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6 réponses à “Les facteurs de risque et d’aggravation”
facteurs aggravants de la SEP:
infection EBV (mononucléose)
déficit vitamine D
tabac (actuellement plus important chez les femmes que les hommes)
obésité notamment chez la jeune fille (alimentation): gras= facteur inflammatoire
le microbiote (probiotique)
travail de nuit
sommeil
stress (sport, sophrologie)
hormones sexuelles : ,sex ratio de 1 femme pour 1 homme avant la puberté puis 3 femmes pour 1 homme à partir de la puberté
a partir de 60 ans , SEP évolue moins (arrêt de traitement chez les sujets âgés atteints de SEP envisagé)
solvants chimiques, pollutionJ’étais déjà convaincu qu’il fallait prendre soin de son microbiote. Vous venez de confirmer l’importance d’une bonne hygiène de vie, pour aider notre corps à mieux se défendre et à aller bien.
Bonjour.
Sur le schéma apparait le gêne HLA DRB1-1501…
il me semblait avoir compris que la maladie n’était pas génétique. Cela veut-il dire que ce gêne a une influence sur le déclenchement de la maladie ou sur le dérèglement du microbiote ( et donc indirectement sur le déclenchement de la maladie?)
Merci.Bonjour. Il semblerait que la fin de la vidéo soit coupée ( …inflammation la plus basse possible)
Bonne journée.Une inflammation “backgrad ” ?(c’est ce que j’ai entendu) : ??
sexe ratio ? Qu’est-ce que ça signifie 1garcon pour 1 fille avant la puberté et 3 femmes pour 1 homme à De quoi s’agit-il précisément ?
Merci pour vos explications
Bonsoir Brigitte
Vous posez 2 questions
Une inflammation “backgrad ” ?(c’est ce que j’ai entendu) : ??
Il s’agit d’une inflammation de bas grade, c’est à dire à peine détectable par les tests biologiques usuels mais qui avec le temps va agir sur la maladie.
sexe ratio ? Qu’est-ce que ça signifie 1garcon pour 1 fille avant la puberté et 3 femmes pour 1 homme à De quoi s’agit-il précisément ?
Oui, il s’agit bien de cela. Avant la puberté il y a autant de garçon que de filles, mais après il y a plus de femmes que d’hommes. La bouleversement hormonal de la puberté doit modifier la sensibilité du système immunitaire. Si on ajoute que les femmes fument plus que les hommes cela permet d’expliquer pourquoi les femmes sont de plus en plus touchés. Actuellement 3 femmes pour 1 homme.
Cordialement
Yann LE COZ
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