Votre panier est actuellement vide !
255 réponses à “Mouvements de vie, vie en mouvement”
Bonjour,
Je suis sophrologue dynamique depuis 2019, spécialisée en gestion du burnout, stress et douleurs chroniques. Je suis également formée à l’hypnose, la méditation de pleine conscience, l’EFT, les fleurs de Bach.
Au cours des derniers mois, j’ai reçu 2 demandes de suivi pour deuil, que j’ai déclinées car je ne savais pas comment traiter le sujet en séance, bien que je connaisse le livre du Dr Christophe Fauré.
Je suis moi-même endeuillée car j’ai perdu ma maman il y a 2 mois. Ce fût le déclic pour m’inscrire à cette masterclass, d’abord pour moi-même, ensuite pour pouvoir aider les autres.
Je suis consciente que les termes français sont parfois différents de ceux utilisés en Belgique, mais ayant déjà suivi plusieurs formations en France, je ferai le parallèle.
Cordialement,
ChristelleBonjour Patricia et Clémence,
Tout d’abord, je vous remercie pour cette Master Classe.
Diplômée depuis 5 ans, je n’exerce pas pour le moment. Je suis également secrétaire.J’ai fait face à plusieurs deuils ces 2 dernières années, je me laisse donc le temps de les vivre. J’ai choisi en cela la Master Classe pour moi-même, aussi pour pouvoir par la suite accompagner des personnes endeuillées, tout en douceur…
Chaleureusement,
CindyBonjour Cindy,
Bienvenue parmi nous!
Par souci de transparence, cette formation est vraiment construite pour des pros en vue de leur futur accompagnement de personnes en deuil. Je l’aurais pensé autrement si elle avait été destinée à des endeuillés. Ceci étant dit, les sophrologues souhaitant accompagner des endeuillés sont bien souvent des personnes ayant vécu un deuil et je remarque que la formation les aide sur leur chemin personnel de deuil. Les séances pourront peut-être vous bousculer alors n’hésitez pas à prendre votre temps pour bien “digérer” et “intégrer” ce qui émergera. Je vous souhaite une bonne formation.
Bonjour Patricia,
Bonjour Clémence,
Merci pour cette première vidéo de présentation. A mon tour de me présenter :), je suis Aline AMILL, sophrologue de formation caycédienne. J’ai été formée au sein de l’écolé caycédienne de St Rémy, puis de l’Estérel et je viens de terminer le cycle radical, pour démarrer le cycle existentiel au mois de mars prochain. J’ai ouvert mon cabinet il y a un an sur la commune des Angles (dans le Gard) et j’ai démarré à la même période des séances de groupe bénévoles au sein du relais de la ligue contre le cancer chaque lundi soir. Je suis amenée régulièrement à recevoir des personnes endeuillées ou gravement malades et c’est à ce titre que j’ai souhaité approfondir ce thème sensible via cette MasterClass.
La mort fait partie de la vie, mais notre société nous pousse à les dissocier. La sophrologie m’a personnellement aidé à les concilier en acceptant la mort comme faisant partie d’un cycle de renouvellement. Ceci est ma vision, mais comment accompagner nos sophronisants avec un regard neutre et les mots justes. Je suis ravie de pouvoir bénéficier de votre expérience sur ce thème qui nous touche tous.Bonsoir Aline, bienvenue dans la formation!.. Je crois que nous approchons la danse de la vie et de la mort de la même manière. Belles vivances à toi.
Bonjour!
Merci pour cette présentation.
J’exerce en tant que sophrologue et hypnothérapeute, et assez rapidement j’ai reçu des clients en deuil ou des personnes qui souffraient de certaines difficultés dont l’origine était en lien avec des deuils parfois en cours. Recevant de plus en plus de personnes concernées, après avoir étudié le sujet avec les livres et autres outils, j’ai cherché une formation spécialisée sur le sujet. Mon objectif est d’approfondir mes connaissances et de travailler ma posture, pour accompagner au mieux les personnes concernées.
Bonjour Stéphanie et bienvenue!… Que cette formation te mène sur de nouveaux chemins:-)
Bonjour
Je suis sophrologue depuis 2020 et formée pendant 2 ans à l’école Sophro Sud de Montpellier.
J’ai souhaité suivre cette formation car je reçois dans mon cabinet plusieurs personnes qui ont des problématiques diverses mais toujours ou presque en lien avec un deuil d’un être cher.
En ce moment je reçois trois personnes qui doivent surmonter la perte d’un proche. Aussi ai-je ressenti le besoin d’approfondir cette question du deuil. Je pense que cette formation m’aidera bien dans mes accompagnements.
Personnellement, j’ai vécu la perte de mes parents et des mes beaux parents. Ce sont des seuils que j’ai su relativement bien traverser.
Par contre, j’ai dû me faire accompagner lorsqu’une de mes patientes (jeune) est partie trop tôt suite à un cancer. J’ai eu beaucoup de mal à surmonter mes émotions et donc j’ai dû demander de l’aide.
J’ai hâte de suivre cette formation.
J’apprécie ce format en e-learning car je suis libre de mes horaires et je peux ainsi consacrer des moments de formation en fonction de mes disponibilités.
J’ai déjà suivi la Masterclass “Acouphènes et hyperacousie” et je ne doute de la très bonne qualité des formations.
Merci à vous
Catherine
Bonjour Catherine et bienvenue parmi nous!
Je vous souhaite une belle immersion dans cette masterclass et des découvertes inattendues.
Patricia, Clémence,
Je m’appelle Barbara ROULLIER, j’ai 58 ans et j’habite dans un tout petit village du nord du Loir-et-Cher où mon époux est agriculteur.
Mon parcours professionnel a été assez riche : secrétaire-instrumentiste en chirurgie j’ai à peine eu le temps d’exercer que le décret n°93-345 du 15 mars 1993 m’interdisait l’entrée au bloc n’ayant pas 5 ans d’ancienneté dans la profession. Je suis alors devenue secrétaire-assistante médicale, puis j’ai travaillé avec un médecin urgentiste en corrélation avec les services d’urgence des pompiers. Puis au fil des années (20 ans), la distance indispensable qui doit exister entre le professionnel et l’urgence devenait de plus en plus tenue, il m’a fallu arrêter.
La désertification médicale en milieu rural a également frappé le département : reconversion professionnelle avec la découverte du milieu de l’entreprise : échec : l’humain m’était indispensable. Reprise d’études au Centre d’Ecriture et de Communication à Paris et je deviens lectrice-correctrice indépendante pour des maisons d’édition pendant 5 ans.
Les enfants sont étudiants, il nous faut faire face à leurs dépenses d’études et j’ai l’opportunité de rentrer dans une étude notariale rurale. Je retrouve l’humain, l’accompagnement administratif du deuil mais pas que… Se réveille alors en moi cette nécessité de relation d’aide et d’accompagnement… et dans notre société où la mort ne fait plus partie de la vie il m’est apparu que les endeuillés vivaient parfois une solitude glaçante, solitude qu’ils se sont créée ou que la société créée autour d’eux (par le rythme effréné des journées, par la distance qui sépare les proches des endeuillés, par la méconnaissance du processus de deuil, par la maladresse répétée…).
Durant le COVID la sophrologie s’est imposée à moi : ma fille a accouché de son premier enfant, seule, son mari attendant sur le parking de l’hôpital d’être appelé. Le personnel était réquisitionné pour l’accueil des personnes infectées par le virus et Caroline m’a appelée au secours. Mon instinct de maman m’a immédiatement poussée à chercher ce qui pourrait la soulager de son anxiété et la soulager de ses douleurs. Merci YouTube, merci les vidéos de professionnels, merci les articles et interviews, en peu de temps j’ai intuitivement monté une séance de sophrologie sans le savoir. Le résultat a été là : Caroline a géré en super maman l’arrivée de son petit bouchon, sans surcharger les sages-femmes par des appels inopinés.
Il m’a encore fallu du temps pour accepter que l’envie de soulager et d’accompagner l’humain redevenait indispensable. Une seule certitude, ne plus être en rapport avec l’urgence mais entrer dans un processus d’écoute et de mise à disposition de mes compétences pour soulager que ce soit dans la douleur ou dans la peine.Pourquoi le deuil ? Parce que mon beau-père est parti et que j’ai vu ma belle-mère tellement digne dans la souffrance de ce départ. Puis mon père est parti. Et j’ai vu Maman s’effondrer et mettre 5 longues années à se relever. Parce que m’est apparu qu’un deuil est propre à la personne qui y est confrontée et que la mort fera toujours partie de nos vies. Donc si je peux, ne serait-ce qu’un court instant tenir la main d’un endeuillé pour le rassurer dans sa tourmente, lui faire entendre qu’il est vivant et l’aider à remettre sa vie en mouvement, alors je vole !
Respectueusement à vous,
Barbara ROULLIER
Bonsoir Barbara,
Je pense que cette formation vous permettra de construire ce chemin vers ces mains que vous souhaitez tenir. Je vous souhaite de belles vivances.
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.