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92 réponses à “Nos besoins”
l’importance de l’anamnèse! merci de nous préciser tout cela c’est très complet.
L’adaptabilité, toujours.Clarté de l’anamnèse, très concrète, au plus près des objectifs précis de notre accompagnement.Je pense aussi à l’Alliance qu’une anamnèse soignée va favoriser.
Merci pour ce rappel sur l’anamnèse.
Leçon essentielle pour préparer notre accompagnement.
Beaucoup d’informations aussi à la lecture des commentaires ci-dessous (comment contacter la maternité et sur l’adaptation ou non du TL).Merci pour toutes ces informations. La sage-femme que j’ai rencontré m’a parlé de l’outil URKIND, avant de m’y intéresser je voulais finir la masterclass, mais si j’ai bien compris cela va pouvoir “compléter” l’anamnèse en dégageant les ressources (entre autres) de la femme. Avez-vous des conseils par rapport à cet outil ?
Bonsoir Cécile
Et bien vous m’apprenez quelque chose ! Cet outil n’existait pas quand j’étais sage-femme.
Je le découvre et le trouve très intéressant ! Je mets d’ailleurs un lien pour que les autres stagiaires comprennent de quoi vous parlez ^^ https://www.profession-sage-femme.com/la-cartographie-urkind-un-outil-novateur-au-service-des-parents-et-des-professionnels-de-perinatalite/
et https://youtu.be/nDx9izD_hMMJe vais creuser davantage la question de cet outil !
N’hésitez pas de votre côté à nous en dire plus !Merci pour ces liens !
Bonjour Charlotte, je suis allée visionner les liens sur la cartographie URKIND. Avez-vous eu le temps de creuser davantage sur cet outil (en référence à votre dernier message) ? Si une cartographie est réalisée par la SF d’une cliente, pouvons nous y avoir accès en tant que sophrologue ? est-ce pertinent si nous n’avons pas été formé en parallèle à la lecture de ce document ?
En tout cas merci pour toutes ces informations très riches et qui ouvrent des perspectives !Bonjour Myriam
En toute franchise, aucune de mes clientes n’est accompagnée avec cette méthode. Et mes amies sages-femmes ne l’utilisent pas non plus. Je n’ai pas l’impression que ce soit encore très répandu. Donc non, désolée, je n’ai pas plus d’informations.
Pouvons-nous y avoir accès en tant que sophrologue ? Je pense que tout dépend si la sage-femme qui l’établit considère qu’il s’agit d’une donnée confidentielle et si elle en limite l’accès aux professionnels de santé (dans le cadre du secret partagé) ou pas.
Pouvons-nous l’utiliser sans formation ? Probablement pas tel qu’il a été pensé mais j’ai l’impression que ça ressemble quand même beaucoup à ce que nous, sophrologues, cherchons à mettre en place avec nos clientes : la liste de leurs ressources… Donc, je pense que nous devrions tout à fait nous en débrouiller.Puis-je terminer en disant “que la première qui en rencontre une vienne le dire à l’autre ?” 😉
Charlotte
Merci concernant pour les infos ! Rappel de l’importance de l’anamnèse
Merci pour ce rappel !
Anamnèse, ok 😉
merci Charlotte pour ses données .
Effectivement il va être important de bien construire notre questionnaire d’anamnèse pour en sortir le maximum d’informations .Une anamnèse la plus complète possible pour un accompagnement personnalisé. Merci pour ces infos!
Merci
Merci pour ces précisions
super c’est très précis
L’anamnèse est très importante pour l’accompagnement des femmes enceintes
Merci pour ce récap indispensable.
Merci pour ces précisions pour la récolte d’informations.
Merci pour ces précisions sur les informations à connaître.
L’anamnèse est très importante en effet, c’est grâce à elle que nous pourrons adapter au mieux l’accompagnement et créer progressivement l’alliance, et souvent elle se complète aux cours des RDV.Toujours aussi clair et concret, top!
Je vais de ce pas créer une fiche/anamnèse spéciale grossesse. La mienne n’était pas assez complète, trop semblable aux autres causes de venue aux cabinet. Merci pour tous ces apports. Même si tout cela vient au fur et à mesure des séances ou peuvent évoluer, c’est très bien de figer un bon ensemble dès le début.
très clair
Merci pour ces questions précises à aborder en anamnèse pour avoir de quoi préparer un accompagnement très personnalisé et complet.
J’avais une question concernant les ressources de la femme. Est-ce pertinent de demander à la cliente, comme pour n’importe quelle anamnèse, toutes ses ressources ( hobbies, paysages, lieux, … ) ou est-ce plus intéressant de les cibler peut-être en rapport avec la maternité, la famille, la femme, l’enfant…? Evidemment en faisant preuve d’adaptabilité si jamais la femme a des traumatismes liés justement à tout cela….
Je ne suis pas sûre que ma demande soit très claire…Bonjour Cécile
Si si, je comprends très bien de quoi vous parlez ^^
Il faut comprendre que chez les caycédiens, on ne s’intéresse pas à ce genre de questions. On part du principe que les ressources émergeront pendant les pratiques sophro, c’est pourquoi nous utilisons toujours un terpnos logos le plus neutre possible (comme vous avez pu l’expérimenter dans ma version du moment ressource : je n’emmène jamais qqn dans un endroit préalablement décidé, parce que le “choix de destination spontané” est déjà l’émergence de qqch, si vous voyez ce que je veux dire).
Donc, j’ai envie de vous dire : si VOUS, ça vous rassure par rapport à votre pratique, vous pouvez bien sûr demander les ressources et vous appuyer dessus pour accompagner votre cliente. Mais moi, dans ma pratique, je ne le fais pas (et ce, quel que soit le type de suivi, périnatalité ou pas).
Par contre, ce qui est important, c’est de connaitre les antécédents (fausse-couche, interruption de grossesse, “fausses croyances” sur la grossesse ou l’accouchement), pas pour les analyser (nous ne sommes pas psy) mais pour les aborder avec douceur si certaines pratiques viennent trop taper dedans…
Est-ce que cela vous éclaire ?
Charlotte
Merci Charlotte pour ces précisions.
J’ai appris lors de ma formation à personnaliser les visualisations en partant des ressources recueillies en anamnèse, d’où ma question ; et après ma formation j’ai eu l’occasion d’échanger avec des sophrologues qui comme vous reste très neutre pour laisser la possibilité à la cliente de faire émerger l’image juste à l’instant T. Je suis en peu déstabilisée par cette façon de faire car je n’en n’ai pas vraiment l’habitude mais je comprends très bien tout son intérêt.
Des ressources données en anamnèse ne seront peut-être plus aussi pertinentes au fil de l’accompagnement et le fait de personnaliser va induire la visualisation de la personne et la coupera peut-être de l’émergence de ses ressentis…
Mais quand vous parlez de ressources dans les informations à recueillir en anamnèse, de quoi parlez vous dans ce cas? est ce que vous en recueillez quand même que vous n’utiliserez sans doute pas?
Désolée de vous poser toutes ces questions mais c’est un sujet en peu délicat qui m’embête un peu dans ma pratique… peut-être que le fait de personnaliser ME rassure effectivement car sinon j’ai l’impression de ne pas assez personnaliser l’accompagnement et de rester trop vague..
Et si la cliente a des difficultés à faire émerger des images mentales et vous le notifie, c’est dans ce cas que vous introduisez des notions de ressources lui appartenant pour l’aider?
Merci à vousEn fait, les ressources, pour moi, c’est l’ensemble de tout ce qui me parait finalement pertinent pour un accompagnement. C’est très vague en fait. (et d’ailleurs, je vois qu’avec les années qui passent, j’en demande de moins en moins, je laisse surtout les femmes parler et je note ce qui est important pour moi).
Concernant votre besoin de réassurance, je le comprends très bien. En fait, ça va peut-être vous surprendre mais moi, je ne cherche pas à rendre un parcours personnel. Pas du tout ! Il est personnel dans mon choix de telle ou telle pratique, personnel par certains mots que je vais utiliser et qui me paraissent pertinent pour cette femme. Mais ce sont MES mots, pas les siens. Les techniques, elles, restent la même technique. Je ne cherche pas à faire un écho à SES ressources à elle.
Pour moi, la sophrologie est une pédagogie que j’enseigne. Une institutrice va-t-elle personnaliser l’écriture de ses A selon ses élèves ? C’est pareil pour moi.
Une pratique EST une pratique. Ce qui la personnalise, c’est QUAND je l’inclue dans le parcours et AVEC QUELLE intentionnalité. (Par exemple, vous pouvez voir comment j’aborde le Déplacement du négatif dans mes guidances, c’est toujours un exercice sur l’expiration, par contre, je module un peu dans ce que l’ont peut déplacer/évacuer… mais ça reste totalement ouvert. Je peux dire “chasser ce qui vous tend, peut-être en lien avec ce que vous vivez en ce moment, ou peut-être en lien avec l’accouchement à venir” mais je ne dis pas “chasser votre peur d’avoir une césarienne” par exemple qui est très précis.)J’essaie d’être plus claire : pour guider la SAP de l’accouchement par exemple, j’ai besoin de savoir comment elle va aller à la maternité – en bus, en voiture, en tram… – mais c’est juste pour dire “nous visualisons le trajet jusqu’à la maternité, installée le plus confortablement dans la voiture – le bus – le tram… Si elle accouche en maternité, je vais utiliser le décor (“nous pouvons visualiser les éléments du mobilier, peut-être des éléments médicaux et nous les apprivoisons”) qui sera différent d’un décor en accouchement en maison de naissance ou à domicile (“la baignoire, des tissus pour se suspendre…”) mais je ne lui dis pas où elle doit aller et ce qu’elle doit faire. J’ouvre des pistes, c’est tout.
Donc, en réalité, quand j’accompagne des femmes en groupe et que l’une accouche en maternité et l’autre en maison de naissance, je dis juste “nous visualisons le trajet, confortablement installée, nous visualisons la salle de la naissance et nous l’apprivoisons”. C’est neutre et chacune trouvera comment se projeter dedans. En groupe, il n’y a quasi pas de personnalisation et ça fonctionne quand même.
(Si cette idée de non-personnalisation vous pose question, n’hésitez pas à participer au RDV Bienrelax du lundi matin, vous pourrez expérimenter ces guidances neutres).Enfin, concernant votre question sur la difficulté d’une femme à visualiser. Je ne vais pas non plus aller dans SES ressources. Par contre, je vais ouvrir plus de champs de possible (peut-être sommes-nous à la mer, à la montagne, à la campagne, peut-être fait-il chaud, frais, peut-être entendons-nous des chants d’oiseau, des rires…”) mais je ne décide pas pour elle. je lui offre plus de supports possibles pour lui permettre de trouver en elle ses ressources. Après, je lui dirai de réutiliser cette ressource, oui. Mais parce qu’elle l’aura trouvée elle-même, pas parce que je lui aurais “imposé”.
Quoi qu’il en soit, je vous invite à d’abord pratiquer dans VOTRE zone de confort, en utilisant les ressources de vos clientes si cela vous parait le plus juste et bon pour elles. Et peut-être (ou peut-être pas, vous verrez bien 🙂 ) plus tard, aurez-vous envie d’essayer différemment. 🙂
Je ne cherche pas à modifier votre pratique, je vous invite juste à découvrir la mienne et à trouver comment l’utiliser dans VOTRE exercice professionnel.
Est-ce plus rassurant ainsi ? Plus clair ?
Merci infiniment pour toutes ces précisions. Je comprends beaucoup mieux comment vous procéder et l’intérêt à ne pas trop personnaliser les exercices.
Ça doit rester subtil et effectivement plus comme des possibilités que comme un choix que nous faisons pour elle.
C’est très intéressant et même si je pratique actuellement autrement ( je suis aussi une très jeune sophrologue), ça me permettra sans aucun doute de faire évoluer ma pratique.
Je vais me renseigner sur les rdv du lundi matin car j’ai envie de creuser dans ce sens de non-personnalisation.
Merci encore beaucoup pour ces explications.
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