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La recherche du défunt ou le refus de le laisser partir : la sophrologie pour reconnecter à la réalité

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125 réponses à “La recherche du défunt ou le refus de le laisser partir : la sophrologie pour reconnecter à la réalité”

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  1. sarah mauve
    sarah mauve

    Des mercis, pour ces notions qui sont passionnantes, pour ce partage. Comme j’apprécie le poème de Blake, les deux chansons que je ne connaissais pas, le témoignage en fin de module. Comme ces respirations donnent du reliefs à ton enseignement, et réveillent encore un peu plus chair de poule, nos vécus. Et me reste le mot douceur, comme un leitmotive.

  2. BESENVAL LAETITIA

    Merci pour toutes ces précisions, et je retiendrai qu’il faut vraiment faire en DOUCEUR au rythme de l’endeuillé

  3. Nathalie ECHARD

    très clair avec des liens vers les techniques sophro . Je retiendrais LA DOUCEUR

    1. Nadia FROHLICH

      Une petite question… vous parlez de SAP après avoir fait des SPF comme vu précédemment.
      Dans la première pratique j’ avais noté : éventuellement SAP des premières fois.
      Ai-Je loupé le moment où vous parlez de la SPF?
      Peut-être aurai-je les réponses avec les pratiques suivantes… ?

      1. Votre sophrologue expert
        Votre sophrologue expert

        Bonjour Nadia,
        vous avez envoyé votre message spécifiquement à Nathalie en cliquant sur ‘Répondre’ au message affiché de Nathalie.
        Mieux vaut déposer votre message comme un premier commentaire afin que Patricia reçoive la notification de votre message.
        Bien à vous,
        Clémence

  4. sophie garcia-lopez

    Claire (pour qualifier étape-cours).
    “Accompagner”, en suivant le rythme de l’endeuillé

  5. Annie Cacheleux

    La sophrologie accompagne en ramenant à la conscience le corps avec la RDC 1. le schéma corporel ici et maintenant.
    Ainsi que les cinq sens pour accueillir les sensations

    Ramener à la réalité avec douceur et bienveillance

  6. Paulette Daubie

    C’est bien de pouvoir mettre des mots sur le vécu et les ressentis qui peuvent parfois apparaitre comme anormaux dans le temps qui passe.
    Je comprends mieux au travers de ce cours ce que j’ai vécu dans les deuils .

  7. Sophie LAURENT
    Sophie LAURENT

    1. Rechercher la présence de l’autre pour maintenir le lien
    2. Revenir à la réalité du corps, des sens, se réaligner, se recentrer

  8. Frédérique CHICHE REMOND
    Frédérique CHICHE REMOND

    Le choc…, puis continuer la relation avec la personne disparue. Rechercher sa présence, son odeur, toucher ses vêtements. Peut-être va t’elle revenir?
    La sophrologie va aider l’endeuillé à son rythme, a se recentrer et à développer l’attention sur ce qui est,

  9. Sabine M.
    Sabine M.

    Pour répondre aux questions de l’un des derniers slides :
    > qualification de cette étape :ce qui me vient à l’esprit, c’est que c’est une étape où l’endeuillé.e “fait comme si”, comme si l’absent.e était toujours là, présent.e. Il/elle continue à faire vivre la personne sur le plan sensoriel. Je l’appellerai aussi “remplir le vide de l’absence”
    > comment la sophrologie peut l’accompagner : en douceur et avec beaucoup de délicatesse, la sophrologie peut accompagner cette phase du processus du deuil en ramenant progressivement (et en suivant son rythme) l’endeuillé.e vers la réalité de ce qui est, tout en laissant derrière lui/elle ce qu’il/elle aimerait qu’il soit vis-à-vis du défunt. Cela s’accompagnera aussi d’un soutien à la consolidation d’un nouveau lien intérieur avec le/la défunt.e. Pour cela, nous avons à notre disposition la RD1, la pratique des 5 sens et jusqu’aux techniques de projections (SAP, SPF, entre autres)

    Bien à vous.
    Sabine M.

  10. Patricia

    Pour la personne endeuillée, lâcher le lien, après avoir essayé en vain de le maintenir avec des photos, des musiques, un parfum pendant un temps plus ou moins long, c’est comme une seconde mort. Il est important, pour nous sophrologues, d’en être conscients pour accompagner cette phase avec douceur et aider la personne endeuillée à se remettre peu à peu en contact avec ce qui est.

    1. Patricia
      Patricia

      Bonsoir Patricia
      Merci pour votre commentaire. Nous aidons mais surtout nous accompagnons… ce qui veut dire que nous suivins le rythme de l’endeuillé sans chercher à l’influencer ou le changer. Les choses vont se faire… lorsque ce sera le moment pour lui. Les protections lâchent quand c’est le moment pour l’endeuillé.

  11. Doris LANG

    Merci pour ce partage, toujours aussi riche et intéressant. Le mot GRANDIR me vient à l’esprit.
    J’ai le sentiment que pour l’endeuillé de prendre conscience, et le ressentir dans son corps, que ce lien avec le défunt s’étiole, et comme un “nouveau deuil” de sa propre personne, cette fois-ci. De la personne que l’on n’est plus…. Reprendre pieds dans la réalité et accepter la situation nécessitent beaucoup d’attention, de douceur et de bienveillance dans l’accompagnement.

  12. Nathalie
    Nathalie

    Je retiens principalement le constat d’une tentative longue ( 1 année au moins souvent) de nourrir ‘illusion de la présence du défunt avec la recherche de signes de sa présence, de synchronicités, etc. et un fort risque de sentiment de régression au moment où les mécanismes de défense tombent
    comme faisant partie du processus “normal” de deuil

    1. Patricia
      Patricia

      Bonsoir Nathalie,
      la durée varie selon chaque personne. Le processus n’étant pas linéaire il est possible que ces temps de recherche de la présence du proche décédé resurgissent par instants ou moments plus longs à différents stades du deuil.

  13. valoucan

    Refus, garder vivant, attente d’un retour comme avant, et réalité qui surgit.
    La sophrologie pour traverser cette prise de conscience douloureuse, avec plus de douceur, de compréhension. en se réappropriant son corps, ses ressentis.

  14. Caroline
    Caroline

    Cette étape m’a rappelé les paroles de F. S. Fitzgerald qui pourrait se résumer ainsi : peu importe si les choses sont vraies ou fausses pourvu qu’elles participent à la magie. Comment ne pas couper abruptement la période d’illusion sans l’alimenter davantage? L’accompagnement pourra se centrer sur le retour à ses sensations (RDC 1, les techniques de présent pour nourrir la confiance dans la réalité de son corps/de ses perceptions et aussi, le SAP sur une première fois sans l’autre.

  15. LAURE JOSEPH
    LAURE JOSEPH

    La quête illusoire du défunt. pour l’endeuillé , le guidage en douceur du sophrologue (le phare) pour l’aider à se relier à son rythme au chemin de la réalité. En lui faisant redécouvrir des perceptions corporelles réconfortantes et des supports simples et concrets au quotidiens pour se tenir debout..

  16. Hietin Chrystel

    Douceur , accueil, enveloppant

  17. nathalie pochon riesen
    nathalie pochon riesen

    Je repense à ce livre “le livre tibétain de la vie et de la mort” , c’est ainsi qu’est la vieLe Boudha dit : “cette existence qui est la nôtre est aussi éphémère que les nuages d’automne. Observer la naissance et la mort des êtres est comme observer les mouvement d’une danse. La durée d’une vie est semblable à un éclair d’orage dans le ciel. Elle se précipite, tel un torrent dévalant une montagne abrupte.”.

  18. Sonia

    Les mots qui me vient à l’esprit, c’est apprivoiser l’absence. Nul doute que les techniques du 1er degré ont toute leur place ici. Merci pour ces beaux partages (film, musique, poème) qui viennent enrichir cette formation avec délicatesse et bienveillance.

  19. Emilie Coupé

    Le mot vide me vient en premier, sensation de vertige avec le sol qui se dérobe sous nos pieds et qu’il laisse la place à rien d’autre que le vide, le noir, l’infini.
    La sophrologie peut accompagner comme bouée de secours qu’on lancerait à un marin tombé à l’eau qui n’a plus son navire auquel se raccrocher, tendre la main par l’alliance, retrouver le contact du toucher, son propre toucher, son propre corps, ses sens, ses émotions, retrouver le goût de la vie, sa propre vie.

  20. Véronique VALENTIN
    Véronique VALENTIN

    Le 12 juin dernier un père a lu le poème de William Blake -Le voilier- lors des obsèques de son enfant de 5 mois… c’est pour cela que je suis ici aujourd’hui…