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139 réponses à “Les éléments essentiels de la phénodescription – Prérequis”
L’image du touriste et explorateur est très parlante. merci
J’aime cette idée de passer du simple touriste à l’explorateur et effectivement, cela demande de l’entraînement et de la persévérance. Mais quelle richesse, tous ces mots que l’on couche sur la feuille lorsqu’on est dans cet état de conscience. En effet, c’est l’âme qui nous parle. Quelle joie !!!
La phenodescription nous permet de continuer et d’intégrer note vivance .
Je me surprends très souvent lors de mes phenodescriptions à découvrir ma première écriture, lisible, esthétique
Celle qui vient de mon âme.Tout est tellement vrai!!
J’aime beaucoup la métaphore du touriste et de l’explorateur qui est à la fois facile à expliquer, à comprendre et à mettre en pratique.J’ai hâte de devenir exploratrice!
S’accorder de la valeur, c’est souvent le plus difficile lors des premières séances, mais tellement vrai ! Ce que je ressens est important, et m’appartient.
J’ai beaucoup aimé la métaphore “posture du touriste” “posture de l’explorateur”, rester en surface, ou aller un peu plus à l’intérieur de soi…J’apprécie l’idée que, lorsqu’elle est exprimée corporellement, la phénodescription jaillit de l’écriture et acquiert une dimension sacrée car elle nous révèle et touche à l’âme.
J’ai beaucoup aimé la métaphore entre le touriste et l’explorateur 😉J’aime beaucoup l’image du touriste et de l’explorateur !
Je vais développer la phénodescription écrite en accordant plus de temps à cet acte d’écriture.
Il est essentiel de déposer les phénodescriptions dans un carnet. C’est ce que je ne fais pas.
Cela permettra de déposer “le volatil” et de faire émerger les vivances secondaires.
J’ai beaucoup aimé la métaphore du touriste et de l’explorateur et surtout l’évocation du registre de l’âme.
Laisser faire émerger et écrire ce qui nous vient du plus profond de notre esprit.
Merci!Je découvre les pré-requis de la phénodescription.
– “S’accorder de la valeur, quitter ce que nous connaissons de nous pour apprivoiser cette autre personne, ce petit être que nous sommes et qui, petit à petit, va se révéler pour savoir s’accueillir” car “pour accueillir le phénomène, il faut être capable de s’accueillir”: je comprends que la phénodescription va permettre de se découvrir soi-même en portant attention à soi
– “Etre à l’aise avec l’acte d’écriture: le fait de corporaliser la phénodescription nous met dans un mouvement autre que la vivance phronique et fait apparaître le sens”; “on va utiliser le langage pour mettre en mots cette expérience”, “le langage avec sa fonction de transmutation; si je ne fais pas la phénodescripton, je reste sur une expérience sensorielle” en surface, sur les phénomènes présents (“c’était bien, ça m’a fait du bien”)… Actuellement , en temps que débutante, je ne pratique qu’ainsi. Je découvre avec la phénodescription différée une approche de recherche de sens que je n’imaginais pas, en passant, à partir des phénomènes présents, à la structure latente puis sous-jacente
– Impliquer le “je”
– Faire la différence entre nommer l’objet et décrire l’objet: je vais devoir m’exercer pour appréhender cette subtilité
– Corporaliser le phénomène
– Faire la phénodescription en conscience, “ne pas se précipiter sur son cahier pour faire avec l’idée que ce que je vais poser là, c’est de l’ordre de l’intime, ça va fixer le volatil , ça va me permettre de me reconnaître comme Etre ayant de la valeur”. Pour moi, c’est une révolution de la perception de soi car cela donne à soi une certaine consistance vitale, si je peux me permettre… c’est une approche vraiment nouvelle!
La métaphore du touriste et de l’explorateur illustre bien cette démarche d’intégration en profondeur; cependant, elle nécessite un certain temps et ne peut se réaliser qu’après la séance sur le cahier de suivi des séances, me semble-t-il. A mettre en pratique!j’aime beaucoup la métaphore du touriste et de l’explorateur qui me parle beaucoup. Je vais développer le fait de corporaliser la phéno, ne pas me précipiter sur la feuille, me mettre dans le corps avant de commencer et noter également les vivances secondaires, je prends cokscience qu’elles sont précieuses.
J’écris mes phénos avec le papier que j’ai à proximité à ce moment là. Donc je me retrouve avec des phénos un peu partout !
Je vais prendre soin de me choisir un carnet spécifique pour mes phénos !
Vous me montrez une toute autre valeur à la phéno, qui déjà était importante à mes yeux, mais là j’entends encore plus l’importance de la déposer au bon endroit 😊.
Merci.Je vais approfondir mes phenodescriptions en déposant davantage de mots, je suis bien trop succincte. A la manière d’un récit plutôt qu’un ensemble de ressentis .
MerciPhénodéscription écrite
Une bien jolie métaphore que celle du touriste et de l’explorateur. J’ai bien aimé aussi l’écriture qui prend une forme sacrée qui est du registre de l’Âme comme vous l’avez si joliment dit et décrit.
Je retiens que la phénodescription se pose de manière immédiate, mais sans se jeter sur le carnet, car c’est en corporalisant ma conscience que je serai à même de décrire ma vivance , ce que ma conscience vit dans le sillage da la vivance première de mon corps. C’est prendre le temps de se découvrir phenomenologiquement .
La phénodescription différée c’est de remettre son corps en conscience et la conscience au corps à la relecture de phenodescriptions antérieures et de corporaliser les phenomènes produits et sentir peut-être les prémices d’une transformation.
Très belle métaphore sur le touriste qui m’apporte un nouveau regard sur l’importance de la phéno écrite.
La métaphore du touriste m’a beaucoup parlé.
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