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139 réponses à “Les éléments essentiels de la phénodescription – Prérequis”
merci pour toutes ces informations passionnantes.
Merci. C’est passionnant et très enrichissant.
Fascinant et passionnant. Avant de rencontrer la sophrologie je n’arrivais pas à exprimer les choses ni m’exprimer par l’écrit. La phénodescription est tout autre pour moi parce que je n’ai pas à m’exprimer. C’est exactement comme dit Geneviève que ça se fait tout seul et je suis toujours étonnée de ce qui pourrait sortir et je ne sais pas d’où ça sort. C’est vraiment quelque-chose de merveilleux.
J’aime l’idée que, la phenodescription lorsqu’elle est corporalisée surgit de la plume et prend une forme sacrée car nous révèle et appartient alors au registre de l’âme.Je retiens que l’apprentissage de la réduction et le dépôt par écrit de de la vivance et du ressenti corporel puisse faire surgir d’autres phénomènes non perçus lors de la première vivance.
Merci, j’ai l’impression de tout découvrir et je découvre les subtilités de la phenodescription ce qui donne un sens profond à notre travail. Je retiens s’ancrer dans sa réalité corporelle et Quitter le langage commun pour aller vers l’expérience sensorielle pour bien corporaliser la description. Je mesure l’ampleur du travail qu’il me reste, c’est passionnant. Un grand MERCI
Merci encore: je découvre la phénodescription autrement!
très très intéressant et enrichissant.
Merci.C’est l’âme qui est là et écrit sur le papier. Magnifique. Tout s’éclaire, merci Madame pour vos explications captivantes.
Je découvre à travers ces paroles à quel point je corporalise ma phénodescription, Souvent les mots me viennent alors que je n’avais pas l’impression d’avoir eu ce vécu pendant la séance. Du coup je me suis souvent jugée, pensant que je fabulais…. Vos paroles sont une délivrance. Merci
passionnant, j’ai l’impression de redécouvrir l’enjeu de la phénodescription écrite.
Complexe …. je m accroche
Cette vidéo fait passer de manière subtile l’orientation du travail de la description à l’expression de sens profond pour la personne. C’est très intéressant
la métaphore de la posture du touriste et de l’explorateur est très pertinente et permet une meilleure compréhension de l’objectif à atteindre pour une bonne phénodescription.
J’avoue n’avoir jamais fait de phénodescription écrite. Je suis curieuse de m’y essayer et espère passer progressivement de touriste à exploratrice. J’aime l’idée de l’effet ricochet entre vivance première/ phénodescription écrite / vivance secondaire… Comme une “potentialisation” qui donnerait plus de consistance à l’expérience.
Je vais développer la notion de “déposer” mes mots, et cette notion de délicatesse et de respect qui fait naître le chant de l’âme…
Je comprends bien et ressens bien l’enjeu décrit ici. Il s’en suit une espèce de découragement et de peur de ce qu’il “faut” faire pour y arriver. Cela me semble vraiment difficile voire inatteignable. Je crois que j’ai besoin d’intégrer toutes ces informations avant de pouvoir me lancer sans peurs
Voilà qui me permet de mettre en lumière, de poser ce ressenti profond lors de mes phénodescriptions: tout s’intercroise, c’est encore en mouvement.
Passer de la posture de touriste à celle de l’explorateur : qu’est ce que l’apprentissage de la réduction en sophrologie ? Merci.
Je retiens que La pheno description par l’écriture met en mouvement un deuxième mouvement ; c’est une vivance secondaire.
Tout l’art va donc être de passer de la posture du touriste à celle de l’explorateur.La posture de l’explorateur demande plus d’efforts et d’attention que celle du touriste. Souvent, ce qui s’écrit tout seul renvoie davantage aux sensations immédiates, à la structure de surface.
Merci de mettre en évidence l’importance de la pheno différée. Je retiens avec bcp d’intérêt cette deuxième Vivance où émerge l’intime, et là, ça s’écrit tout seul mais depuis les profondeurs.
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