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109 réponses à “Intégrer viscéralement la perte à son histoire de vie”
le premier mot qui m’est venu pour qualifie cette phase c’est “digestion” mais ça me gène car cela résonne comme si après il ne reste plus rien (quoi que digérer c’est aussi transformer les nutriments), peut être alors on pourrait dire “assimilation”. Je ne sais pas , je cherche encore le mot juste.
Cette partie de l’intégration viscérale raisonne douloureusement en moi : je me rend compte que j’ai bizarrement pas envie d’être à cette étape de mon deuil personnel (sans doute ce moment n’est pas encore arrivé pour moi, comme vous l’avez dit c’est un processus inconscient).
Emotions +++ qui ressurgissent dans l’instant présent : je vais m’accorder une pause d’accueil
Me viens une chanson de JJ Goldman qui dit : “tu resteras comme une lumière, un petit feu de toi qui s’éteint pas …..”
cela me fait penser à une phase que mon papa me disait souvent : ” laisse le temps au temps”.
Pour espérer au nouvel équilibre devant l’endeuillé, l’accompagner à se familiariser, entrer en amitié avec ses émotions.
Pour favoriser une intégration viscérale de la perte.Entrer en amitié avec ses émotions et intégrer doucement la perte pour se sentir apaisée
Intégration viscérale de la perte, au plus profond de soi en douceur à son rythme pour renforcer la sécurité intérieure et pouvoir se projeter dans l’avenir
Intégrer la permanence de la perte avec le soutien de la sophrogie qui consolide le sentiment de sécurité intérieure et permet d’envisager un futur qui intègre cette perte.
tout se passe en douceur, jusqu’à l’intégration viscérale en sécurité
Prendre son temps, accueillir ses émotions, se rassurer.
Aider la personne à renforcer sa sécurité, à se reconstruire.Bonjour,
Ce que je retiens de cette leçon, c’est en particulier le titre “Intégration viscérale de la perte” : je trouve cette formule très parlante pour résumer cette étape du processus de deuil comme un moment de digestion, qui se fait petit à petit en soi, corporellement parlant et pas seulement mentalement.
Quant au rôle de la Sophrologie, ici, elle s’inscrit dans une continuité d’accompagnement du processus pour consolider la phase de transformation des émotions et anticiper la suite, le reste de sa vie (pour paraphraser la chanson d’Etienne Daho), sans le défunt, du moins physiquement parlant…
Bien à vous.
SabineAccueillir, intégrer et digérer. Ces termes ramènent à soi, au plus profond de soi et me parlent beaucoup.
J’ai également une image d’un “volcan émotionnel”, avec des éruptions d’intensité très forte et d’autres plus calmes qui viennent tour à tour, qui se mélangent et qui, avec le temps et le travail de deuil, s’apaisent avant de permettre au volcan de se transformer petit à petit, avec douceur, en une montagne.
L’ambivalence entre la vie qui se dessine à nouveau et les douleurs de l’esprit qui impactent encore le corps avec une force incroyable comme si je venais de m’échouer contre un rocher , revenue de ma dérive .
confiance, cheminement, pas à pas… rassurer et apporter une sécurité intérieure pour peut-être plus aisément ressentir un nouvel équilibre
Si je pense à un mot pour le module 4 c’est “faire le chemin” : le temps qu’il faut, sous la pluie, sous le soleil, la nuit et le jour ; la sophro étant là comme passeuse légale à ce moment.
Le temps aide, apporte un réconfort. Se donner le temps, vivre ses émotions, intégrer les choses à son rythme.
Traverser une émotion après l’autre, comme on fait un pas après l’autre
Accueillir, rassurer, laisser être
Les mots qui se présentent à moi spontanément sont “lâcher-prise” et “faire confiance à la vie”. Connaitre et comprendre les étapes du deuil sont également très rassurantes. Merci pour ces explications.
Perdre quelqu’un et se sentir perdu et une ouverture de conscience vers de nouveaux possibles en laissant la confiance en soi, en demain s’installer.
Je vois une main qui se tend. Celle de la personne disparue, celle du sophrologue ? En tous cas une présence rassurante, qui apporte de la sécurité affective et permet de faire le lien entre les 3 temps, le passé, le présent et le futur.
Faire confiance en la vie. Accorder à nos émotions le statut ” d’amies” qui malgré les souffrances qu’elles nous infligent son nos alliées pour vivre, avancer… Patience et confiance…
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