Votre panier est actuellement vide !
36 réponses à “Le danger des psychotropes”
Cette partie très riche et instructive m’a fait davantage prendre conscience de l’impact de ces médicaments sur la structure du sommeil
et ce que pouvait apporter la sophrologie. Merci!Chiffres parlant et effrayant. Comment peut-on continuer à leurrer les gens avec de fausses promesses : Médicament = Solution !
Passionnant. Les questions-clés sont incontournables pour l’anamnèse, dans ces problèmes de sommeil (tabac, café …) A ne pas oublier, merci !
La prise de tout médicament n’est jamais anodine et doit toujours se faire avec un avis médical; Effectivement, il y a quelques années, les délégués de l’assurance maladie ont fait pour la première fois une immense campagne auprès des médecins généralistes pour les sensibiliser sur leur prescription de benzo et autres psychotropes : certains étaient assez surpris des chiffres que nous leur apportions (comparaison entre leur perscrption, celle du département, mais aussi par rapport au national…). Le département des Alpes Maritimes étant un département fortement consommateur!
Leçon très importante, là encore l’anamnèse doit être la plus complète possible et les outils fournis précédemment hyper utiles pour un meilleur accompagnement.Prise de conscience de la modification du cerveau face a la prise de médicaments . très intéressant et enrichissant.
Partie un peu plus médicale. Importance de savoir le ou les médicaments que prennent les personnes qui viennent nous voir.
Incroyable le nombre de psychotropes qui amènent un dérèglement de l’horloge circadienne.
très complet !
Partie très complète et enrichissante. Elle démontre l’importance aussi de l’alliance entre le sophrologue et son client pour un accompagnement efficace et adapté. Tous les outils fournis, questionnaires et agenda, vont considérablement nous aider.
Question: je n’ai pas réussi à lire sur la diapo blanche les 3 derniers médicaments (après anti-histanimiques). Merci par avance.Partie très technique avec des contenus riches … nous permettant de ne pas tout mettre sur le compte du stress ou d’une trop grande activité en journée. Le travail avec les médecins spécialisés ou les centres du sommeil me parait très important.
Je trouve que le plus complexe c’est de savoir quand orienter le client vers un spécialiste du sommeil. On peut suivre une personne pendant plusieurs séances pour des troubles du sommeil et ne constater aucune amélioration car l’origine du trouble ou de l’insomnie réside dans un facteur intrinsèque.
A quel moment peut-on en déduire que la sophrologie n’intervient pas efficacement et qu’il faut effectivement chercher la cause médicale ?
Concernant l’agenda du sommeil, j’ai une question qui me vient seulement maintenant… lorsque la personne note ses heures de réveil ou d’éveil nocturne, sommes-nous d’accord qu’il ne faut surtout pas qu’elle regarde son réveil ou son téléphone mais que ce sont des horaires fictives?Je vous remercie.
Isabelle, vous avez normalement réuni toutes les infos avec l’anamnèse du module 6, le tableau récapitulatif des différents types de troubles de sommeil du module 2 permet aussi de s’entrainer, vous verrez cela vient assez vite, le plus souvent il suffit d’écouter et de poser une à deux questions pertinentes.
Pour l’agenda du sommeil, à quoi servirait des heures fictives ?
Rappel le téléphone est banni de la chambre, même pour accéder au réveil en mode avion, le téléphone est une activité jour..Je vous remercie pour votre réponse rapide. En fait, j’ai moi-même rempli un agenda du sommeil lorsque j’étais suivi par un centre du sommeil et je crois me rappeler qu’on m’avait dit de ne surtout pas regarder l’heure à laquelle je me réveillais dans la nuit pour ne pas créer d’angoisses supplémentaires. Je notais mes horaires “approximatives”. Je voulais confirmer que c’est cette pratique qui est recommandée dans la masterclass ou non? merci à vous
Isabelle, noter l’heure de réveil nocturne est un souci dans les centres du sommeil car les consignes sont mentales et ne sont pas accompagnées de sophrologie pour l’angoisse. Grâce à la sophrologie le client n’aura plus ces angoisses, la sophrologie installe de la sécurité intérieure, mobilise sur une conquête du positif. SBS, SDN, SRS, journée circadienne, SHV soutiennent cette conquête par les ressentis positifs, c’est toute la différence de l’approche cognitive et comportementale avec la sophrologie. Tous vous diront au bout de quelques séances, que ce n’est plus un problème le réveil nocturne (sauf si c’est un réveil facteur médical), qu’ils gèrent et savent projeter le positif pour la journée à venir. Activation des 3 capacités.
Un grand merci pour cette réponse complète!!
Cette vidéo est fort enrichissante. Je n’avais pas vraiment envisagé tous les chiffres transmis ici et certains m’ont percutée. Un enseignement fort riche, avec des petites clefs de connaissances au domaine médical incontournables. J’ai encore cependant à approfondir tous ces termes médicamenteux, car je suis un peu dans le flou encore.
Partie très très intéressante avec tout le côté médical à bien prendre en compte. Merci pour le rappel de ne. pas tout mettre sur le dos du stress et de bien faire attention à tout. Le rôle de l’anamnèse prend encore plus son sens, il y a des questions essentielles à poser.
Les psychotropes sont beaucoup trop prescrits et banalisés. Il est vital de pouvoir expliquer à la personne qui vient nous voir comment fonctionne un psychotrope. Savoir ce que l’on ingère peut modifier la perception de ces pilules dites magiques. Le sophrologue doit également savoir rester à sa place et travailler de concert avec les centres du sommeil, médecins etc… Savoir distinguer les troubles du sommeil et renvoyer au bon interlocuteur est une vraie richesse. La Sophrologie est belle et bien une discipline irremplaçable et qui ne doit pas remplacer les autres spécialités. En travaillant ensemble l’intérêt du sophronisé est préservé !
Très intéressant. Cela permet une anamnèse plus ciblée tout en respectant le principe de réalité objective..
Très intéressant et très complet cette partie médicale, mais aussi complexe.. Mais en tant que sophrologue , je pense qu’il est bon de rester à sa place et d’utiliser les outils mis en place comme le questionnaire lors du premier RDV et l’ l’agenda du sommeil. et oui il faut du temps et de l’entraînement avec la sophrologie et surtout créer une bonne alliance pour arriver à bien comprendre le patient et adapter les protocoles correspondant.
très très intéressant. Cela permet de se poser des questions, d’aller plus loin dans notre pratique et posture de sophrologue.
cette partie plus “médicale” pour moi est corsée
c’est un domaine que je ne connais pas du tout
je retiens que notre outil est l’agenda du sommeil et que notre accompagnement consistera dans ces cas de relativiser, d’accepter la maladie, le traitement , d’accepter que sommeil ne soit plus idéal, et de l’optimiserlâcher prise, prise de recul, adaptabilité à travailler
Intéressant de savoir que certains psychotropes altèrent le sommeil, en ce qui concerne le sevrage, cela me semble compliqué, les patients veulent trouver des solutions rapides, et peuvent nous lâcher en milieu de protocoles car ils espèrent retrouver rapidement leur sommeil alors que il faut du temps et de l’entraînement avec la sophrologie
Très important de connaitre ces informations pour mieux conseiller et orienter les patients et pouvoir communiquer efficacement avec les médecins généralistes et travailler de concert pour réduire les consommations de somnifères et d’anxiolytiques. Je connais aussi les initiatives vaines de sevrage de personnes sous somnifères depuis plus de 20 ans et qui n’entrevois même plus la possibilité d’un sevrage ou qui n’ont pas le courage d’entrevoir un travail aussi long pour y parvenir (+-de 18 mois). Merci.
En tant que pharmacien ,je connais le danger des psychotropes !!. Merci c’est formidable de pouvoir accompag ner les gens autrement
Beaucoup de personnes que j’accompagne prennent des médicaments pour dormir. J’attendais beaucoup de cette partie du cours. Je pense être plus à l’aise à présent, savoir comment me positionner, comment répondre aux questions, quand renvoyer vers un médecin spécialiste du sommeil et quand je peux accompagner, Encore merci!
Encore un module très riche en informations pour comprendre comment accueillir un client ayant des troubles du sommeil (questions clés, outils appropriés différents entre médecin et sophrologue) et aussi un client prenant des comprimés de mélatonine ou des somnifères (merci aux questions posées par les personnes qui suivent comme moi avec beaucoup d’intérêt cette master classe)
Les commentaires sont aussi très enrichissants. J’ai tellement appris ! Merci .
Bonjour, besoin d’un éclairage : une personne vient me voir pour améliorer son sommeil et se passer d’un somnifère “noctamide’ qu’elle prend depuis 2 mois . elle dort mal alors qu’elle n’avait jamais eu de problème de sommeil depuis le sevrage avec un traitement anti dépresseur, peut être fait trop vite. traitement donné par son médecin G. du coup il lui a prescrit ce somnifère + antidépresseur à nouveau laroxyl et lysanxia.Il lui a conseillé de venir essayer la sophro pour l’aider. Concrètement comment je débute, si cette personne prend un somnifère il est difficile de pratiquer l’agenda du sommeil qui sera faussé? je compte bien sûr voir avec le médecin G, dois-je essayer de le convaincre à arrêter le noctamide ou simplement accompagner, en laissant la patiente et le médecin juger de la possibilité de baisser ou supprimer. position pas évidente lorsque ce n’est pas un médecin avec qui on a l’habitude de travailler…
merciBonjour Véronique, question de posture du sophrologue, à vous de voir.
Pour ma part, je vois avec le client ce qu’il souhaite et s’il m’autorise à contacter son médecin traitant pour mettre en place un process d’amélioration du sommeil sans somnifère. C’est le client qui décide et le médecin qui est responsable du traitement comme du diagnostique. Nous, sophrologues en sommes conscients et le respectons . L’occasion de faire la connaissance d’un nouveau médecin et d’avoir des infos plus précises sur le sens de cette médication 😉
Bonjour.
Merci pour ces innombrables informations précises et précieuses. J’écoute, je prends notes et je ré-écoute chaque leçons plusieurs fois pour intégrer au mieux tout ce qu’il y a à absorber et recevoir.Merci pour cette mine d’informations.
Et je prends encore plus conscience de l’effet délétère de la panoplie incroyable de médicaments que prennent les personnes âgées,
Il serait souhaitable de “rééduquer” les médecins généralistes afin qu’ils puissent ajuster leur prescription pour un meilleur sommeil et une économie pour la sécurité sociale et les mutuelles (pour les traitements, les hospitalisations suite aux incidents..)
donc plus de budget pour la prise en charge de séances de sophrologie. 🙂Merci Clemence, je me demandais depuis un bout de temps, d’autant qu’il est plutôt conseillé des produits bio of course ! Donc à bannir ! J’ai justement une patiente qui en prend. Ici les gens s’automedicamentent beaucoup et pensent que le bio c’est bien automatiquement.
Merci merci.Interessant. Que dites-vous de la prise de melatonine ? c’est le réflexe de certains médecins ici de prescrire de la melatonine.
Bonjour Marie,
Les comprimés de mélatonine en vente libre sont composés de mélatonine de synthèse de 1 à 2 mg (10mg aux USA)(ne jamais acheter de mélatonine naturelle de l’épiphyse du bœuf, pour une fois préférer le produit chimique à du bio ! ).
La mélatonine de synthèse a une durée d’action flash, environ 20 minutes et est indiquée pour des troubles du rythme circadien du à une baisse du taux de mélatonine. la mélatonine favorise l’endormissement. Sa prescription est limitée aux troubles de l’endormissement résultant de retard de phase, de décalage horaire et du travail en horaire décalé.
D’autre part, les seniors peuvent bénéficier de la mélatonine LP prescrite sous ordonnance( à libération prolongée) pour maintenir un meilleur taux de mélatonine pendant toute la nuit.
Seulement pour ces cas circonstanciés, le rapport bénéfice/risque de la mélatonine est supérieur aux risques des somnifères.
La mélatonine chimique ne fonctionne pas comme un somnifère, c’est une supplémentation chimique d’apport d’une hormone produite naturellement par le cerveau et non un inhibiteur aux effets anesthésiants.
La mélatonine aura un effet positif seulement si elle est prise au bon moment et pour le bon symptôme, c’est-çà dire pour compenser un taux trop bas de mélatonine naturelle principalement dû à des troubles du rythme circadien.
La mélatonine est inefficace pour les autres troubles d’insomnie comme les insomnies psychophysiologiques, médicamenteux,…voir module 2.1
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.