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111 réponses à “L’attitude phénoménologique – Le dialogue post-sophronique”
Bonjour,
je suis en formation (début RDC2) au sein de l’académie de sophrologie Caycédienne de Paris, dirigée par Bernard Barel, je vous remercie pour tous ces supports vidéos, clairs, qui m’éclairent sur le chemin que je commence à prendre dans mes phénodescriptions, je ne savais pas comment décrire ces phénomènes qui émergent, et je sentais bien qu’il y avait là tout un monde à découvrir, j’étais loin d’imaginer qu’il fut vaste à ce point, je vais donc partir en en explorateur de mes vivances…Merci aussi d’avoir expliqué dans cette séquence ce qui se produit dans un groupe lors du partage de sa phénodescription, toutes ces émotions ressenties par les personnes du groupe, c’est ce qui est arrivé dans le dernier WE de formation, j’ai trouvé cette expérience très déstabilisante, celle de me livrer malgré moi parce que de nouveaux phénomènes sont apparus lorsque je partageais ma phéno, sans que je l’anticipe ni puisse le contrôler, et cela a provoqué beaucoup d’émotions chez moi mais aussi chez les autres, je m’étais promis de ne plus partager devant un groupe de peur que cela ne se reproduise, j’étais triste d’avoir généré ces larmes, mais maintenant je comprends grâce à cette phrase “je me reconnais en tant qu’humain de l’humanité”, et cela a surement dû faire résonance avec les vivances de certains de mes camarades de formation, votre explication me réconcilie avec le fait de partager mes phénos,même si j’avoue que je suis quand même un peu frileuse maintenant 🙂
Merci encore pour ces cours très complets
Nadine (Tours, le 20 juillet 2020)Le groupe apporte réellement une dimension supplémentaire à la pratique de la sophrologie lors du dialogue post sophronique et l’analyse vivantielle. L’alchimie s’opère par le nous et l’affirmation de chacun.
J’aime beaucoup ces temps de dialogues informels et tellement instructifs. Vraiment un réel plaisir
J’aime beaucoup la phrase “le phénomène s’ accueil, se recueil, se dépose et se déploie” . Nous ouvrons la porte vers le changement mais la personne doit faire le chemin pour traverser cette porte.
je pratique la sophrologie en individuel et en groupe, j’aime beaucoup votre expression:
” le phénomène s’accueille, se recueille, se dépose et se déploie”
la vivance d’une personne exprimée dans un groupe va résonner pour d’autres personnes, ce qui permet
de faire prendre conscience ou de dévoiler des résonances, des ressentis qui auraient peut-être pas été perçues pour d’autres.
l’alliance dans le groupe se fait au fil des séances, et la confiance de l’expression se met en place petit à petit.
un grand merci pour toutes ces précisions si bien décritesJe retiens cela : le phénomène s’accueille, se recueille , Se dépose, se déploie.
La posture du sophrologue est bien décrite avec la création de l’alliance et le simple fait qu’il montre le chemin et met la personne dans une posture responsable..
Je retiens : la façon douce et discrète de mettre la personne dans son rôle de sujet sans que celle-ci s’en rende compte dès le premier exercice.
J’ai apprécié de soit abordé la posture du sophrologue lors du dialogue post-sophroniqueBonjour et merci pour ce partage qui me permet de faire les liens entre les pièces de puzzles dans la tête ! Passionnant !
Je travaille en cabinet privé et je débute des groupes accompagnement à la naissance (qd cela sera possible)
Etre le sujet qui se prend pour objet d’expérience en faisant la réduction , attitude phénoménologique. Sujet responsable, cela me parle beaucoup vraiment. Sujet objet sujet, tout se dévoile, s’imprime, s’éclaire. Poser sa singularité dans la groupéité, c’est vraiment cela. J’accueille ce que vous expliquez ! MerciJe reçois actuellement exclusivement en individuel et la notion de qualité relationnelle me conforte vis à vis de cette alliance que je sens se mettre en place dès la 1ère séance (ou pas! Mais c’est très rare) et qui nous porte tout le long du protocole. Je ne me sens pas encore prête à animer des séances de groupes. J’ai besoin de grandir encore.
J’interviens à la fois en cabinet et dans des groupes ouverts. je laisse toujours un temps en début et en fin pour que les personnes s’expriment. les personnes dans les groupes ont là depuis quelques années déjà, elles se connaissent et l’écoute est acquises,ainsi que la bienveillance et le non-jugement.
Je reçois en séance individuelle en tant que sophrologue et j’ai pratiqué en groupe.
J’aime beaucoup l’idée que ” le phénomène s’accueille, se recueille, se dépose et se déploie”, l’image me parle vraiment.
Utiliser le “nous” et la notion de “sujet-objet-sujet” sont les deux choses que je surligne pour développer encore mieux l’alliance.Je travaille principalement avec des groupes fermés. J’aime l’idée de la perception alchimique du processus de transformation lors du dialogue post-sophronique dans la singularité et la groupéïté. Merci
Exerçant en cabinet libéral, principalement en séances individuelles, je me reconnais dans la posture du sophrologue : ” cette personne ne s’imagine pas être capable de faire quelque chose pour elle-même, et le sophrologue va déstabiliser cette croyance”.
Quelle richesse ! Merci beaucoup.
Je travaille avec des groupes ouverts. Pas évident de poser sa singularité dans ces conditions.
Il est vrai que parfois la qualité du silence est presque un recueillement.Merci pour ce partage, ces mots que j’ai déposés sur un carnet, comme l’alchimie. J’ai apprécié ce rappel, l’alliance et la qualité d’écoute sont pour moi évidemment indispensables.
Merci beaucoup. J’anime un groupe en entreprise, les personnes travaillent les unes avec les autres, parfois existent des liens hiérarchiques et elles ne veulent pas de dialogue post-sophronique qui dévoile trop d’eux-mêmes. J’ai proposé par écrit mais ils et elles sont “débordé.e.s”….comment faire ?
Des mots mis sur ce que je ressens dans la phéno des groupes parfois . merci.
Notamment cette alchimie, cette transmutation perçue par moi même mais aussi par les participants c’est comme si le temps était suspendu et cette transmutions est tellement belle, que l’on se tait : ce silence religieux.Je retiendrai aussi : la phéno s’accueille, se recueille, se dépose, se déploie
Nous sommes des montreurs de chemin
Je travaille en individuel et aussi avec des groupes ( dans une MJC, en entreprise )
Je travaille surtout en individuel mais j’espère pouvoir développer d’avantage la pratique en groupe; J’ai beaucoup aimé lorsque vous avez parlé sur l’alliance de l’attitude existentielle, que c’est difficile de savoir qui apporte à l’autre.
Merci pour vos explicationsBonjour, je pratique la sophrologie en groupe et en individuel.
L’alliance est importante dans l’accompagnement ainsi que la qualité d’écoute et ce qui me plaît dans ce métier c’est comme vous l’avez dit : on montre le chemin mais on ne fait pas le chemin à la place de la personne. C’est ce qui me paraît le plus important dans la posture du sophrologue, ne pas conseiller, être dans l’accueil et laisser la personne cheminer à son rythme. MerciJe pratique la sophrologie en individuel et en groupe.
Pour ce qui est de la singularité du dialogue post-sophronique, je dirais qu’il est important pour donner du sens (= le sens propre à chaque participant) au vécu de l’expérience d’une séance.
Quant à l’alliance, je dirais est essentielle pour s’autoriser à parler de son vécu et de son intime : elle est l’une des clés de l’accompagnement et, pour moi, passe par l’écoute active et le cadre bienveillant, de non-jugement, posé dès les premières séances.
Et pour ce qui est de la groupéité, je dirais que c’est un élément qui peut être puissant quand il est bien construit. Il donne alors accès à la puissance que peuvent avoir les partages d’expériences vécues, en exposant à la fois toutes les similitudes et les différences qui sont les richesses apportées par chacun
Merci pour cette autre vidéo.riche d’informations.
Bien à vous.
Sabine
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