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466 réponses à “Cinquième pratique de Sophrologie & Maternité”
Grand relâchement peut-être même trop par moment.
Sensation de récupération à la fin de cette séance. Pour la perception de l’utérus et du col j’ai eu plus de difficultés, mais je me dis qu’enceinte ça me serait venu plus facilement. Par contre pas de pb pour ressentir le vagin et la vulve. C’est intéressant d’aller plus en détails comme ceci.Merci Charlotte pour cette belle pratique !
Pendant la SB j’ai senti ressenti une fatigue physique avec un mental qui s’envolait parfois et revenait.
Le SDN était pertinent cela m’a donné plus de force et de vitalité.
Le reste de la pratique fut très riche en sensations. J’ai d’abord sollicité mon mental pour visualiser mon utérus, et mon col car j’avais au début du mal à le ressentir. J’ai choisi d’utiliser mes capacités d’imagination, puis petit à petit j’ai ressenti ses contours (mais c’était moins simple).
En ce qui concerne le vagin, la vulve j’étais beaucoup plus dans les sensations. Les limites de ces zones étaient clairement ressenti. J’ai senti beaucoup de chaleur, de micro mouvements et de fourmillements. J’ai senti les petites contractions des muscles.
À la fin de la pratique j’ai ressenti beaucoup de force et beaucoup de plaisir à avoir cette capacité de ressentir mon corps, cette zone de mon corps, beaucoup de plaisir a avoir cette capacité de créer et de donner la vie. Je ressens un sentiment de gratitude .
Merci de m’avoir fait vivre ce moment .
Émilie
La sb m’amène deux moments d’endormissement (suis-je autant fatiguée ?? 🙃)
La ssl est un moment doux mais puissant: je ressens mes organes prenant plus de place petit à petit dans mon corps, plus de poids, de chaleur mais également un sentiment de bienveillance et de puissance de cette partie de mon corps (grand “pouvoir”). Je ressens comme une admiration envers les capacités de notre corps à donner la vie. C’est un moment intense pour moi qui me replonge dans mon accouchement (passé très positif).
Merci Charlotte !Est-ce que cette pratique peut-être adaptée à un petit groupe ou vaut-il mieux la personnaliser en fonction des peurs, pudeur…de chaque femme?
Bonjour Flavie
Je vous copie la réponse que j’ai faite à Arabella il y a quelques semaines et qui se posait la même question que vous ^^
“C’est intéressant cette notion de pudeur ^^ C’est le mot “vulve” qui te fait penser à cela ?
Du coup, je dirais deux choses :
– d’abord, tu as toujours le dialogue présophronique pour “tâter le terrain”. Si vulve est trop sensible, tu peux remplacer par périnée. Si même cela est trop sensible, dans ce cas, tu peux t’arrêter juste à l’utérus et au col (les femmes ont souvent conscience de ” l’utilité de ces deux éléments” pendant l’accouchement, elles pensent moins au vagin ou à la vulve). Tu perdras en “intérêt” de cette pratique, mais finalement peu importe le plus important est de s’adapter à la réalité objective de la cliente. De mon expérience, je n’ai jamais eu ce problème de pudeur. Les femmes enceintes ont généralement un suivi tel pendant la grossesse que – malheureusement – leur pudeur s’en trouve souvent altérée. De plus, ces notions sont généralement vues en préparation à la naissance. De ce fait, je suis très rarement la première à aborder ce sujet.
– deuxièmement, si c’est après la pratique que cette pudeur s’éveille, avec la mise en conscience d’un malaise, d’un sentiment désagréable, voire le rappel d’une relation passée ou présente douloureuse… Et bien, je dirais que c’est aussi notre job d’analyser ceci, comme un phénomène permettant une prise de conscience. Je suis une adepte de l’adage “le positif n’est pas toujours agréable mais il est constructif”. sachant qu’elles sont censées accoucher par voie basse (on leur souhaite), ce genre de prise de conscience peut être essentiel pour elle. (Je pense à une femme qui avait eu une vivance très désagréable lors d’une pratique centrée sur la poitrine et qui avait finalement pris conscience qu’elle ne voulait pas “réellement” allaiter). C’était désagréable mais c’était important pour elle. Dans de tels cas, il faudra peut-être renvoyer vers la sage-femme ou vers une psy.”Est-ce que cela répond à votre questionnement ?
Détente profonde lors de la SB.
Pendant la SSL, sentiment de connexion profonde avec mes organes internes, pas de visualisation pour moi mais ressenti de contraction puis de relâchement au niveau de l’utérus et sensation de chaleur et d’ouverture comme les pétales d’une fleur au niveau de la vulve.
Sensation de confiance dans la capacité de notre corps à mettre un enfant au monde et plus grande maîtrise de cette partie de mon corps.
Je pense que cette pratique m’aurait été bien utile pour mes 2 grossesses.
MerciJ’ai ressenti beaucoup de douceur durant cette pratique.
lors du déplacement du négatif, est apparu la peur de ressentir une grande fatigue dans tout le corps qui viendrai compliquer le moment de l’accouchement (je projette car pas encore vécu de grossesse). Cette peur à pu s’envoler dans la respiration. Et l’activation de la vitalité, de l’énergie juste après a vraiment permis de renforcer cette sensation d’apaisement du mental et du corps.
Le suite a été comme une balade à la rencontre de mon corps. j’en ressors détendu, confiante dans les capacités de mon corps de trouver les ressources et de mon esprit pour me laisser tranquille.
Mercipratique très riche.
Je pense que la plongée à l’intérieur de son corps peut donner de l’énergie (dans mon cas)
Etre précotionneux vis a vis des femmes accompagnées sur le fait qu’il ne s’agit pas d’intellectualiser mais de ressentir,Merci encore Charlotte pour ce très bel accompagnement.
Moment très doux et calme. Lors de la SBV, la présence de ma respiration est de plus en plus forte, de plus en plus agréable. Présence du schéma corporelle aussi.
Vivre la présence de mon utérus, le col, le vagin et la vulve m’a fait ressentir cette partie de mon corps. Mais je me suis rendu compte que je ne savais pas exactement qui était qui ! Je vais me plonger dans des schémas anatomiques pour pouvoir refaire cette séance avec une meilleure connaissance intellectuelle afin de pouvoir rattacher mes ressentis au partie du corps.
J’ai réussi à renforcer l’énergie de mon corps, de mon appareil génital. J’ai vraiment eu l’impression de faire quelque chose pendant la pratique. Avec un lien très fort avec ma respiration.
Au travers de cette formation, je découvre la sophrologie un peu plus en profondeur. Cela me permet de m’approprier les techniques et d’augmenter ma confiance dans mon travail de sophrologue. Un immense merciBonjour Myriam
En effet, c’est une pratique à amener en douceur si nécessaire. C’est pourquoi il faut bien l’avoir intégrée en tant que sophrologue. C’est pourquoi j’ai besoin de votre phénodescription pour valider cette pratique pour votre parcours dans cette masterclass 😉
Je vous laisse la déposer à la suite de mon commentaire.
Charlotte
Sensation d’avoir une fleur en lieu et place de mon appareil génitale, échinacée dont les pétales s’ouvrent jusqu’à toucher la tige, couleurs rouge, jaune, orange, rose, éclatantes, puissantes, pleines de vitalité.
J’ai eu bcp de mal avec cette pratique. J’ai eu des difficultés et percevoir ou visualiser le schéma génital.
Est-ce que c’est le fait de ne pas être enceinte ou ne lavoir jamais été?
Toutefois j’ai eu des sensations. Je ne saurais dire lesquelles mais j’ai ressenti une gêne, une peur. Comme lors de la première séance.
Je me rends compte que mes peurs liées à la grossesse resurgissent à chaque fois au moment où j’arrive dans le bas du corps. Peur de l’hôpital, de la douleur, de l’accouchement.. peur que j’ai depuis longtemps et qui me bloquent.
Il est temps que je travaille dessus!Merci Beaucoup Charlotte,
Je me détendu en SBV ou plutôt, je me sens plongée au plus profond de mes tissus. Cela m’amène a ressentir la chaleur mes organes génitaux. Je prends conscience de ma température. Arrivé au niveau vulvaire, je ressens de l’irritation épidermique, des brûlures. Je ne me sens plus encrée mais irritée.
J’ouvre les yeux et je sors de la séance.Une séance sur deux versants^^ très intéressante qui me laisse dire qu’effectivement , je dois être encore plus à l’écoute de ma cliente si je propose ce type de séance et de ce fait, jouer avec mon adaptabilité…
j’ai adoré cette séance, ressentir son schéma génital sans que les termes ne soient trop techniques
mais avec quand même des précisions m’ont permis de profiter pleinement , amener l’oxygène a amplifié tout l’espace
au moment des capacités plein d’images d’accouchement me sont venues comme un opéra d’accouchement 🙂c’est un schéma que je montre volontiers aux femmes pour qu’elles en prennent conscience, j’ai donc trouvé intéressant, ici de le ressentir de l’intérieur.
Je me demande quand même si cela ne peut pas aller a l’encontre de la pudeur de certaines femmes, voir même peut être leur faire se rememorer des relations? je serais ravie d’avoir ton retour d’expérience dans ce domaine.
D’autre part je suis convaincue que cette séance aide à la prise de conscience et au relâchement et je me pose la question aussi dans ce cas si c’est indiqué de la proposer en cas de col déjà ouvert avec menace d’accouchement préma. J’ai déjà une réponse à ma question en la posant car il me semble que mieux percevoir ses sensations c’est aussi mieux les maitriser que ce soit pour retenir ou pour pousser j’imagineOk en lisant les commentaires je vois que tu as déjà répondue a la question du préma 😉
Bonjour Arabella
C’est intéressant cette notion de pudeur ^^ C’est le mot “vulve” qui te fait penser à cela ?
Du coup, je dirais deux choses :
– d’abord, tu as toujours le dialogue présophronique pour “tâter le terrain”. Si vulve est trop sensible, tu peux remplacer par périnée. Si même cela est trop sensible, dans ce cas, tu peux t’arrêter juste à l’utérus et au col (les femmes ont souvent conscience de ” l’utilité de ces deux éléments” pendant l’accouchement, elles pensent moins au vagin ou à la vulve). Tu perdras en “intérêt” de cette pratique, mais finalement peu importe le plus important est de s’adapter à la réalité objective de la cliente. De mon expérience, je n’ai jamais eu ce problème de pudeur. Les femmes enceintes ont généralement un suivi tel pendant la grossesse que – malheureusement – leur pudeur s’en trouve souvent altérée. De plus, ces notions sont généralement vues en préparation à la naissance. De ce fait, je suis très rarement la première à aborder ce sujet.
– deuxièmement, si c’est après la pratique que cette pudeur s’éveille, avec la mise en conscience d’un malaise, d’un sentiment désagréable, voire le rappel d’une relation passée ou présente douloureuse… Et bien, je dirais que c’est aussi notre job d’analyser ceci, comme un phénomène permettant une prise de conscience. Je suis une adepte de l’adage “le positif n’est pas toujours agréable mais il est constructif”. sachant qu’elles sont censées accoucher par voie basse (on leur souhaite), ce genre de prise de conscience peut être essentielle pour elle. (Je pense à une femme qui avait eu une vivance très désagréable lors d’une pratique centrée sur la poitrine et qui avait finalement pris conscience qu’elle ne voulait pas “réellement” allaiter. C’était désagréable mais c’était important pour elle. Dans de tels cas, il faudra peut-être renvoyer vers la sage-femme ou vers une psy.Est-ce que cela répond à t question ?
Oui merci Charlotte cela y répond. Je me rend compte que ma première réaction était en lien avec une cliente qui avait été abusée dans son enfance et qui soufrait de vaginisme, elle était enceinte et je l’ai accompagnée. Elle a eu un accouchement un peu compliquée mais elle l’a vécu avec sérénité et confiance. Nous avions beaucoup axé sur la souplesse de son périnée … mais c’est vrai, pas sur sa vulve et là je me demande si c’est pour elle ou pour moi (ce n’est pas un mot que j’utilise beaucoup) que je ne l’ai pas abordée 🙂
En tout cas tu as raison je vais adapter en fonction de la personne avec conscience de ma réalité objective et de tes conseils.
Avec cette pratique , j’a réalisé et pris conscience qu’il était effectivement très important de faire percevoir le schéma génital à la future maman et de lui faire prendre conscience de son pouvoir , de son rôle et de lui faire confiance .
c’est une étape qui me semble essentielle pour se sentir en sécurité .
Vous avez eu raison de préciser dans votre dialogue pré sophronique qu’il était important de percevoir plutôt que de visualiser . Je vais me l’écrire en rouge dans mes notes 🙂
car au moment de la vivance , ça m’a détendue et mis à l’aise tout de suite . Je n’ai pas essayé de le visualiser et je me sentie à l’écoute de mon corps immédiatement .
Quand à l’effet qu’elle a eu sur moi , elle m’a beaucoup touché . je l’ai trouvé forte , ça m’a énormément parlé .
J’ai hâte de pouvoir la faire expérimenter à mon tour , à d’autres femmes .
merci CharlotteUne grande sensation de détente mais aussi de vision intérieure du corps très apaisante, la sensation d’être en lien, connectée avec ses organes internes.
J’aurai beaucoup aimé entendre cette sophronisation pendant mes grossesses pour ses vertus pédagogiques et rassurantes, je vais c’est sûr m’en inspirer pour mes prochaines SSS. Merci beaucoup Charlotte pour ce partage très enrichissant.Je suis partie très vite en niveau sophroliminal sur cette pratique. Beaucoup de picotements agréables lors de la SB au niveau des jambes et sous la voûte plantaire.
J’ai perçu tout mon appareil génital. Visualisé d’abord, avec la présence d’un bébé (même si je ne suis pas enceinte), puis des sensations me sont apparues. J’ai ressenti des picotements, je pourrai même dire des contractions au niveau de mon utérus, c’est très particulier. 10 minutes après, je les ressens encore, de façon cyclique. Cette pratique est donc très forte pour moi. Je me demande du coup si ça ne pourrait pas provoquer un accouchement ? J’ai lu dans les commentaires que cette pratique telle quelle était proposée qu’après 36SA (et pourquoi pas 37SA d’ailleurs ?) et je comprends pourquoi. Mais je sais que certaines femmes ne se sentent pas prêtes d’accoucher avant 40SA, du coup, je me demandais : il ne serait peut-être pas adéquat de la pratiquer telle quelle si il y a un risque de « provoquer » le travail ? Mais y a-t’il réellement un risque ?
Je continue ma phéno 😉 : J’ai pu percevoir la force de mon corps, son adaptabilité lors du déplacement du bébé de l’utérus, au col, au vagin, à la vulve. J’ai ressenti des capacités incroyables du corps humain lors de la mise au monde (sa force, son adaptabilité). J’ai trouvé cette pratique très intense. J’ai eu besoin d’un temps important de friction pour revenir pleinement à un niveau de vigilance élevé. J’ai fini avec un sourire aux lèvres et les oreilles qui bourdonnaient.Bonjour Manon
J’ai justement failli guider cette pratique ce matin, et ai dû changé de pratique parce que la future mère, à 36 SA, avait peur de déclencher son accouchement.
Non, cette pratique ne peut pas provoquer un accouchement. Parce que, quand même, le corps est suffisamment bien fait pour avoir besoin d’un peu plus qu’une visualisation pour se mettre en route ^^ Sinon, on n’aurait pas besoin de déclencher des femmes en post-terme 😉
Par contre, même en l’expliquant aux femmes, il peut quand même rester une peur en elle, un truc incontrôlable et qui dépasse tout raisonnement rationnel. et du coup, cette peur pourrait empêcher la femme d’entrer pleinement dans la pratique. Donc je ne la propose qu’après le terme (36 ou 37 SA selon leur inquiétude) pour qu’elle ne soit pas “coincée” dans cette peut-malgré-elle.
Et dans le sens inverse, j’invite mes clientes qui doivent être déclenchées à refaire cette pratique. Non pas tant pour l’aspect physique (quoique à terme, ça peut être le truc en plus) mais surtout pour lever le verrou mental qui persiste peut-être encore en elle.Cela vous éclaire-t-il ?
Merci Charlotte pour cette pratique très enrichissante. J’ai eu besoin de visualiser ces différentes parties de mon corps pour pouvoir mieux sentir leur présence et porter mon attention sur les perceptions et les sensations. L’utilisation de la respiration m’a bien aidé à renforcer ma conscience de leurs capacités et de ma confiance en la capacité de mon corps à faire le travail qu’il sait faire. Mon mental s’est apaisé, je me suis sentie forte. J’ai senti mon corps puissant, et cette sensation a été incroyable à vivre. Merci.
Bonjour Sophie
Oui, parfois la visualisation est nécessaire. Il serait intéressant de voir si en repratiquant cette séance, vous avez encore besoin de passer par la visualisation. Peut-être que oui, peut-être que non ^^
la SB m’a permise de rapidement être dans un état de détente profond.
en ce qui concerne la SSL que dire…j’aurai tellement aimé pouvoir la pratiquer pendant mes grossesses.
A chaque respiration c’est un immense sentiment de puissance qui m’envahi.
C’est un sentiment de confiance très puissant, je me suis visualisée enceinte forte de cette nouvelle confiance qui a pu parfois me manquer lors de mes grossesses.
J’ai ressentis beaucoup d’amour et de gratitude envers ces organes qui m’ont permis de porter et donner la vie.
J’ai tellement hâte de pouvoir partager cette pratique que chaque femme enceinte devrait pouvoir vivre.
Merci beaucoup CharlotteMerci pour cette sophronisation qui m’a permis de repenser à mes deux grossesses et accouchements. J’ai réussi à sentir indépendamment chaque partie de mon appareil génital, et je pense que se concentrer de cette façon m’aurait été bien utile les jour J, j’aureais eu plus confiance en moi et en mes capacités naturelles pour accoucher physiologiquement. J’ai ressenti beaucoup de puissance, je me suis sentie connectée à la terre de façon plutôt primale, sans pour autant me sentir réduite à un appareil génital. J’ai adoré cette sophronisation, et je n’ai qu’une hâte c’est de la faire vivre à mon tour ! Merci Charlotte.
Mon esprit était un peu parasité par mes pensées puis, au fur et à mesure de la pratique , je me suis connectée à mon souffle notamment pendant la SDN;
J’ai ressenti la présence de mes abdominaux et le bas de mon ventre se contracter.
J’ai vécu la séance avec la sensation d’une activité intense au niveau de mon ventre et de mon appareil génital,comme un foisonnement, un bouillonnement.
A l’évocation de l’utérus, j’ai fortement ressenti le mien à travers une sorte de contraction, j’ai ressenti de la profondeur, de la force, de l’énergie. Je fus surprise par la puissance et la durée de cette contraction bien que j’ai l’habitude de contacter cette partie de mon corps avec laquelle j’ai un lien très particulier. J’ai retenu ma respiration consciemment et spontanément ce qui m’a permis de porter toute mon attention sur ce mouvement en moi.
J’ai bien ressenti la stimulation, la présence de mon appareil génital; je retiens la sensation de “profondeur”.
Je referai cette pratique très bientôt. Merci Charlotte
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