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Intégrer viscéralement la perte à son histoire de vie

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109 réponses à “Intégrer viscéralement la perte à son histoire de vie”

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  1. Charline BOSC DEBARRE

    L’intégration viscérale est une image qui me parle beaucoup. Toujours cette idée de mouvement, de transformation.

  2. Audrey Geoffroy

    Bonjour,

    Je retiens l’image de prendre ses émotions par la main pour en faire des alliées dans ce chemin tumultueux.
    L’expression “intégration viscérale” me parle beaucoup, je trouve qu’elle amène une dimension différente, l’intégration viscérale pour moi vient de soi, alors que dans l’acceptation, il y a de mon point de vue une sorte d’obligation finale qui n’est pas adaptée.

    Merci pour ces mots.

  3. Jennifer SEMADENI

    Bonjour,

    Si je ne devais retenir qu’une association pour qualifier cette étape ce serait “douloureuse nécessité”, et je dirais “ouvrir la voie” pour résumer comment la Sophrologie peut l’accompagner.

    Le sens donné à “l’intégration viscérale” a résonné en moi, et m’est apparu très parlant.

    Cordialement

  4. sophie retailleau

    La continuité d’une nouvelle étape de conscience que la personne décédée n’est plus là. Ce vécu qui se fait de plus en plus en profondeur.

  5. Annabelle Colin

    Je comprends aussi que ce mot “acceptation ” soit violent, merci pour la proposition d’”intégration viscérale” qui est plus juste, une intégration au plus profond de nous-même, dans notre corps, nos cellules. C’est en effet un long processus et la sophrologie offre cette possibilité d’intégration de la manière la plus douce qui soit à mon sens.

  6. Marine Farissi

    L’évolution, la vie se transforme et évolue. On retrouve en fait cette belle image de la fleur en toute saison.

  7. Cecile

    1 mot 1 idée pour cette phase = intégrer le deuil à son histoire de vie
    1 mot 1 idée sur comment la sophro accompagne = aider à se projeter et à prendre conscience de cette évolution dans le processus du deuil

  8. Samantha Schweitzer

    Après le bouleversement émotionnel, quand les émotions commencent à s’apaiser, il est important d’intégrer viscéralement la perte pour réussir à se projeter. Et bien que cette phase de digestion soit très inconfortable, elle est nécessaire pour avancer.

  9. Virginie BECHIS

    Processus qui se fait tout doucement. L’intégration se fait petit à petit, de manière naturelle pour se confronter à la perte, il n’y a plus de combat, de lutte. La tristesse va disparaître et peut être une nostalgie va s’installer (phénomènes de correspondances). Les choses s’apaisent. On accompagnera l’endeuille avec la SAP, SPF pour l’amener quelques années plus tard. L’aider à renforcer sa sécurité intérieure pour intégrer cette perte dans sa vie et progressivement, le guider vers le chemin de la reconstruction, de son équilibre.

  10. Axelle Dandelot

    Integrer la perte a son histoire de vie, la tristesse se transforme, elle n’est plus aigue. Processus lent, a bas bruit.

  11. ANNICK ANELKA

    Intégration viscérale de la perte.
    Ce qui n’empêche pas la tristesse effectivement.

  12. Geraldine PIGNATELLI

    L’intégration résonne ici comme le passage entre l’intellectualisation et la corporalisation de la perte de l’Etre cher. Telle une nouvelle inscription génétique et identitaire.
    Aussi forts et paradoxaux soient-ils, les sentiments et émotions liés à la perte de l’Etre cher sont l’ouverture vers un mouvement et donc un possible changement d’état émotionnel, petit à petit.
    Accompagner et légitimer ce qui semble insurmontable comme les ressources pourvoyeuses d’espérance est une responsabilité en tant que Sophrologue. Je suis d’ailleurs tout à fait en phase avec le non-emploi du terme “acceptation”, que je n’utilise jamais. C’est un manque de respect vis à vis de la souffrance de la personne et est une marque très péremptoire pour qui l’utilise.
    J’aime beaucoup votre dernière phrase, où vous parlez de ce temps riche et nécessaire pour revivre l’Histoire de la relation et l’intégrer à son Histoire de vie.

  13. Armelle Rhodes

    Intégrer dans ses tripes…
    Processus lent et nécessaire pour retrouver une forme d’apaisement.
    Sécuriser et légitimer encore et toujours.

  14. Emilie

    Rassurer l’endeuillé sur ce qu’il ressent, éprouve; sur ce qu’il traverse, sans jugement.
    L’aider dans cette phase si inconfortable, longue mais salutaire.
    Travailler à renforcer sa sécurité intérieure pour intégrer cette perte dans sa vie et peu à peu, le guider vers le chemin de la reconstruction.

  15. Martine MAGNIER

    Ce titre il résonne avec moi : intégrer viscéralement la perte.

    Intégration
    Intégrer dans ses propres entrailles , sa chaire ….

    C ‘est la continuité du processus à vivre face à ses piqures de rappel du quotidien qu’ est la vie qui nous rappel en faite (cette perte définitive).
    Ce ne sera plus comme…

    Rôle si aide d ‘un sophro il va nous permettre de vivre toutes ces dates qu’ est le calendrier plus légèrement adoucir ces moments là et futur.

    Merci Patricia pour les citations les poèmes et chanson pour ma part j ‘apprécie Sincèrement.

  16. Delphine Dusacq
    Delphine Dusacq

    Ll’intégration viscérale qui est nécessaire au processus, l’intégrer à soi pour un nouvel équilibre et une reconstruction progressive durant laquelle nous pourrons renforcer le sentiment de confiance et sécurité intérieure

  17. Virginie Rito

    Je suis d’accord que le mot accepter n’est pas adéquat, je retiens”intégrer la permanence de la perte”.. on ne lutte plus contre. Que durant cette phase la tristesse est toujours là mais moins aiguë, les choses s’apaisent un peu et qu”en tant que sophrologue on va accompagner l’endeuillé en renforçant sa sécurité intérieure et sa force pour ouvrir la voie vers sa reconstruction.

  18. Marie-Laurence MULOT

    Intégration viscérale, c’est l’association qui reste imprégnée en moi suite à cette vidéo. on n’est pas dans l’acceptation (la mort du défunt est inacceptable ) mais bien dans l’intégration, la digestion, dans ses “tripes”.
    Le sophrologue continue à accompagner l’endeuillé pour renforcer sa sécurité et sa force intérieures, pour l’aider à traverser cette phase douloureuse, extrêmement inconfortable mais nécessaire et salutaire. il va nous falloir aussi le rassurer, légitimer car l’endeuillé peut se sentir régresser tant il souffre, se sentir emmuré, sans issue. Il est bien sur le chemin de la reconstruction.

  19. Marion LYON

    Ce que je retiens particulièrement de cette leçon, c’est tout naturellement le titre car je le trouve tellement juste : « intégrer viscéralement la perte ». Je trouve ce terme puissant, bien plus puissant que celui d’acceptation (que je n’aime pas non plus). Intégrer viscéralement, c’est comprendre au plus profond de soi, de ses tripes et de son cœur, que l’être aimé ne fera plus partie de notre vie sur terre, qu’on ne le reverra plus, qu’on ne pourra plus entrer en relation avec lui, comme avant, et pour autant, choisir de vivre avec cela, choisir la vie, renouer avec ses richesses, sa beauté. C’est peut-être là, le point de « départ » d’une nouvelle relation avec le défunt. Une relation intérieure, du concret à l’abstrait, du visible à l’invisible, un lien d’amour éternel.
    Merci pour cette leçon !

  20. Pamela DELABROUSSE

    Je retiens tout particulièrement le terme “intégration viscérale de la perte”.
    La sophrologie accompagne l’endeuillé dans la “continuité” de ce qui a été fait pour consolider (force et sécurité intérieure) , anticiper des dates douloureuses, en chemin vers un nouvel équilibre.
    Merci Patricia.