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40 réponses à “Mettre en application le module 4”
Encore un module passionnant…je vais approfondir mes connaissances sur la médecine chinoise.
Pour ma part, lorsque j’ai eu une “journée poubelle”, et que je sais que je risque de “ruminer”, et de ne pas faire une nuit réparatrice, je fais une séance de sopro avec quelques exercices de RD, pour évacuer le maximum d’émotions négatives, puis au moment de me coucher, je prends une feuille et je note dessus les 3 choses/prénoms les plus désagréablesde ma journée, puis j’en fais une boule que je jette hors de la chambre à coucher…et ben, je dors ensuite comme un bébé et le lendemain, le courage reviens avec prise de recul / lâcher prise et parfois la solution!!!!les enseignements de ce module sont forts intéressants et apportent un éclairage et des outils nécessaires pour un accompagnement sophrologique de qualité.
MerciMerci pour cette vidéo qui explique très bien la maladie des jambes sans repos et ça tombe bien je vais avoir un client depuis 30 ans!
Merci pour ce module très enrichissant, cela m’a donné envie d’approfondir mes connaissances en médecines chinoises.
Je me rend compte de la complexité des troubles du sommeil et suis ravie d’avoir choisi cette Masterclass.Module très intéressant. Merci pour cette nouvelle pratique de la SDN.
Module très intéressant et enrichissant’ j’apprends beaucoup de choses dont je ne me connaissais pas : jambes sans repos, médecine chinoise etc…
Très intéressant de comprendre que le stress ou les émotions ne sont pas à l’origine de tous les troubles du sommeil.
Je retiens qu’il est important d’avoir une anamnese approfondie pour comprendre la personne dans sa globalité l’agenda du sommeil est indispensable dans chaque cas, pour chaque plainte sur son sommeil et vraiment avoir une vision globale pour accompagner au mieux la personne. Facteurs endogènes, exogènes ou les 2, faire un point complet pour y voir clair.
Merci pour ce module. La médecine chinoise est effectivement un outil également très précieux. A approfondir.
145 micro réveils par nuit c’est énorme! et maintenant je me rend encore plus compte de tout ce que cela peut engendrer sur le quotidien et la santé!
La sophrologie a tellement son rôle à jouer à côté du traitement médicamenteux.
très intéressant merci.Encore un module ou j’ai pu apprendre de nouvelle connaissances. Je me suis intéressée à la médecine chinoise et dans mon cas, il est vrai que mes réveils nocturnes pouvaient par moment être associés à une émotion que je vivais au quotidien. En complément de la sophrologie, le yoga Nidra (yoga du sommeil) est un outil particulièrement efficace pour se rapprocher au maximum des ondes delta. J’ai hâte de poursuivre!
utiliser sans modération l’agenda du sommeil. Un bel outil pour mieux cerner la problématique.
Des exercices adaptés à répéter.
Un apport d’informations enrichissant.Le livre dont je parlais précédemment est celui écrit par M. Jean-Pierre Beaufey “Les jambes sans repos, comprendre et soigner la maladie Willis Ekbom, témoignages et conseils pratiques” au édition Dauphin. Collection Ce qu’il faut savoir. Il a été édité en 2014. Je sais que ce monsieur est sur l’écriture d’un second ouvrage, mais ignore son avancée actuelle.
Bien à vousMerci Vanessa pour votre partage, ce livre sera ajouté dans la bibliographie de cette masterclass
Toutes ces connaissances sont une mine d’or pour nous sophrologue. les cas sont tellement différents! Il me semble essentiel de pouvoir en effet avoir une vision juste sur la manière dont la personne vit et fait vivre ses nuits.
Concernant le SJSR, aussi dit maladie de Willis Ekbom, j’ai eu l’occasion de rencontrer un référent régional de l’association AFE, avec qui j’ai beaucoup échangé sur ce sujet. Il a écrit un livre qui permet de vraiment mieux comprendre les enjeux et les problématiques de cette maladie neurologique, avec des témoignages de personnes en souffrant. C’est terrible cette maladie, car effectivement, la prise médicamenteuse n’est pas toujours une solution efficace et plus le temps passe, plus les ressentis se font présents. CEla peut même envahir tout le corps, et pas simplement que es jambes!!
Je m’interroge sur la meilleure manière dont on peut accompagner en sophrologie ces personnes-là et le positionnement du sophrologue? Agir sur les tensions stress – nervosité / proposer des outils pour récupérer en journée / agir sur les sensations douloureuses? / Travailler sur l’acceptation de la maladie chronique?
C’est un domaine que j’aimerai explorer plus en profondeur.Vanessa, si vous retrouvez les références du livre, on peut le mettre dans la bibliographie.
A vos interrogations, c’est oui à tous les niveaux stress, récupération, douleurs et bien sur le plus important la dimension existentielle de la sophrologie.
Encore un module qui enrichit mes connaissances. Merci
Module très riche et qui m’a passionné !
J’ai appris beaucoup de choses et je commence déjà a les mettre en pratique avec les personnes qui viennent me voir.
L’une d’elle, avec l’accompagnement sophro, a trouver toute seule il y a quelques temps une technique propre pour se rendormir après un réveil nocturne : elle commence mentalement à faire un “bac”, ce jeu que l’on fait enfant avec les lettres de l’alphabet en trouvant des noms aux objets et autres. Elle elle tente de trouver les noms des pays. Elle m’a dit qu”elle s’endormait toujours avant d’arriver à la lettre CJe ne connaissais pas le syndrome des jambes sans repos. là aussi il faut tenir un agenda, comme pour le sommeil. Celui ci s’avère un support incontournable pour la personne et un allié pour les séances de sophrologie proposées.
On se rend compte effectivement que la sophrologie et l’agenda du sommeil restent des outils de choix pour pallier aux facteurs endogènes.
La vidéo sur les jambes sans repos est très explicite. Merci.En conclusion je retiens :
– Tenir son agenda Sophro Sommeil et bien noter les facteurs endogènes.
– Pratiquer les entraînements de sophrologie.Vidéo sur le syndrome des jambes sans repos, très intéressante, Je ne connaissais pas trop le problème en détail. Merci pour cet apport d’information.s;
Une belle synthèse des facteurs endogènes qui perturbent le sommeil. Merci.
Merci pour ces informations.
Le training autogène de Shultz et propose en première intention pour ma part mais parfois je pratique une sdb avec certains éléments du TAS. En fonction des besoins des patients, l’évacuation du négatif et un tension détente. Aussi, une mise en place d’un rituel pour le couché.a chaque nouvelle séance encourager la personne, voir avec elle son évolution, sa transformation en insistant avec bienveillance sur l’entrainement
merci pour cette vidéo qui nous parle des jambes sans repos, une explication nécessaire pour moi qui connais peu ce symptôme
Dans les facteurs endogènes qui empêchent de dormir il n’y a pas que le stress et les émotions. Ce module est très riche pour nous en tant que sophrologue afin de ne pas tout ramener au stress et de pouvoir orienter vers un autre professionnel si cela nous semble nécessaire..
Très intéressant la vidéo des jambes sans repos . Mer i pour ces i formations
Module très intéressant. J’ai pris conscience que d’autres facteurs que le stress ou les émotions pouvaient intervenir dans les insomnies. et que 50% d’entre elles sont dues à une maladie non détectée. D’où l’importance d’en avoir conscience et de l’avoir à l’esprit pour accompagner aux mieux les personnes. J’ai trouvé le parallèle avec la médecine chinoise très approprié. Comme mettre une racine de ying, de calme au coeur du yang, de l’action. Symbole et image très parlante.
Bonjour, j’ai beaucoup apprécié ce module avec les apportassions de la médicine chinoise et la pratique N. 8 de sophro’ sommeil libérateur et créative. C’est ça la valeur de la sophrologie, nous pouvons toujours créer, adapter, utiliser énormément de recours … cette liberté je l’adore ! Pendant la formation du master, je pratiqué fréquentèrent le entrainement autogène de Shultz modifie par la sophrologie, et ça m’a beaucoup aide. Maintenue, je dorme comme un bébé, mais j’aimerai bien pour aider les personnes souffrantes d’insomnie à bien dormir.
Longtemps atteinte du syndrome des jambes sans repos, j’avais mis quelques commentaires après la sophro de base.
Je suis convaincue de l’intérêt pour ces personnes d’intégrer un groupe de RD
Du 1er au 4ème degrés car pour mon cas personnel, même si à l’époque j’ai renoncé à la sophrologie, j’ai commencé à aller mieux et à devenir capable de me sevrer des agonistes dopaminergiques, quand j’ai pris conscience que je n’habitais plus que mon cerveau… et que j’ai décidé un “redéploiement existentiel”, autrement dit, ma reconversion professionnelle.Bonjour clémence, Peut-on apporter une aide pour les jambes sans repos?
MerciBonjour Laetitia,
le syndrome des jambes sans repos n’a pour le moment pas de traitement neurologique efficace, le mécanisme de ce syndrome n’est pas révélé. Il y a seulement 7 centres en France prenant en charge cette particularité du trouble du sommeil.
Le sophrologue apporte une aide sur la récupération avec des siestes flash sur commande, sur la dépression due au trouble chronique du sommeil, sur la capacité d’espoir, et l’adaptabilité de sa vie au quotidien, une nouvelle vie dans une réalité objective. La RDC1 sera le plus fondateur dans la pratique puis la RD2-3-4 on passe ensuite sur le cycle radical et existentiel. Le sophrologue ne s’occupera pas du symptôme, mais de l’existence, comme pour toutes les maladies chroniques dégénératives ou neurologiques.
Bonjour, pour l’endormissement j’utilise souvent le training autogene de schultz.
bonjour,
Une de mes patiente n’a pas la possibilité de réaliser ses entrainements en journée. Du coup, elle les écoute le soir avant de se coucher. (J(ai cru comprendre qu”il était préférable de les écouter avant 16h) . Comment gérer la désophro dans ce cas là ? puis je lui proposer de glisser dans le sommeil à fin de la séance ,?
Merci !Bonjour Clémence, petite question d’actualité 😉 : comment accompagner le changement d’heure pour qu’il soit mieux vécu ? Serait-ce utile par exemple de décaler progressivement l’heure du réveil le matin ?
Bonjour Sophie, merci pour cette question que l’on se pose deux fois par an, à chaque changement d’heure. Chaque changement d’heure demande de resynchroniser son horloge circadienne. Ce qui influe sur l’horloge circadienne ce sont les synchroniseurs de temps : lumière, température corporelle, heure des repas, rythme social. Voici deux articles pour trouver des solutions :
– changement d’heure à l’heure d’été
– changement d’heure à l’heure d’hiver
Dans l’étape sur le jet-lag, nous allons l’approfondir avec un mode d’emploi.
On peut commencer à décaler son horloge circadienne chaque jour de 10-15 minutes, 4 jours avant le changement d’heure.
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