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Le quatrième trimestre côté mère

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136 réponses à “Le quatrième trimestre côté mère”

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  1. Elodie Creuse

    Je n’avais jamais perçu cette notion du quatrième mois ainsi et l’importance de préparer aussi la mère à l’après

  2. mireille Lecointe

    Merci pour ces explications. J’ai eu à accompagner des femmes enceintes et je m’aperçois que je ne les ai pas assez préparées à ce 4ème trimestre… dommage. Je vais faire autrement après cette formation!

  3. Valerie Dahirel

    Le quatrième trimestre n’est pas assez expliqué. Il est vrai que d’être mère pour la première fois engendre du bonheur mais également de la fatigue et surtout une responsabilité énorme de s’occuper de son bébé. Je comprends que notre rôle de sophrologue est important durant ce quatrième trimestre afin de rassurer et renforcer l’estime de soi.

  4. Angélique Ribeiro

    le 4e trimestre n’est pas encore suffisamment évoqué auprès des femmes, on subit tellement de changement et parfois le fait de se sentir mal alors que bébé est là, que “tout va bien” finit pas engendrer de la culpabilité. Alors que si nous étions informées correctement de tout cela, on appréhenderait les choses différemment et peut-être même avec plus de douceur et de bienveillance envers soi-même.
    idem pour l’allaitement, trop d’idées pré conçues…
    Merci pour toutes ces informations qui me donnent envie d’accompagner toutes ces femmes à vivre au mieux leur grossesse et le reste.

  5. Juliette Lemoine

    Je retrouve bien ces souvenirs du mélange entre une grande fatigue et une hyper-vigilance, une forme de stress de cette nouvelle responsabilité H24,! mais aussi le grand plaisir des tétées de nuit, peau à peau dans le lit, à demi endormie.
    Il est donc prévu, programmé par les hormones, que la femme , son corps, soient tout dévoués au nouveau-né pendant ce quatrième trimestre.
    Cela me plaît que le rôle de la sophrologue soit de l’aider à prendre soin d’elle aussi, à s’écouter et puisse vivre cet ajustement de tout son Etre en harmonie.

  6. Dorothée Parmentier

    Vraiment très intéressant. L’espace d’un instant j’ai eu envie de revivre chacune de mes maternités , de me recentrer sur mes émotions vécues. et pourquoi pas un 4eme bébé

  7. Elisabeth Denoeud

    Dialogue sensoriel, peau à peau. Parfois j’ai eu l’impression que les puéricultrices m’avaient conseillé de laisser mon bébé pour me reposer face à mon baby blues. Pourtant, j’ai vraiment eu le sentiment que l’instauration du lien avait été ensuite plus complexe. Je comprends mieux maintenant. Merci pour nous replacer au coeur des sentiments positifs et de la confiance en tant que sophrologue pour aider les femmes on a besoin pour ce 4ème trimestre.

  8. Elisabeth Denoeud

    Merci pour ce module sur le post-partum. Quand j’ai accompagné deux femmes enceintes, les futures mères n’étaient pas tellement au fait du 4 ième trimestre. Accompagner les femmes pour qu’elle devienne mère et accueille cette période avec le plus de sérénité et de calme possible.

  9. Stéphanie Colindre

    Merci pour toutes ces informations et les témoignages ci-dessous. Je suis convaincue qu’il y a beaucoup à faire pour accompagner les femmes au 4e trimestre, on en a parlé au début de la formation. La parole se libère de plus en plus mais il y a encore du chemin, les femmes se sentent souvent bien seules après l’accouchement!

  10. Laurence GOUGE

    Je trouve ça intéressant de parler volontairement de 4è trimestre pour redonner toute sa place à la mère, qu’on a effectivement tendance à oublier dès la naissance du bébé, bombardé de peluches, de layettes et de gouzi-gouzi !

    A titre personnel, la conseillère en lactation venue m’épauler à l’hôpital m’aurait presque dégouté de l’allaitement tellement cela semblait normé et fastidieux dans sa bouche, alors que j’avais eu un allaitement des plus agréables et naturels, pendant plus de 13 mois , pour mon premier enfant.
    Je n’ai eu aucun conseil en lactation pour mon premier enfant d’ailleurs.

  11. Rançon Cécile

    Merci pour toutes ces informations, le 4ème trimestre est tellement important pour le bien être de toute la famille ! Cette partie m’a donné encore plus envie de faire des ateliers “après la naissance” pour accompagner les femmes dans cette période !

  12. Lydie vigneron

    merci pour ces notions autour du 4ème trimestres qui sont fondamentales à connaitre pour notre positionnement de sophrologue, mais également en tant que femme.

  13. Emilie TÉCHER

    Merci pour toutes ces informations riches et précieuses.

    J’ai moi même vécu un 4ème trimestre très difficile. Cela me fait beaucoup de bien d’entendre tout cela .

  14. soline brun

    Comme je suis heureuse d’entendre vos paroles Charlotte ! Le renforcement, le fameux “lâcher prise” et si aujourd’hui je me spécialise dans l’accompagnement à la parentalité c’est parce que j’ai comme première motivation l’accompagnement à la préparation du 4ème trimestre, de lâcher ce que l’on entend pour mieux s’écouter soi !!!
    Mes enfants ont 2 ans et demi (et toujours allaitée !!! ) et 6 ans. Encore aujourd’hui ils peuvent venir dormir avec nous ou à l’inverse , nous avons mis un matelas dans leur chambre pour aller dormir avec eux. Tout ça découle du détachement des paroles des autres en incluant aussi les pro de la santé qui peuvent conseiller de laisser pleurer les bébés la nuit… ou de ne pas prendre les enfants dans le lit pour ne pas “mal les habitués”. En attendant, le repos est là et c’est le plus important.
    Mais le 4ème trimestre concerne également le deuxième parent, dans sa place, dans son aide dans son rôle tout aussi important pour l’enfant.
    Merci Charlotte !!!!

  15. Flavie Boboeuf

    L’importance de ne pas séparer le bébé et la mère me font mieux comprendre ma réaction lors de la naissance de mon fils : j’ai été séparée quelques heures de lui à la naissance car trop faible et je n’ai pas arrête de  « de bipper » pour qu’on me le ramène au plus vite , pour au moins lui tenir la main.
    J’ai également mal vécu les 3 premiers jours parce qu’à cause de la péridurale mal posée, je ne devais pas bouger et ne pouvais pas enlacer mon bébé.
    Le personnel médical ne voulait pas non plus que je garde mon bébé avec moi la première nuit à cause de ma grande fatigue; j’ai réussi à négocier qu’ils me l’amènent pendant la nuit à chaque biberon ( on m’a dit que je ne pouvais pas allaiter pour mon premier enfant à cause de fatigue et on ne m’a pas donné le droit d’essayer )
    Je comprends mieux aussi maintenant l’importance du peau à peau qu’on ne m’avait pas conseillé pour mon premier enfant mais que j’ai fait instinctivement ( je n’ai pas fait de préparation à l’accouchement ).
    Passionnant!

  16. Arabella Thomas

    Super intéressant en effet, on a un vrai rôle a jouer là c’est sur. d’autant plus que je me souviens d’avoir vécu des passes plus fatigantes mais qui sont passés, là je prend conscience que pour certaines mères cela peut être beaucoup plus difficile à vivre et surtout si elles ne comprennent pas ce qui leur arrive et qu’elles ne se sentent pas légitimes d’en parler. Souvent l’entourage considère qu’elles devraient être contente et épanouis, moi je comprends qu’il est d’autant plus important de leur offrir un espace de parole et d’écoute.
    Merci pour la qualité de ce contenu.

  17. Agathe ROBELOT

    Incroyable comme je comprends tellement mieux maintenant ce que j’ai vécu, ressenti lors de la naissance de mes enfants ! D’où venait cette force indestructible, ce nuage dans lequel je flottais, cette fatigue intense, le sentiment qu’un congé post natal trop court…
    Et l’IMPORTANCE de connaitre tout cela avant d’envisager de suivre des femmes dans ce contexte si particulier.
    Merci Charlotte !!

  18. Barbara Petit

    Merci Charlotte , j’ai trouvé la deuxième partie sur l’allaitement très intéressante .J’ai appris beaucoup . Ce balai hormonal me fascine .
    En ce qui concerne ce 4 eme trimestre, on commence à en parler , il se fait médiatiser ces derniers temps , par des célébrités qui l’ont mal vécu, ont eu des dépressions post partum ( reportages , livres ) , pour une fois , les conséquences de cette médiatisation peuvent être positives! si ça peut aider à faire connaitre son existence et a déculpabiliser certaines mamans qui le vivent , et les faire se sentir moins seules ;
    cela m’aide aussi à percevoir ce que certaines clientes pourront attendre de la sophrologie , notre rôle …

  19. CHRYSTELLE LEMARIGNIER

    Effectivement très peu d’informations sont données aux femmes sur les difficultés du post-partum… très intéressant toutes ces données. Merci Charlotte

  20. Micaële SAUL

    Le 4e trimestre a toute sa raison d’être.
    L’accompagnement sophrologique est décidément d’une grande utilité. Il ‘s’agit de faire de la pédagogie tout en restant dans le cadre de nos compétences.
    Merci pour toutes ces précieuses informations !