    La phrase “je ressens de la tristesse, je m’autorise à ressentir cette tristesse m’a apaisée : comme si je n’étais pas seule. Comme un sentiment de force supplémentaire pour faire face et accompagner ma tristesse.
    Aucun besoin spécifique n’a émergé en lien avec ma tristesse.
    Le mouvement de la joie : les bercements étaient doux…chaleur, douceur. A nouveau ce sentiment de n’etre pas seule ou alors peut-etre d’etre ma propre bonne accompagnatrice. Comme si je berçais un petit moi ou mon enfant intérieur. Beaucoup d’amour, de tendresse ressentie.
    Ensuite, j’ai choisi une image de beauté : c’est une grande plage de chez moi qui est venue : le soleil, le ciel, la mer, la douceur d’une journée d’été, la légère brise salée, la sensation particulière d’une peau chauffée par le soleil et sur laquelle le sable et le sel se déposent. Les bruits joyeux des autres occupants de l’espace. Les cris des mouettes.
    Faire devenir cette image toute petite, la tenir dans mes mains et la déposer sur mon coeur…J’ai ressenti une joie profonde et calme. Logée très clairement une main au-dessus de mon nombril. La souffler aux autres l’a fait se diffuser en moi aussi. Cette pratique était très apaisante et douce.

  20. pascale ventre

    J’ai bien identifié l’motion de tristesse…. La situation est venue très vite et immédiatement un ressenti de gorge nouée, de respiration coupée, et de larmes à évacuer. Cela a été très réconfortant d’avoir un rappel de situation souvenir apaisant. Besoin bien identifié, qui se manifeste corporellement par un enveloppement. Et le bercement a été bienvenu, enveloppant justement. Avec cette prise de conscience que les ressources sont en moi pour apaiser la tristesse. Dans la représentation, j’ai aimé retrouver ce mouvement vers le coeur (que j’avais pratiqué en hypnose), et qui a rempli mon thorax, le souffle coupé du début a laissé place à la liberté du vent sur une plage.