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109 réponses à “Intégrer viscéralement la perte à son histoire de vie”
J’aime l’idée d’intégration plutôt que d’acceptation. Il y a pour moi l’idée de vivre avec, alors que l’acceptation peut sonner comme un renoncement. La sophrologie peut accompagner à trouver ce dont la personne a besoin pour s’approprier ce deuil et avancer avec.
Résilience et continuité de l’accompagnement sophrologique dans son entièreté selon les phénomènes de correspondance.
Phase d’intégration viscérale qui va permettre d’intégrer la permanence de la perte et de se remettre tout doucement en route vers un nouvel équilibre .
Les émotions viendront peu à peu s’apaiser et la douleur s’estomper.
Un processus long et propre à chacun.
Intégrer cette histoire en soi sans l’oublier mais pour se reconstruire et ouvrir la voie a de nouvelles perspectives
Cette phase d’intégration peut être très longue et très personnelle. Seul le temps permet d’apaiser le feu de ces émotions ressenties mais il ne les efface pas. Les « émotions de rappel « en témoignent.
C’est une phase qui peut etre très longue, propre à chacun. Où la douceur s’installe petit à petit. La douleur s’apaise et la personne endeuillée peut parler et repenser au défunt avec plus de légèreté.
Cette phase d’intégration viscérale est une digestion lente de la perte permanente, de la fin d’une histoire de vie. Les émotions sont plus apaisées bien que des événements de rappel peuvent les déclencher mais leur vécu sera moins vif. La sophrologie va permettre de légitimer ses émotions, de renforcer sa sécurité et de se remettre en marche vers une nouvelle histoire de vie, un nouvel équilibre.
Intégration réelle de la personne endeuillée, intégration dans ces tripes. Phase un peu plus apaisée où l’on commence doucement à percevoir l’avenir avec des souvenirs positifs, et moments heureux partagés avec la personne décédée.
Je retiens que c’est un processus très long et à la fois autonome, mais qu’une meilleure acceptation et expression de nos émotions permet cette intégration consciente viscérale de la perte de l’être aimé. C’est un “tempo” totalement unique pour chacun vers un nouvel équilibre.
L’être aimé vivra toujours en nous, petit à petit les émotions fortes feront place à des sentiments apaisés et nous pourrons apprécier de nouveau repenser à lui/elle sans que cela nous déchire… lente digestion que ce processus…
La présence de l’absent est en nous
Intégrer, digérer la perte pour s’ouvrir à un nouvel équilibre
Merci,
SE relier à ses émotions, les accueillir les considérer comme des amies, les écouter, plus on s’y relie plus on apprend à se connaître et par conséquent répondre à ses besoins.
Il est bien vrai que pleurer pour certaines personnes signifie “faiblesse”.
1/ intégrer la permanence de la perte
2/ en l’aidant à rentrer en amitié avec ses émotions, en renforçant sa force et sa sécurité intérieureIntégrer la perte au plus profond de soi, la digérer et avancer progressivement vers un nouvel équilibre.
Que tout s’installe pas à pas pour un nouvel équilibre de soi, dans sa globalité
le mot pour résumer : apiasment progressif naturel
Devenir ami avec ses émotions, les accueillir, les intégrer au plus profond au plus secret de soi, sentir sa force ressentir sa sécurité intérieure. La joie en construction. Merci pour ce module, et merci pour ces partages de poèmes et de chansons que j’apprécie particulièrement.
Toujours cette relation étroite avec ses émotions. Puis la digestion que l’on peut accompagner tout en douceur.
Difficile pour moi de mettre un mot sur cette phase : intégration, imprégnation, diffusion, digestion. L’information se déplace vers les cellules, elle diffuse quelque chose de nouveau, elle se raconte.
C’est au travers des émotions que l’on va tout doucement intégrer la perte.
On va accompagner l’endeuillé à entrer en amitié avec ses émotions afin qu’il puisse à son rythme aller vers une reconstruction, un nouvel équilibre vers un mieux être
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