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Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde

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208 réponses à “Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde”

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  1. BESENVAL LAETITIA

    c’était une séance agréable, pour mon corps, calme et détendu. Je me sentais bien , avec mes émotions, j percevais les personnes qui me sont chères,
    sensations agréable avec le balancement de mon corps également.

  2. Christine Choby

    Bonjour,
    J’ai été captivé par le mouvement des mains croisés et du balancement, j’ai eu l’impression à la fois d’être bercée, cajolée et câlinée (rassurer).
    Au premier mouvement, une boule au niveau du sternum, au deuxième mouvement je la ressentais un peu moins et au troisième mouvement je ne la sentais plus. Je me sentais libérer.
    L’objet qui est venu à moi était une fleur de lotus, elle représente pour moi la douceur, la bienveillance, l’acceptation de ce qui est, le non jugement, la paix intérieure.
    A la fin de la séance, j’ai pris conscience que je pouvais me rassurer seule et me câliner. Je ne connaissais pas ce mouvement et suis comblée de le découvrir.
    Merci pour cette magnifique séance.

  3. isabelle galpin

    j’ai beaucoup apprécié le mouvement de balancement au départ pour s’ancrer, pus lors du mouvement de la joie du souffle. Ce balancement m’apporte ce besoin de réconfort, de douceur et d’écoute que j’ai pu identifié lors de l’évocation de mon souvenir…souvenir pendant lequel je m’autorise à être triste, à ressentir cette émotion face à cette perte. La représentation de mon besoin est une plume blanche avec laquelle je m’enveloppe, je fusionne, que j’offre à mes proches, qui s’envole avec douceur pour revenir s’installer à l’intérieur en moi…

  4. Nathalie ECHARD

    Juste un petit retour sur la séance que j’ai vécue hier.
    Cette nuit j’ai fait un rêve complexe, comme ils peuvent l’être souvent, qui concernait mes besoins .
    Preuve s’il est en que la conscience continue d’intégrer et de travailler et de s’ouvrir bien après le temps de la séance (ça je le savais déjà).
    Outre ma propre évolution personnelle, dont je ne parlerais pas ici, en tant que sophrologue j’ai réalisé que cela pouvait être très intéressant de placer l’identification des besoins (puis bien sûr les réponses et ressources liées) pour mes clients. Au delà du deuil cela peut être adaptable sur d’autres problématiques.
    Je ne m’étais pas encore interrogée sur la question intime des besoins, ou en tout cas pas ce cette façon.
    Des pistes à suivre, merci pour cette belle séance.

  5. Nathalie ECHARD

    En début de séance toujours cet interrogation inconfort de ne pas vous voir ou avoir vu les gestes de le séance à venir. Ca me gène beaucoup de ne pas voir au préalable,.
    le lien avec le sentiment de tristesse est venu avec douceur c’est nostalgique et doux. ça vient enserrer un peu ma cage thoracique , le haut de mon thorax et une partie de mon cou. ça me semble confortable, je suis ok avec cette forme de tristesse douce.
    Le besoins qui apparaît est celui d’être consolée et entourée.
    Puis le mouvement (en fait je connaissait ce mouvement mais je le pratiquait sans faire la pause avec le bercement) là c’est différent. Le fait de rester dans la position en respiration libre me réconforte, je me sens entourée et protégée. Le bercement est un peu confus car je ressens plus le besoins de me bercer d’avant en arrière que de gauche à droite, j’expérimente les 2 puis reste dans mon propre mouvement.
    Le contenu de beauté ne venait pas visuellement, je me sentais entourée de chaleur agréable mais avec un contenu visuel qui m’agressait alors j’ai fait un SDN puis me suis centrée d’avantage sur les sensations chaudes jusqu’à ce que je me sente devenir un petit soleil avec une lumière intense que je voyais bien jaune, orangé, blanche. J’irradiais ça a été facile de tenir ce joli soleil dans mes mains puis de le remettre d’où il était venu , c’est à dire de l’intérieur de moi et tout de suite spontanément je l’ai offert au monde entier dans un grand partage.

  6. sophie garcia-lopez

    Ancrage idéal, mouvement de balancier instinctif, définissant presque une enveloppe rassurante.
    Je suis bien, là, maintenant, présente, à mon écoute.
    Au moment de l’expérience de tristesse, physiquement et immédiatement la boule dans la gorge ressurgit.
    M’empêchant de déglutir, sensation d’étouffement, d’oppression, mon visage se liquéfie, j’ai l’impression qu’il s’allonge.
    Ma respiration et mes mains posées sur mon ventre me ramènent au présent sans effacer la tristesse, en la rendant plus légère.
    Mon besoin est la sécurité associée à un amour, grand, beau, simple. A de bonheurs de petits riens qui font la vie. Une vie simple.
    Le mouvement de la joie est de plus en plus agréable, je me déverrouille au fur et à mesure. Je sens l’amplitude croissante, l’enveloppement plus fort aussi.
    Une grande douceur, bien-être, bonheur. Mon balancier est quasi heureux, quasi foetal, protecteur.
    Assise je reçois dans mes mains mon idéal beauté, sans réfléchir.. Il s’impose, mon coin d’île où la nature intacte se dessine. Silhouettes de palmiers, de feuillages, et un monde
    de parfums. je les sens tous, végétation, sel, humidité, mer, sable, coco. Je l’envoie à ceux que j’aime.

    Une séance bien agréable malgré tout, libératrice en un sens. Merci

  7. Annie Cacheleux

    Un bel ancrage pour accueillir un flot de larmes..je me suis autorisée une pause avant de reprendre et m’accueillir, et de sentir une énorme ouverture au niveau de ma cage thoracique et un plexus beaucoup plus doux.
    Assise la représentation de la beauté est une tige de boules de coton, à la fois douceur et à la fois une tige droite et équilibrée…et j’ai fini au bord de la mer pour envoyer toutes mes pensées et émotions aux être chers et les regarder s’éloigner avec une extrème douceur.
    Ce qui est revenu, c’est également l’entourage proche.
    A la fin besoin d’un bon massage que je me suis apporté. Un grand merci

  8. Paulette Daubie

    Quelle séance remuante. Surprise de ressentir cette tristesse qui se manifeste physiquement par la gorge serrée et le besoin de pleurer .
    Au moment ou je la prends dans mes bras douleur a la pointe du sternum.
    Besoin de poser mes mains sur cette région et de la masser comme un soin énergétique.
    Mon besoin de sérénité et de joie bien identifiée en sachant que ces 2 besoins moi seule peut m’autoriser à les trouver autrement, a leur laisser la place dans l’ici et maintenant .
    Le besoin d’avancer dans l’apaisement est bien présent en fin de séance.

    Merci pour cette séance et le cheminement qu’elle amène. C’est bon de vivre ses émotions, de les accueillir et de les prendre dans ses bras.

  9. CAROLE COMPASSI

    Beaucoup de douceur, de lumière sur l’ancrage et puis sur le moment difficile, je revis toutes les sensations, les crispations, l’incompréhension, l’agitation physique, que dans ma tête. Derrière cette tristesse, il y a aussi la peur, que je ressens dans mon ventre…; la respiration m’apaise et je pleure (peut être pour la première fois). J’aurais besoin de réponses et de solitude à ce moment.
    S’autoriser à prendre soin de moi, avec beaucoup de réconfort, encore de douceur . Dans ces moments de tristesse, j’attends des autres un signe de compréhension, un soutien sans même que je le demande, et je prends conscience dans cette séance que j’ai besoin de moi, d’être avec moi même, me recueillir dans ces moments de tristesse. Le mouvement de la joie du souffle, quel bonheur pour mon corps et pour mon âme, De me cajoler moi même,de toucher les épaules, de me contenir, douce sensation de réconfort, de soutien, de bien être, d’apaisement, d’amour.

    J’ai eu beaucoup de mal dans la représentation de mon besoin, solitude, et réponses…,pas réussis à visualiser ou même ressentir quelque chose, rien
    Je suis restée reliée sur ma respiration, mon rythme cardiaque est bien plus frappé et laisse faire..
    A ce moment , un rayon de soleil entre dans ma pièce et me chauffe et illumine mon visage, ça me fait du bien comme une caresse ça me fait sourire….ma représentation.

    merci pour cette séance

  10. Sophie LAURENT
    Sophie LAURENT

    Beaucoup de contrastes… Grand plaisir aux mouvements d’équilibre et puis la séance se déroule vite, trop vite par rapport à mon besoin, je sens que j’ai besoin de m’installer dans les mouvements, les respirations… Je ne contente pas de moment de tristesse mais de l’irritation… par rapport à cette séance pas à MON rythme (!) et par rapport aux voisins qui font du bruit. Je me concentre sur cette émotion et constate à quel point elle me tient serrée, fermée, contractée. De quoi j’aurais besoin ? Deux grands bras calineurs et enveloppants. Je relâche doucement. Je savoure le mouvement de la joie du souffle, sensation de très grande ouverture et de solei. Et le câlin auquel j’aspirais. Beaucoup de douceur et de joie.
    Assise , représentation de la beauté : paysage de moyenne montagne en été, lumière, espace, mon besoin identifié est cette fois cet espace de nature et il me rappelle des vacances familiales d’il y a très, très longtemps… la tristesse n’est pas loin!
    Puis je me sens de plus en plus entrer en moi, moins dans la résistance, plus dans la vérité de l’instant.
    Très belle expérience.

  11. Sophie Fusat

    Debout bien ancrée au sol, le balancement me fait beaucoup de bien. Il m’ancre davantage. Je me sens solide. D’ailleurs tout au long de la séance debout, j’aurai beaucoup de mal à stopper le balancement. Il est présent, me rassure et se fait instinctivement. Les bras en l’air en v tête en arrière 1ere fois pas stable, pas à l’aise puis 2nd et 3eme fois sans souci au contraire envie de le refaire. Les bras croisés très agréables avec le balancement impression qu’on me cagole, me rassure. Pas envie d’arrêter… Assise, me vient le soleil qui réchauffe mon corps et toute mon âme. Me fait beaucoup de bien. je me sens vivante, pleine de vie et d’émotions pour le coup positives. C’est ce soleil que je distille aux miens comme des petites bulles de savon qui vont à leurs rencontres et les réchauffe à leurs tours de lumière et d’amour. Je me sens bien, très bien. En lien avec eux, mes invisibles si présents en moi….. Merci beaucoup pour cette belle séance.

  12. Frédérique CHICHE REMOND
    Frédérique CHICHE REMOND

    Je démarre ma pratique détendue, aucunes tensions à évacuer. Puis, sensation de douceur et de protection en croisant mes bras et en arrondissant mon dos. Moment agréable. j’ai particulièrement aimé offrir la beauté aux personnes qui me sont chères à travers mes expirations longues et lentes.

  13. Sabine M.
    Sabine M.

    Bonjour,
    Voici ma phénodescription :
    Debout sur mes deux pieds, je me sens confortable dans ma stabilité, mon ancrage et ma verticalité. Ma respiration est douce et tranquille, déjà bien présente dans mon ventre. Une légère oscillation d’avant en arrière s’installe et complète le passage passage d’un pied sur l’autre, et succède le mouvement de 8 du bassin, comme si je me berçais déjà doucement. Malgré quelques échappées, mon attention suit bien bien la visite des différents espaces de mon corps, où s’installe progressivement un peu plus de détente (je ne suis pas particulièrement tendue aujourd’hui) et le moment de libération des tensions amène quelques bâillements, ainsi qu’une douce chaleur qui se répand dans tout mon corps.
    L’évocation de la tristesse me ramène à l’esprit une succession d’événements passés qui ont été marqués par cette émotion : des deuils et aussi des moments de séparations, et de changements imposés, Des sensations de contractions dans le plexus et la zone du cœur se manifestent rapidement, ainsi que la sensation de changer l’expression de mon visage (yeux, qui tombent, plis de la bouche qui tombent également, larmes qui pointes au coin des yeux, sous mes paupières baissées, front qui se plisse légèrement). J’ai également la sensation de me voûter/fermer légèrement et d’avoir les bras un peu plus ballants. J’accueille ses sensations et les reconnaît, les laissent s’exprimer telles qu’elles sont là aujourd’hui, présentes et légères. C’est une tristesse qui fait juste “coucou”, qui ne s’impose pas et me dit voilà à quoi je ressemble aujourd’hui…
    Le mouvement de montée des bras vers le ciel pour les ramener ensuite comme si je me prenais dans mes propres bras, est très apaisant, notamment les bercements qui l’accompagnent, en forme de passage d’un pied sur l’autre, qui se fait plus naturellement pour moi d’avant en arrière. Je baille et me réchauffe à la chaleur de mes bras et de mon souffle sur ma poitrine.
    A l’évocation du besoin ou de la beauté, c’est plutôt l’expression d’une forme de beauté qui s’impose à moi : la beauté d’un vrai sourire. Vrai parce qu’il rayonne, illumine et éclaire un regard, un visage, est une image de la beauté de la vie pour moi… et qu’à le regarder, j’ai juste envie de lui répondre de la même façon avec mon sourire à moi, plein de vie et de ma lumière intérieure. Envie de communiquer, de communier et de partager ce même élan de sourire… Me viennent à l’esprit une belle série de ces beaux sourires croisés tout au long de ma vie, y compris le mien, en particulier celui que j’ai sur une photo de classe de primaire… Cela me fait beaucoup de bien et je sens : ma respiration devenir un peu plus ample (elle était donc un peu plus réduite qu’au début ?), les traits de mon visage se détendre et aller vers ce sourire que j’ai envie de donner. Ma tristesse me semble apaisée.
    Je reprend contact avec le moment présent de mon appartement avec l’impression d’avoir fait un beau voyage au pays de mes émotions….

    Le moment le plus positif : la prise de conscience claire et rapide de mes sensations corporelles
    L’instant le plus positif : les sourires vrais, reçus et donnés, partagés
    En quoi c’est positif ? : les sourires vrais sont des représentations de la joie, cette belle énergie de vie

    Merci pour cette séance.
    Bien à vous.
    Sabine

  14. Patricia

    Séance particulière et très forte pour moi. Mon corps entre vite dans la détente. Debout, je ne ressens pas de tension particulière. Je me sens bien dans mon corps. Quand je pense à un moment de tristesse, ce n’est pas la perte d’un être cher qui est venue, mais la perte d’un emploi et surtout la perte du statut qui l’accompagne, celui de salariée. Je retourne facilement dans la situation car elle date d’hier. Je ressens la tension sous mes yeux, pour ne pas pleurer en pleine réunion en ligne. Puis je sens les larmes couler après la séance, ma gorge nouée et je revis le sentiment d’abandon mélangé à un sentiment d’injustice et la tristesse.. un peu…En fait, je ne sais pas si elle est encore là.
    La mise en mouvement, l’étirement et le côté enveloppant me donnent de la chaleur et de la force, et de la sécurité aussi. J’ai eu quelques frissons dans les jambes. C’était agréable, j’aurais eu envie de rester dans la position immobile, les bras croisés sur les épaules, à respirer calmement.
    Ce dont j’ai besoin, c’est l’espoir. Ce mot est apparu tout seul, Et j’y ai vu l’espoir de réussir ma vie comme indépendante. Par la suite, lorsque j’ai laissé venir une représentation de l’espoir, c’est de la lumière et le visage rassurant et accueillant de Jésus que j’ai vu. Cet espoir était très fort, enveloppant, lumineux et présent. Très vite, pendant la séance, je suis me suis demandée si je pouvais l’écrire dans ma phénodescription. C’est intime, comment ça va être reçu… Puis, je me suis autorisée à le faire car c’est ce qui est venu.
    Merci pour cette belle séance !

    1. Patricia
      Patricia

      Merci beaucoup Patricia pour ce partage. Tu as bien fait de te l’autoriser. Je comprends que tu viens d’être licenciée. N’hésite pas à me contacter si tu as besoin d’en parler. Prends bien soin de toi.

  15. Nathalie
    Nathalie

    Sentiment de solidité, de stabilité, de présence, de réconfort bienfaisant. Je ressens la tristesse dans ma gorge serrée, recroquevillée, qui fait écho à mon besoin de tendresse, de présence charnelle, d’être touchée, câline, aimée par le corps. Un doux moment avec moi lorsque je me prends dans les bras, de présence bienveillante à moi-même, de douceur, de présence tendre. Mon besoin se transforme au moment d’en laisser venir une représentation pour m’accompagner dans quelque chose de plus essentiel à moi en ce moment : le besoin de pouvoir rester centrée en moi plutôt que de partir chez l’autre. Je ressens une petite boule d’or lumineux au centre de mon bas-ventre, comme le point d’intégration de moi-même. J’entends. Je suis le centre du centre de mon centre. En présence consciente de cet espace, je suis en mon centre, je suis en moi et c’est de là que j’entre en interaction avec l’autre, que je le ressens de l’intérieur, en moi dans le respect de qui il est. Je suis le centre du centre de mon centre.

  16. Doris LANG

    Debout, bien ancrée, comme aimantée au sol, j’ai ressenti des douleurs au niveau des lombaires….et puis de la tristesse, mais un doux souvenir de mon père, et une fatigue dans tout mon corps. qui semble m’obliger à un agréable lâcher-prise. Bercée, comme cajolée par le Tout

  17. Florence Cohen

    Je commence debout mais ne parviens pas à garder la posture, donc je m’assois et je continue assise . Mon corps est tendu depuis plusieurs jours suite à une prise de conscience assez douloureuse : la violence du choc de la séparation et du décès se manifestent, c’est le décès qui aujourd’hui fait surface, s’impose à moi comme une réalité . Au travers de mon corps, ce sont les lombaires, le dos, les cervicales qui souffrent .
    Au moment de lever les bras, le premier geste je n’y parviens pas, je passe donc par le côté, les deux suivants j’y arrive .
    Mon besoin est de prendre soin de moi comme d’une plante et de me laisser bercer par sa lente croissance au moment du printemps . Tout comme moi .

    Bon moment tout de même.

  18. Caroline
    Caroline

    Belle séance, bien rythmée dans ces phases, elle déroule naturellement et suit mon rythme. Douceur et bienveillance du début, je me sens enveloppée. Portée par le balancement des pieds, sentir les coussinets, le tapis sous mes pieds, puis la détente aisée et rapide, le SDN, et le soulignement simple et juste d’un SAV délicat. Je suis à mon corps avec ma fatigue du soir qui m’étreint, la fraîcheur de ma pièce. Je suis happée par le mouvement de la tristesse. Le moment choisi s’avère être plus de la colère que de la tristesse. Je change en saisissant que mes émotions se superposent. Et le geste de la tristesse me happe et me fait du bien: mon corps se redresse, thorax bombé et le corps se recourbe. Je sens bien en moi l’ouverture et la fermeture, l’inspire longue et la liberté du souffle en mouvement. Je vis ma tristesse comme j’ai envie, en toute liberté. Oui je suis triste et mon besoin à l’époque, c’est bien l’écoute, juste être écoutée, réellement. En me berçant, c’est une nouvelle facette de la sophro présence relaxante qui se révèle, une capacité à m’apaiser à écouter mon corps et mon esprit. Oui c’est ça, je me sens à ce moment sur le bon chemin. Je m’écoute, je m’entends, je ressens, et je me berce, je me console. Je suis triste derrière mes colères. QQ autres moments tristes défilent alors.
    Je ressers mon besoin, l’écoute, dans mes mains. Au creux de mes mains l’écoute et je suis contente de l’offrir, de le souffler aux autres, de pouvoir leur faire ce cadeau. A ce moment-là je me sens essaimer. Je me sens joyeuse.,

  19. servanne HOEL

    Bonne séance bien ancrée au sol mon bassin libre de mouvement qui accueille l’énergie tellurique que je sens remonter en libre circulation.Moment de tristesse de la petite fille de 9 ans au décé de sa maman.J’ai plus ressenti le manque, un besoin non assouvi à ce moment là,.Ce besoin d’être entendu et considéré dans un manque affectif.Avec la position 4 eme degré j’ai pu ressentir l’énergie de l’univers se mêler et combler par ce mouvement de réconfort qui s’est renforcé de plus en plus.
    Une image symbolique en lien avec mon enfance. Un champs de coquelicot qui est revenue j’ai pu me l’offrir et le partager avec tout ceux qui m’entour.

  20. Véronique

    Toujours beaucoup de sensations agréables en début de séance, les pieds bien ancrés, je me suis sentie enracinée, profondément, puis bercée par un balancement doux au rythme de ma respiration, comme si un léger vent venait s’engouffrer dans mes branches ( me ressourçant régulièrement auprès des arbres, j’ai eu cette sensation d’être connectée à la terre, comme un arbre… d’où la sensation de vent dans les branches, en tout cas c’est ainsi que je l’interprète). Moment triste… la perte de mes jumelles, il y a 7 ans, à 5 mois de grossesse. Elles sont toujours présentes en moi, et lorsque vous avez prononcé cette phrase “comme si on prenait notre tristesse par la main” j’étais juste une maman aux gestes tendres avec mes 2 petits anges. Je ne suis plus triste, ou plutôt une tristesse que j’aime. Et puis les moments en famille sont ce qui comble mon besoin, les moments de partage avec mes 3 enfants, cette parole libre que nous avons tous les 4 évoquant les jumelles, les nommant par leurs prénoms, naturellement. Elles sont avec nous, tout le temps. Ces instants sont apaisant pour mes enfants, pour moi, une unité réelle, la sensation d’un fil qui nous lie les uns aux autres.
    Merci pour ce moment d’une douceur extrême

    1. Patricia
      Patricia

      Merci pour ce partage très touchant.