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208 réponses à “Pratique 1 du module 4 deuil : J’accueille et cajole mes émotions et je m’ouvre à la beauté du monde”
Je me sens remplie de bienveillance i après ce moment de douceur. Le mouvement de bercement m’a fait beaucoup de bien et me donne envie de refaire la séance. La représentation de la beauté et de l’arc en ciel qui s’est présenté m’a beaucoup nourri. J’ai trouvé très beau également de faire le lien entre passé présent futur sur cet arc en ciel qui est par essence éphémère. Ce sentiment d’impermanence est presque joyeux parce qu’il peut être mis en miroir avec un sentiment d’abondance si je sais poser mon regard sur ce qui m’entoure.
Ancrage, agréable sensation de mes pieds en contact avec le sol. je me sens ici et maintenant.
Détente de mon corps, prise de conscience des tensions au niveau de mes yeux, de mes épaules.
L’image de mon futur ex-mari apparaît, des larmes coulent sur ma joue, puis celle de mon père provoquant des sanglots. J’observe ma tristesse, la ressens dans ma gorge, dans mon thorax contracté, presque douloureux, ma respiration est coupée, saccadée, puis je respire par le ventre, tout commence à se calmer, s’apaiser, sauf mes larmes qui continue à couler. Les bercements, mains sur mes épaules me réconfortent, me rassurent. J’aimerais prolonger ce moment.
L’image d’un cheval, je colle ma joue sur lui, le caresse, l’enlace. Il sent bon. Derrière, les montagnes enneigées, une petite maison. Moment de partage, de connexion, je me sens reliée avec ceux qui sont parti, ça m’apaise, je me sens plus calme. Merci, technique que je vais refaire.Merci!
Agitation, difficulté de concentration en début de séance, sensation de gêne corporelle. Puis focalisation sur l’expérience de tristesse, la vente de la voiture du défunt, zoom sur la carrosserie brillante et recouverte de gouttes d’eau qui évoquent mes larmes, ma tristesse, cette image reste un long moment. Le besoin d’affection, d’être prise dans les bras se concrétise par la vivance de la joie du souffle. Sensation de poids, d’écrasement par le chagrin se mêlent à la douceur des gestes de l’exercice. Heureuse de garder un peu ce besoin d’affection dans mes mains puis de l’envoyer à mes enfants via le soufle, à tous les êtres chers affectés par la perte de l’être aimé.
Sensation d’avoir consoleé un enfant et en même temps d’être l’enfant, puis l’adulte consolé comme un enfant, sensation d’avoir guérit une blessure qui vient de très très loin , très très profond. Il David et San Matteo de Michelangelo, puis David seulement, puis toutes les couleurs, les saveurs les tumultes joyeux della piazza della signoria à Florence, toute la joie de l’Italie s’offre à moi, me rempli, me fait revivre. Après les 3 offrandes en communion, réconciliée avec le monde au delà de ses tensions actuelles. J’ai retrouvé un optimisme perdu depuis quelques temps. Merci. Je vais me faire une petite cure de cette pratique.
Tristesse et besoin de lâcher prise , relié au balancement de début de séance : l’ancrage est bien là , la souplesse aussi , je me laisse aller à ce qui est et à la beauté de ce qui co existe
Doux bercement , chaude sensation des mains sur le cœur
Légèreté et unification à l’envol avec le souffle des vœux à la fin de la séanceUne sensation agréable de libérer le bassin au moment de l’exercice des 8 couchés, et trouver très rapidement ma préférence de sens comme une évidence. Au moment de l’évocation de l’événement douloureux relié à ma tristesse, perception d’un important resserrement au creux du sternum, le souffle court, coupé, les mâchoires serrées jusqu’à ressentir la douleur au cœur des dents et de la gencive. Je me suis assise, mon corps faiblissait. Me relever et, sentir dès la 1ere pratique du mouvement de la joie du souffle, une ouverture de ma cage thoracique et un léger apaisement des sensations physiques notamment au niveau des poumons. Évoquer plusieurs besoins dont l’envie d’entrer en contact avec le défunt et notamment l’envie de lui écrire. Je me suis représentée assise en méditation, puis je me voyais écrire en “écriture automatique” tout ce que je ressentais, tout ce que je voulais lui dire dans cette posture méditative, comme un message envoyé d’âme à âme avec l’incertitude de la bonne réception du courrier (…), mais la certitude d’avoir dit ce que j’avais à dire. Un léger malaise lorsque vous avez évoqué de partager ce besoin avec les êtres chers, car j’ai ressenti mon besoin comme profondément intime. Néanmoins, je les ai invité. à ce geste. Détente modérée, et apaisement très léger sur cette séance. A refaire. Merci.beaucoup.
J’ai ressenti des tensions en haut du dos au moment de l’évocation de la tristesse. Les bercements étaient très agréables. J’ai senti des larmes coulées au moment de l’évocation de la beauté et je me suis sentie soulagée. J’ai pris conscience des belles personnes qui sont entrées dans ma vie depuis 5 ans.
Jambes comme coupées à l’évocation de la tristesse. Le besoin de joie s’est fait sentir spontanément. Impression d’harmonie au moment du bercement, forte sensation d’apaisement, de corps qui se débloque (nombreux craquements dans la colonne vertébrale). La représentation de la joie se manifeste lors d’une fête familiale, entourée, comme bercée par l’énergie positive qui se dégage de ce moment. Bonheur à l’idée de transmettre ces sentiments positifs par le souffle de la joie.
La tristesse est venue avec une boule au niveau du plexus et des larmes, les épaules étaient tendues, la respiration saccadée et courte
Une sensation de grande douceur avec le mouvement des bras, comme un cocon apaisant. La respiration s’est relâchée, les épaules aussi. Le plexus s’est dénoué petit à petit. J’avais presque un sourire sur le visage en fin de séance.Peu de mots, surtout beaucoup de larmes, oppression dans la poitrine, la gorge. Besoin de protection, le bercement dans mes bras m’a apaisée. Voir des images très précises de ce dont j’ai besoin et surtout de qui j’ai besoin autour de moi, et diffuser en soufflant, comme des ballons qui s’envolent dans le ciel et se dirigent vers chaque personne qui est proche à mon coeur.
Séance qui se termine sur une grande douceur et un apaisement profond.La tristesse se manifeste par une sensation de gorge nouée, de larmes qui montent , de la respiration qui se fait plus haute plus courte….en intervenant sur ma respiration je m’apaise doucement…..le besoin d’être consolée prise dans les bras s’exprime….alors le mouvement de la joie du souffle m’apporte la satisfaction …je prends conscience de ma capacité à me consoler toute seule et j’aurais aimé que le balancement dure plus longtemps…..la représentation de mon besoin d’être consolée s’impose d’elle même avec Marie notre mère à tous….énergie de douceur suprême….couleur violette derrière mes paupières….chaleur au niveau du sternum lorsque je la dépose sur mon coeur….joie ressentie lorsque j’envoie son énergie d’amour à, tous les êtres…
Merci pour cette très belle séance!Beaucoup de larmes ont coulé. La gorge nouée, la respiration courte au début s’est apaisée lors des mouvements des bras levés vers le ciel suivi des doux balancements. Un peu de douceur, mais pas assez pour être totalement apaisée. Un besoin est apparût, le besoin de ME pardonner. Poser les mains sur mon cœur encore tout chamboulé, rapide et serré fut un mouvement nouveau pour moi. L’écouter le sentir… Je me sens fatiguée, vidée de toutes ces larmes. A refaire encore et encore je pense pour soigner une plaie à l’évidence encore grande ouverte. Merci infiniment ?
Je me sens fatiguée, le moment de tristesse ma pris à la gorge, plusieurs besoins émergent de lien, de réciprocité, de compréhension, de sécurité, mes images m’ont apaisées, le mouvement du souffle, a été un moment libérateur je me suis apporté ce lien dont j’ai besoin, cette écoute et compréhension. lorsque je m’assois j’ai des larmes qui montent, je les laisse être là. La représentation qui me vient au début c’est un voile enveloppant, puis ma couverture, douce blanche, épaisse, je m’y enveloppe. Je l’offre à mes proches et je la laisse s’envolée, vivre sa vie, elle redevient voile. Je peux m’apporté ces moments de sécurité, d’écoute, et renforcer le lien avec moi même.
J’ai identifié le besoin de ne plus être seule en cet instant. Je l’ai senti viscéralement présent en moi, plus que la tristesse en fait. Et lors du mouvement d’auto-bercement, j’ai senti une grande chaleur s’installer en moi, je me suis redressée, réconfortée, je me sentais ancrée, solide, joyeuse.
Lorsque j’ai fait émerger cet image qui correspondait à :on besoin, j’ai senti beaucoup de chaleur, de douceur, de tendresse s’infiltrer en moi et j’ai su que c’était la bonne réponse.J’identifie en début de séance le besoin “de présence solide”.
Le mouvement de la ” joie du souffle” apporte beaucoup de vitalité, comme une sensation de “pétillement, de fraîcheur dans la tête puis, dans le thorax”, j’ai la sensation de me relier à mon axe.
Le bercement est extrêmement doux, grand sentiment de sécurité, d’enveloppement qui m’accompagne jusqu’à la fin de la séance.Une sensation forte au niveau du plexus et de la tête au moment où je me suis focalisée sur l’émotion de la tristesse. J’ai ressenti le besoin de me poser assez souvent sur ma respiration. Peu à peu, les mots énergie, bonheur et compréhension se sont posés… et une émotion vive s’est présentée.
Le mouvement de la joie du souffle, une révélation, une libération… un grand besoin de tendresse et de douceur se sont fait sentir en fin de séance.La tristesse revisualisée dans l’instant s’est manifestée comme une compression dans la tête, les yeux attirés vers le sol, les muscles autour de la bouche étirés vers les extérieurs en pleurant, la gorge serrée, la mâchoire crispée, le coeur fermé et le plexus noué. L’image ressource a tout de suite détendue cette vision de moi dans cet été de tristesse, a permis de la cajoler. Sensation accrue au moment du bercement avec le besoin “d’aide et d’amour”.
La tristesse a appelé le besoin d’être prise dans les bras et cajolée. La RD4 a été un cadeau me libérant de beaucoup de larmes. Prise de conscience que j’avais peur de me laisser aller, de me perdre dans ma tristesse. Profond calme et apaisement ensuite. Douce joie de l’offrir en partage.
J’ai beaucoup apprécié ce mouvement de de la joie du souffle, qui m’a apporté a la fois énergie et calme profond. le besoin qui n’était pas clair au moment de son évocation s’est ensuite précisé : calme, repos, silence. Le restaurer, pour mieux le partager. merci
La situation de tristesse évoquée a appelé le besoin de réconfort.
Le mouvement RD4 a engendré de la chaleur dans le haut de mon corps. Je me cajolais et je souriais.
la représentation du besoin fut inattendue! Une couverture. Quelle couverture chaleureuse, douce, odorante et à ma grande surprise, un goût sucré s’est fait ressentir. Comme lorsque j’étais enfant.
Déposer et m’offrir cette représentation fut apaisante, douce, bienveillante et réconfortante. Quel Amour Inconditionnel reçu. Le partager fut un moment d’ouverture fort également .
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