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124 réponses à “Aller plus loin : Violence et Maternité”
C’est un sujet qui laisse sans voix. Il est si pénible d’imaginer subir des violences au moment le plus important de la vie d’une femme. Tout aussi difficile pour la femme d’en parler. Nous nous devons d’être d’autant plus vigilante au moindre signe ou comportement. Merci de nous éclairer sur la façon d’agir, c’est une situation des plus délicates.
Quelle terrible réalité, je n’avais pas idée de cette ampleur.
Cela a en effet malheureusement sa place dans cette formation…Merci pour ce live très intéressant, les chiffres sont effroyables !
Merci pour ce partage et cette sensibilisation aux femmes victimes de violence. Cela nous donne des pistes d’accompagnement très utiles.
Merci pour le partage de ce live qui permet d’avoir des pistes d’accompagnement et des données claires concernant les femmes victimes de violence pendant la grossesse.
Etre sensibilisée à la violence pendant la grossesse est très important. Même si cela fait froid dans le dos…
A nous de nous adapter aux différents parcours en proposant le protocole spécialement dédié à la périnatalité dans les meilleurs conditions possibles et en donnant le meilleur de nous même.
Faire en sorte que la femme enceinte puisse parvenir à un cheminement existentiel qui lui permettra d’éveiller sa conscience, de prendre soin de son corps et de son mental tout en renforçant ses capacités.
Elle seule saura si elle est prête à entreprendre des démarches pour faire évoluer ses conditions de vie, Notre guidance pourrait lui permettre ce cheminement.Merci pour ces informations, ces chiffres, et les pistes données pour aider la femme.
Merci pour ce partage. Les chiffres font froid dans le dos.
Je ne m’attendais pas à des pourcentages aussi importants !!!!!
Merci pour toutes ces infosMerci pour ce complément d’informations très intéressant et important de le savoir!
Merci pour cette sensibilisation supplémentaire.
Je n’avais pas du tout connaissance des ces chiffres, c’est terrible. Merci d’avoir partagé cette vidéo Charlotte, c’est effectivement très important que nous soyons au courant et sensibilisés à cela.
Ca me retourne le bide. Mais il est bon de rappeler que chacun doit suivre son chemin à son rythme et que vouloir lui faire emprunter à marche forcée est sans doute tout aussi dévastateur. Les phénomènes d’emprise sont bien réels, donc…prudence.
Vous n’abordez pas en revanche les violences qui peuvent viser l’enfant après la naissance, qui lui n’a aucun libre arbitre ni capacité à prendre conscience qu’il doit partir. Cela m’interroge sur ce qu’il convient de faire (dénoncer les faits ou non?) non pas en tant que Sophrologue mais en tant que citoyenne tout simplement.Bonjour Elise
Je n’aborde en effet pas les violences faites aux enfants parce que, de manière générale, dans un contexte de violence conjugale, il n’y a pas de violence sur enfant sans violences sur la mère. Tout commence toujours par de la violence sur la mère (et celle-ci va généralement “accepter” cette violence justement pour protéger l’enfant). Donc, la violence sur enfant est sous-entendue dans tout mon propos mais vous faites bien de me le faire préciser.
(Je précise également que même s’il n’y a pas de “violences sur enfants”, le fait d’assister et de vivre dans un contexte de violences conjugales est déjà un critère en soi qui place l’enfant comme une victime de cette violence).La question de dénoncer est très sensible, autant pour la mère que pour l’enfant en danger.
Si la question reste délicate pour la mère (qui est majeure et responsable), je crois fondamentalement que, si nous apprenons l’existence de violences commises sur un enfant, nous devrions protéger l’enfant en faisant un signalement. Mais ce n’est que mon avis et nous devons également être conscientes de ce que cela implique : un placement de l’enfant dans le meilleur des cas, mais parfois juste une suspicion sans effet qui va peut-être être à l’origine d’encore plus de violences. La machine judiciaire de protection de l’enfance n’est malheureusement pas aussi efficace qu’elle le devrait… Toutefois, ne rien dire nous mettrait également dans une posture de “non-assistance à personne en danger”… Bref, ce n’est pas simple. Marche à suivre ici : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F781
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