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124 réponses à “Aller plus loin : Violence et Maternité”
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C’est un sujet qui laisse sans voix. Il est si pénible d’imaginer subir des violences au moment le plus important de la vie d’une femme. Tout aussi difficile pour la femme d’en parler. Nous nous devons d’être d’autant plus vigilante au moindre signe ou comportement. Merci de nous éclairer sur la façon d’agir, c’est une situation des plus délicates.
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Quelle terrible réalité, je n’avais pas idée de cette ampleur.
Cela a en effet malheureusement sa place dans cette formation… -
Merci pour ce live très intéressant, les chiffres sont effroyables !
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Merci pour ce partage et cette sensibilisation aux femmes victimes de violence. Cela nous donne des pistes d’accompagnement très utiles.
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Merci pour le partage de ce live qui permet d’avoir des pistes d’accompagnement et des données claires concernant les femmes victimes de violence pendant la grossesse.
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Etre sensibilisée à la violence pendant la grossesse est très important. Même si cela fait froid dans le dos…
A nous de nous adapter aux différents parcours en proposant le protocole spécialement dédié à la périnatalité dans les meilleurs conditions possibles et en donnant le meilleur de nous même.
Faire en sorte que la femme enceinte puisse parvenir à un cheminement existentiel qui lui permettra d’éveiller sa conscience, de prendre soin de son corps et de son mental tout en renforçant ses capacités.
Elle seule saura si elle est prête à entreprendre des démarches pour faire évoluer ses conditions de vie, Notre guidance pourrait lui permettre ce cheminement. -
Merci pour ces informations, ces chiffres, et les pistes données pour aider la femme.
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Merci pour ce partage. Les chiffres font froid dans le dos.
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Je ne m’attendais pas à des pourcentages aussi importants !!!!!
Merci pour toutes ces infos -
Merci pour ce complément d’informations très intéressant et important de le savoir!
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Merci pour cette sensibilisation supplémentaire.
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Je n’avais pas du tout connaissance des ces chiffres, c’est terrible. Merci d’avoir partagé cette vidéo Charlotte, c’est effectivement très important que nous soyons au courant et sensibilisés à cela.
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Ca me retourne le bide. Mais il est bon de rappeler que chacun doit suivre son chemin à son rythme et que vouloir lui faire emprunter à marche forcée est sans doute tout aussi dévastateur. Les phénomènes d’emprise sont bien réels, donc…prudence.
Vous n’abordez pas en revanche les violences qui peuvent viser l’enfant après la naissance, qui lui n’a aucun libre arbitre ni capacité à prendre conscience qu’il doit partir. Cela m’interroge sur ce qu’il convient de faire (dénoncer les faits ou non?) non pas en tant que Sophrologue mais en tant que citoyenne tout simplement.-
Bonjour Elise
Je n’aborde en effet pas les violences faites aux enfants parce que, de manière générale, dans un contexte de violence conjugale, il n’y a pas de violence sur enfant sans violences sur la mère. Tout commence toujours par de la violence sur la mère (et celle-ci va généralement “accepter” cette violence justement pour protéger l’enfant). Donc, la violence sur enfant est sous-entendue dans tout mon propos mais vous faites bien de me le faire préciser.
(Je précise également que même s’il n’y a pas de “violences sur enfants”, le fait d’assister et de vivre dans un contexte de violences conjugales est déjà un critère en soi qui place l’enfant comme une victime de cette violence).La question de dénoncer est très sensible, autant pour la mère que pour l’enfant en danger.
Si la question reste délicate pour la mère (qui est majeure et responsable), je crois fondamentalement que, si nous apprenons l’existence de violences commises sur un enfant, nous devrions protéger l’enfant en faisant un signalement. Mais ce n’est que mon avis et nous devons également être conscientes de ce que cela implique : un placement de l’enfant dans le meilleur des cas, mais parfois juste une suspicion sans effet qui va peut-être être à l’origine d’encore plus de violences. La machine judiciaire de protection de l’enfance n’est malheureusement pas aussi efficace qu’elle le devrait… Toutefois, ne rien dire nous mettrait également dans une posture de “non-assistance à personne en danger”… Bref, ce n’est pas simple. Marche à suivre ici : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F781
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Merci beaucoup pour cet enseignement, je suis choquée par les violences qui se révèlent pendant la grossesse, merci d’avoir rendu mon oreille attentive à ces violences, j’ai du coup envie d’en savoir plus…merci de votre tel respect de l’autre vous êtes un exemple.
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Merci beaucoup pour ces informations primordiales
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Merci pour cette vidéo sur les violences qui est très instructive
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Merci Charlotte pour cette sensibilisation sur les violences faites aux femmes 🙁
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Merci pour ce partage. C’est important d’être sensibilisée et de savoir comment réagir pour les aider au mieux.
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Merci pour toutes ces informations. Il est effectivement très important d’être sensibilisé à ce sujet.
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ça fait froid dans le dos mais ça fait partie de la réalité. Merci pour ces infos
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Merci Charlotte pour cette sensibilisation sur les violences faites aux femmes, triste réalité !
Merci d’ avoir insisté sur l’ importance de notre positionnement en tant que sophrologue pour interagir dans de telles situations -
Merci Charlotte, pour toutes ces explications, un triste sujet mais une réalité malheureusement .
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merci pour ses faits et cette réalité, même pas soupçonner pour ma part.
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Merci pour cette prise de conscience qu’en effet les femmes enceintes peuvent aussi être confrontées à la violence, on pense trop souvent à tord que la grossesse est un merveilleux moment mais différents paramètres peuvent venir entacher cela, les violences, les symptômes et maux de la grossesse et bien d’autres… Merci pour cet ajout de vidéo supplémentaire si importante.
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Merci pour cet ajout oh combien important. Le sujet n’est pas simple et c’est très juste de votre part d’avoir ajouté que la dénonciation des violences n’est pas forcément simple…gare à la retraumatisation des femmes, les récits détaillées à donner à la justice sont de nouveaux traumas qui s’ajoutent.
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Merci pour toutes ces infos supplémentaires.
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Merci beaucoup très intéressant
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Merci pour ce live additionnel, effectivement c’est important de sensibiliser sur ces cas de violences qui ne sont pas des cas isolés malheureusement.
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Merci Charlotte pour cette sensibilisation car pour ma part, je n’avais pas forcément pris conscience que ces violences touchaient tant de femmes enceintes.
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merci Charlotte pour toutes ces informations, tristes malheureusement mais réelle.
La sensibilisation est essentielle. -
Merci beaucoup pour ce partage Charlotte
c’est une réalité tellement triste, en effet, il est plus juste de rester dans notre posture de sophrologue et non de sauveur …
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Des chiffres qui font froid dans le dos. Notre posture est d’autant plus importante dans l’accompagnement de ses femmes en souffrances.
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Merci de nous avoir sensibilisé à ce sujet important.
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Merci pour ce live complémentaire. Je comprend l’importance d’être sensibilisée à ce sujet pour accompagner au mieux les femmes qui subissent des violences.
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Merci pour ces données complémentaires. Chiffres effrayants en effet, et merci des pistes de solutions pour accompagner ces femmes.
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Sujet très délicat effectivement et pourtant bien réel!1 femme sur 10!Je n’avais pas conscience que la violence était aussi présente chez autant de femmes enceintes.Merci de nous donner ces informations et de nous éclairer sur notre façon de nous positionner en tant que sophrologue face a une situation de violence lors de notre accompagnement à la naissance..
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Sujet terrifiant mais néanmoins essentiel.
J’aime l’idée de proposer notre protocole pour que les femmes puissent travailler “en sous-marin”.
Merci pour ce partage. -
Merci de ces précisions et de rappelez qu’il y a des femmes qui subissent des coups et du harcèlement tous les jours et là enceinte, c’est terrible!!
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C’est très intéressant d’avoir conscience de ces données, même si nous sommes maintenant revenus dans une situation de vie “normale” par opposition au confinement. Cependant, les violences faites aux femmes, et en particulier aux femmes enceintes n’ont pas disparu.
Je n’avais pas imaginé en participant à cette masterclass avoir à penser à cela… Même si, et c’est très clair, nous devons faire ce que nous savons faire: sophrologue et pas autre chose sauf si notre formation initiale nous le permet.
Je vois tout à fait le rôle en “sous-marin” du protocole d’accompagnement de la maternité. J’ai ben aimé cette image 😊
Merci pour ces éléments. -
Une thématique extrêmement intéressante pour nous éclairer sur ces violences qui restent un sujet tabous et très délicat
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Merci pour ce live complémentaire. Les chiffres sont terribles. Je n’avais pas vu le lien entre grossesse et violences. Maintenant, je le vois beaucoup mieux. Je pense que je vais suivre quelques enseignements complémentaires pour être au clair avec cela. Je retiens bien qu’il s’agit du chemin existentiel de la femme et que ce n’est pas à nous de lui faire subir d’autres violences par une prise de position trop jugeant.
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Il est important pour nous, sophrologues, de savoir à quoi nous pouvons être confrontés et malheureusement la violence fait partie de cette réalité. Comme il a été dit dans le live, nous sommes des accompagnants, nous ne pouvons pas donner des solutions ni même résoudre les problèmes en un claquement de doigts même si parfois on aimerait. Mais, nous sommes là pour guider, soutenir, écouter et permettre à ces femmes de trouver la force en elles, les capacités d’affronter les difficultés lorsqu’elles se sentiront suffisamment sécures pour le faire.
Merci pour cette master class, merci pour cette vidéo. Tout ce travail m’a aidé à prendre conscience de beaucoup de choses et j’espère devenir la sophrologue que j’aimerais rencontrer en extérieur pour moi-même!
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Merci pour ces éléments en plus.
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Merci pour toutes ces informations et ces chiffres qui dépeignent une terrible réalité que je soupçonnais mais dont je n’avais pas conscience de l’ampleur. Je vais probablement suivre le MOOC qui est conseillé dans l’un des commentaires.
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Merci, ces chiffres sont assez glaçants mais votre intervention très claire en effet.L’indice d’une seule adresse mail pour le couple m’avait mis la puce à l’oreille pour une cliente dont je sentais qu’elle subissait de la violence psychologique de la part de son conjoint.
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Merci pour ce partage de live, les chiffres parlent d’eux mêmes et on comprend mieux l’importance de s’informer sur le sujet et d’en être conscient.
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Des chiffres très éclairants qui incitent à mobiliser toute notre attention.
Merci d’avoir insisté sur l’importance de notre positionnement en tant que sophrologue pour interagir dans de telles situations. -
Merci pour ce partage, avez-vous des conseils pour se former sur les violences ? Formations, ouvrages, etc.
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Bonjour Cécile
Voici les liens que je recommande :
– le mooc “Violences faites aux femmes” ici : https://www.pns-mooc.com/fr/mooc/14/presentation pour vous informer et sortir des à priori.
– La masterclass de Nathalie Riesen :”Sophrologie et Relations toxiques”L’association “nous toutes” propose également des formations en ligne de manière régulière.
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Merci pour ces informations essentielles malgré la triste réalité .
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les chiffres sont effarants..
Merci pour ce partage -
En effet , même si le sujet est dur , il est important d’en prendre conscience .
quand j’apprends la hauteur de ces chiffres , je suis stupéfaite.
Il semble logique de se préparer et de se former à l’éventualité de se retrouver un jour face à cette problématique .Il est vrai que pour continuer à se sentir professionnelle face à une telle situation , une formation peut être un vrai atout . -
merci pour ces infos supplémentaires qui malheureusement assombrissent le tableau mais qu’il faut garder à l’esprit.
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Merci Charlotte pour toutes ces informations et pour cette sensibilisation particulière sur les violences faites aux femmes enceintes
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Merci Charlotte pour ce partage essentiel !
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merci d’aborder cette thématique que l’on envisage pas forcément
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Merci Charlotte pour ce live partagé. Je prends conscience seulement là ce ces chiffres qui font froid dans le dos… Effectivement, je serais sûrement amenée à croiser la route de ces femmes et je te remercie de m’y avoir sensibilisé.
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Merci Charlotte pour cette réalité que je n’avais pas du tout mesurée … je ne vois pas vraiment comment on peut faire travailler le schéma corporel à une femme qui a reçu des coups ; comment on peut lui faire travailler la sérénité alors qu’elle-même et son bébé sont en danger … la question mérite en effet d’être creusée…
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Merci Charlotte pour cet entretien, pour ce contenu qui est tout à fait sa place dans cette masterclass
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Merci pour le partage de cette triste réalité. Et de nous aider à savoir comment se positionner au mieux en tant que sophrologue afin de pouvoir au mieux aider ses femmes.
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C’est un point très important que tu as soulevé, et c’est vrais que la femme qui subit des violences a son propre cheminement, qu’elle n’est pas toujours prête à changer, et la situation est loin d’être simple, il y a son histoire personnelle, celle de son compagnon, et leur histoire familiale,
Comptes-tu proposer une masterclass sur le thème de la violence conjuguale et précisement autour de la maternité?-
Bonsoir Pascale
Il y a la masterclass de Nathalie sur les Relations Toxiques qui aborde cette thématique. Elle est vraiment spécialiste de ce sujet. La masterclass est ici : https://bienrelax.com/product/formation-sophrologie-relations-toxiques/
Sinon, je recommande vivement de faire le mooc sur les violences faites aux femmes qui est vraiment éclairant. (Je dois avoir donné le lien plus bas dans les commentaires. Sinon il est dans le groupe FB des masterclass).
Bonne fin de soirée… et fin de masterclass 😉
Charlotte
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Merci Charlotte, belle journée
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Merci pour toutes ces précisions indispensables à ces femmes.
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quelle réalité … toutes ces données, infos, vont me demander du temps pour être assimilées et intégrées à mes pratiques et à mon projet d’installation. Merci pour cette sensibilisation
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Merci Charlotte pour nous rappeler cette réalité et surtout pour nous aider à savoir “quoi faire” si tel cas se présentait.
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Merci Charlotte pour toutes ces précisions, articles du code pénal, et de nous rappeler à quel point notre rôle de sophrologue peut leur apporter un cheminement.
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Merci Charlotte pour ce témoignage triste réalité
Notre rôle de sophrologue est précieux afin d’accompagner au mieux ces femmes en fonction de leurs propres souhaits -
Merci pour cette vidéo, toujours très claire.
Je comprends mieux l’importance de bien garder en tête que la grossesse est un facteur de risque de violence, d’en repérer les signaux, tout en restant à sa place : celle du sophrologue, d’accompagner la grossesse (quoi qu’il se passe !) si c’est la demande de la femme et en même temps de laisser agir la sophro : éveiller et d’élargir la conscience ! -
Je n’avais pas du tout pensé à cette approche et je suis bien contente de ce sujet avec des informations essentielles et très bénéfiques
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Merci pour cette vidéo qui nous fait prendre conscience concrètement de cette triste réalité et de nous éclairer sur notre posture de sophrologue face à tout cela.
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merci
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Merci Charlotte de nous faire prendre conscience de cette terrible réalité et de rappeler que c’est dans une situation de crise que la violence émerge et de rappeler que c’est une crise pour les futurs parents…
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Je n’avais pas du tout conscience du lien entre grossesse et violences..; Merci Charlotte pour ces éclairages.
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Merci Charlotte, je n’avais pas du tout intégré que tant de femmes enceintes subissaient des violences, c’est terrible.
Le rôle du sophrologue dans ces cas me semble clair et je vais faire en sorte de creuser le sujet pour accompagner au mieux les femmes concernées par cette problématique que je croiserai.
Une question: dans le cas où la femme se confie sur ce qu’elle subit mais qu’elle n’est pas prête à faire le pas de la dénonciation, peut-on orienter les séances spécifiquement ( avec son accord bien sûre) vers une préparation pour qu’elle aient les capacités nécessaires à vivre la dénonciation avec les différentes démarches lourdes et tout ce qui va en découler? ou doit-on la laisser cheminer seule vers cette grande étape?
Merci à vous-
Bonjour Cécile
Pour répondre à votre question, c’est simple : QUELLE EST LA DEMANDE DE LA FEMME ?
Si elle vous dévoile cela au cours d’un accompagnement de la naissance, quelle est sa demande ? D’être accompagnée pour cette naissance ou d’être accompagnée pour son travail existentiel ?
C’est elle qui décide, pas nous.
Nous pouvons lui dire que si elle souhaite être accompagnée sur ce chemin existentiel, nous pouvons le faire. Mais si elle vous a d’abord contactée pour une naissance, c’est à elle de décider ce qui est prioritaire pour elle. Et de ce fait, vous pouvez soit continuer l’accompagnement naissance et garder une porte ouverte pour un chemin existentiel, soit basculer sur un chemin existentiel et arrêter l’accompagnement naissance. C’est elle qui décide.Après, il y a aussi la réalité objective : elle va accoucher. Donc, gardez cette temporalité figée en tête dans vos propositions, que vous ne bacliez pas l’un des accompagnements en perdant les bénéfices de l’autre. Vous voyez ce que je veux dire ?
L’accompagnement de la naissance tel que je le propose dans mon protocole EST un accompagnement existentiel de la naissance. Cela peut déjà changer la donne. Parce qu’elle va prendre conscience de ses capacités, parce qu’elle va changer son regard sur le futur.
Mais ne mélangez pas un accompagnement naissance et un accompagnement de l’emprise. C’est trop et vous risquez juste de la perdre en cours de route.
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Très éclairant et instructif et effectivement nécessaire pour accompagner les femmes enceinte. Merci Charlotte.
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Encore un grand merci de parler de cette question que je ne m’étais pas posée dans cette master class, en tout cas pas celle-ci, j’ai pensé à un moment aux femmes violées, comment je pouvais les accompagner… mais comme vous le dites très bien dans ce live en faisant notre travail existentiel. Renforcer les capacités, les valeurs, et notre méthode est idéale pour cela, faisons confiance en la méthode et ayons confiance en nos accompagnements et sinon passons la main à un autre professionnel si cela nous est impossible par rapport à notre réalité objective!
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Merci Charlotte pour toutes ses informations
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Merci Charlotte pour cet ajout sur les Violences faites aux femmes qui rend cette Masterclass déjà si complète, d’autant plus passionnante.
C’est important d’avoir pu aborder ce sujet si délicat et de connaître les articles de loi mais surtout de constater que ce sujet est tellement délicat qu’il ne peut y avoir une réponse toute faite et une solution toute faite, chaque violence et chaque situation ayant ses propres problématiques, chaque future maman ses problématiques.
Personnellement j’ai entendu ma grand mère paternelle me parler des violences subies lorsqu’elle était enceinte, elle a heureusement trouver le courage de quitter son conjoint à l’époque pour repartir à zéro et travailler par la suite dans une maternité puis refaire sa vie de manière harmonieuse avec un conjoint adorable .Ce sujet me donne envie de suivre une formation spécifique. J’avais déjà été attirée par la Masterclass de Nathalie Riesen et là cela me conforte .
Tout doit être envisagé : la notion de précarité de la femme, la notion de l’emprise de son bourreau, la peurqui peut annuler toute possibilité d’avancer sont autant de paramètres à peser dans la balance. Notre accompagnement dans le chemin existentiel sans la position de sauveur me parle beaucoup.
MERCI Charlotte pour votre engagement et votre passion dans ce métier -
Merci pour cet ajout, qui a été très fort pour moi ! Pour moi la maternité c’était juste quelque chose de magnifique, et j’avoue que je ne pensais pas à ce côté là ! Mais alors pas du tout ! Je n’aurais jamais imaginé ces chiffres ! Et pas du tout que la grossesse pouvait être un révélateur, un déclencheur ! Donc merci pour cette connaissance que vous ajoutez !
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Merci d’avoir partagé tout cela avec nous
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Merci, j’ai déjà eu l’étrange sensation d’avoir eu à faire à une cliente qui vivait des violences psychique avec son conjoint (sans que ce soit clairement énoncé), je n’ai pas su quoi faire, je m’était effectivement concentré sur le fait de renforcer ces capacités, et aussi je l’avait invité se faire accompagner médicalement parlant. Merci parce que ce sujet est valable dans différent type d’accompagnement !
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Merci pour ce point eclairant sur un thème difficile pour les victimes… et les sachants.
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Merci d’avoir abordé ce sujet ! Un nouvel éclairage, très intéressant du point de vue d’un sophrologue…. Merci
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Je travaille dans le domaine de la protection de l’enfance, et en effet le thème de la violence est assez difficile à aborder avec les personnes vivant ou ayant vécu de la violence…. Dans mon rôle d’IDE, nous pouvons les accompagner dans la démarche et leurs donner l’information pour faire la démarche, être un soutien mais nous ne pouvons rien faire sans son accord….
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Rebonjour
Je viens à présent d’écouter ton intervention sur le thème des violences faites aux femmes enceintes pendant le confinement. Merci pour ce rappel et infos très importantes, terrifiantes. J’ai bien à l’esprit que la violence peut se trouver hélas de partout et que nous pouvons indirectement en être le témoin. L’aide et le sauvetage à entreprendre sont subtiles et délicates
”Ne pas nuire”c’est déjà le premier principe à adopter avant de faire du bien, et peut-être son devoir. Cela me donne l’idée de me former dans ce domaine également afin d’aider les personnes confrontées à la violence. Élargir mon domaine de connaissances et de compétences, et pouvoir prendre du recul …si je suis confrontée à ces situations inhumaines, terribles, stressantes. Rester professionnelle et pleine d’humanité en toute circonstances.
Merci infiniment pour tous ces apports concernant la maternité et qui ouvrent ma porte, des portes sur des envies pleines d’enthousiasme. Celle de progresser, d’apprendre et de comprendre encore plus profondément tout ce qui est relatif à l’humain.
Quel est le sens de mon existence ?
-“En accord avec mes valeurs, être profondément humaine. Donner ma part d’humanité et d’amour à ma manière, selon mes capacités en respectant mon être et mes limites, à tout ceux qui en ont besoin.”-
Hello Michèle
Si tu souhaites te former, voici des pistes qui peuvent t’aider :
– le mooc Violences faites aux femmes: https://www.pns-mooc.com/fr/mooc/14/presentation
– la masterclass de Nathalie Riesen sur les relations toxiquesEn terme de lectures, tu peux te tourner vers ceux qui étudient plus généralement la violence systémique faites aux femmes pendant la grossesse et le post-partum avec les livres de Judith Aquien et de Illena Weizmann. Ils sont éclairants !
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Bonjour Charlotte,
Tout ce que tu dis est très clair pour moi, et j’en sens l’évidence ; j’apprécie de l’entendre formulé.
Tout ce que nous vivons n’est pas banal et chaque personne est précieuse. Donc ne jamais banaliser… Respect de la dignité = respect de l’autre dans son individualité. Les mots prononcés sont puissants, notamment lors de moments cruciaux comme celui de la préparation à l’accouchement. Les mots peuvent être bienfaisants ou être des erreurs très conséquentes. Il y a parfois des sortes de ”lâcher” de paroles très néfastes venant d’intervenants stressés, tendus, pressés, surmenés…et en conscience davantage de la technique que de la manière d’être.
Nous avons une première responsabilité, celle d’être déjà au clair avec nous même, consciente et ensuite très présente spécifiquement pour la personne, car c’est elle qui a la place à ce moment là et pas nous !
Nous devons à chaque fois, après chaque soin, faire en nous les deux phénomènes de réduction, afin d’avoir le regard neuf et attentif et ouvert à l’autre sans interférences avec son propre contenu. Être présente sans induire et être capable de se mettre en second plan. Les soignants, les accompagnateurs, nous avons besoin de chaque jour nous laver de nos peurs, de nos passés négatifs et de nos souffrances, afin de bien accompagner et être le meilleur professionnel possible, responsable et… joyeux. -
je suis abasourdie ! merci d’avoir pris la parole sur ce sujet.
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Je reste sans voix.
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ces chiffres sont aussi parlants que glaçants. Merci pour ce bonus qui est très éclairant.
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Sujet sensible et très intéressant encore merci de nous la faire partager Charlotte
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Merci de votre partage et de toute ces informations sur ce sujet tellement délicat… et de notre posture face à ces situations ! en effet, j’aurai tendance à vouloir “sauver” la femme ! Merci pour toutes vos consignes de vigilance, qui parfois en voulant faire du “bien” on peut aggraver certaines situations.
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Merci pour cette sensibilisation qui malheureusement est de plus en plus d’actualité, merci pour ce partage d’expérience professionnelle et vos conseils. Rester dans notre rôle et nos compétences d’accompagnement bienveillant.
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Difficile de laisser une femme dans cette situation et se contenter de la guider vers son propre cheminement quand sa vie est en danger, même si je comprends l’enjeu pour elle d’être maitre de sa décision. Je ressens une grande ambivalence de sentiments à ce sujet, et une peur d’être un jour confrontée à cela. Poursuivre l’accompagnement avec un sentiment d’impuissance malgré tout? Je pense que comme nombreux sophrologue, l’empathie est présente en nous et aucune des 3 solutions que nous avons ne semble idéale…
Pouvons nous informer la personne, si une bonne alliance s’est faite, que la loi nous oblige à dénoncer la situation, afin de la préparer ? Sans toutefois réagir immédiatement , tenter accélérer son processus ?-
Bonjour Bénédicte
Comme vous le dites, aucune des 3 solutions n’est idéale.
Vous pouvez tout à fait informer la personne que la loi vous oblige à dénoncer les faits, mais posez-vous la question : est-ce bien pour la femme ? Ne risque-t-elle pas de se fermer ? A vous, mais peut-être également aux autres professionnels qui pourraient l’aider ? C’est vraiment très complexe et je ne crois pas qu’il y ait une bonne solution.
Peut-être y a-t-il également une forme d’urgence à prendre en compte : est-elle en danger vital immédiat ? Si oui, en effet, je pense qu’il faut intervenir. Si ce n’est pas le cas, que c’est une violence “connue” et “stabilisée” si vous me permettez ces expressions, qu’est-ce qui est le pire : la laisser vivre cela ou l’en sortir de force, au risque de perdre sa confiance, voire de la mettre encore plus en danger ? Il est tout à fait possible qu’elle retourne malgré tout chez son conjoint, piégée par l’emprise. Rien n’est simple ou évident.
Peut-être l’orienter vers une association plutôt que de dénoncer…Je suis désolée, je n’ai pas de réponse certaine à vous proposer.
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Merci pour cet apport supplémentaire très intéressant.
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Merci pour ce live sur la maternité et les violences. J’ai moi-même accompagné une femme qui subissait des violences et elle m’avait raconter que cela avait démarré au cours de sa 1ere grossesse. Au moment de cet accompagnement, elle venait de se séparer de son bourreau, mais il était encore très présent. Elle a pu le mettre à distance avec le temps et un grand soutien de sa famille et après une décision de justice. Mais elle reste marquée par ce qu’elle a vécu. aujourd’hui je ne la suis plus, j’ai quelques nouvelles, et cela reste encore très fragile même après 5 ans de séparation. L’emprise est tellement importante durant toutes ses années de mariage…
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Bonjour Elisabeth
Je vous remercie pour ce partage d’expérience.
En effet, la reconstruction et la liberté prennent beaucoup de temps…
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Merci pour ce petit supplément sur les violences.
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Merci beaucoup Charlotte, ces chiffres me donnent froid dans le dos. Je serai vigilante lors de mes accompagnements,
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Bonjour, Ce live soulève une question. Du coup avez vous souvent une demande du couple qui veut assister à 2 aux séances? Pouvons nous refuser la présence du conjoint avec diplomatie (sauf en séance 3)?
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Bonjour Nathalie
Il m’arrive en effet d’avoir des couples qui demandent à suivre les séances ensemble, mais jusqu’à présent, cela n’a jamais concerné des couples où la violence était présente. La sophro a un côté plus “gadget” et moins risqué aux yeux des hommes violents, donc ils surveillent moins.
Refuser la présence du conjoint en séance individuelle est plus délicat qu’en groupe. En groupe, je demande toujours l’accord de toutes les femmes pour laisser venir un conjoint car elles doivent se sentir en sécurité. Je n’ai que très rarement eu des réponses négatives (et c’est déjà une information en soi sur ce que peut vivre cette femme, soit auprès d’un homme, soit dans sa confiance en elle).
En individuel, c’est plus délicat. D’autant que s’ils commencent en couple, ce n’est que votre intuition qui vous fera percevoir quelque chose “au-delà de la normalité”, car ils ne vous livreront rien. Si par contre, la femme commence seule, se livre et vous dit ensuite que son conjoint veut s’imposer, vous pouvez là essayer de creuser : souhaite-t-elle ou non sa présence ? Et là, deux choix se présentent à vous :
– soit c’est impossible pour vous (votre réalité objective) et je vous invite à être directe : c’est un accompagnement pour les futures mères et c’est tout, au risque de casser l’alliance.
– soit vous accompagnez cette femme selon sa réalité objective, avec cette emprise, en acceptant qu’elle est sur son propre chemin de conscience et que vous semez des graines.Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, c’est tellement délicat !
Il serait intéressant d’avoir l’avis de Nathalie Riesen, notre spécialiste pour les Relations Toxiques.
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Merci d’avoir intégré cette problématique dans cette masterclass qui la rend d’autant plus riche et complète. En qualité d’éducatrice spécialisée travaillant dans la protection de l’enfance, je peux témoigner de l’apparition des violences ou l’augmentation de celle-ci, au cours de la grossesse. Tout ce qui se joue au cours de cette période de vie est tellement sensible et dépasse la conscience que l’on a de la réalité. J’entrevois aussi l’importance en tant que sophrologue de travailler en partenariat avec les services de périnatalité et psychologue, psychothérapeute.
J’apprécie votre manière d’aborder toutes les questions abordées lors de cette masterclass, avec tellement de subtilité et de précision. Merci! -
Merci pour cette sensibilisation. Je dois dire que je n’imaginait pas une telle ampleur des violences pendant la grossesse. Je pense qu’il est aussi utile d’avoir un réseau solide pour pouvoir partager ses doutes quand cela est nécessaire.
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Merci pour ce live très intéressant et ce rappel de la juste place à occuper en tant que sophrologue en notre âme et conscience.
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Ce complément est important, il est vrai qu’on peut être tenté de vouloir aider, tout partant d’une bonne intention, mais avant tout évaluer les conséquences qui peuvent être pire que l’aide proposée et tout cela avec la croyance de bien faire. Garder sa place, et être dans notre rôle propre, c’est le message partagé je crois.
La violence est souvent présente partout, incidieuse parfois, l’intervision ou supervision peut être pour nous une aide pour ne pas porter ce fardeau seul lorsque nous sommes confrontés à des prises en soin difficiles, et du coup les rencontres avec nos collègues et le partage ont là toute leur place. Car se sentir impuissant face à une situation peut être frustrant, et nous faire se sentir mal à l’aise, mais si on peut déjà offrir un espace de liberté intérieure et faire cheminer la personne pour qu’elle trouve la force d’avoir des solution est déjà une belle action!
J’ai été confronté en tant qu’infirmière à ce genre de problème lorsque je travaillais en libéral et ce n’est jamais simple car les paramètres sont chaque fois différents! Mais comme Clémence le dit “EVEILLER LA CONSCIENCE, ACCOMPAGNER SUR LE CHEMIN EXISTENTIEL et NE PAS VOULOIR RESOUDRE UN SYMPTOME” c’est là notre place, alors merci Charlotte pour ce chapitre qui apporte un éclairage précieux -
Bonjour Charlotte,
J accompagne une femme qui a été victime de violence pendant et sa grossesse, je n’ai pas eu à le déclarer à qui sur ce soit car c était déjà fait mais je me pose une question pour un cas non déclaré : que penses tu d’en parler avec son Medecin traitant au lieu des autorités car lui la connaît peut être mieux que nous
Je sais qu il reste le fait de ne pas demander à la femme son autorisation mais….-
Bonjour Christelle
Je vais te répondre avec un exemple véridique : une amie victime de graves violences se confie à son médecin. Celui-ci, sans lui demander son avis, fait un signalement au procureur. Mon amie se retrouve dans un processus de plainte malgré elle. C’est une violence extrême : elle dissocie de nombreuses fois, retombe en dépression, subit des pressions massives de son ex-mari (qui est gendarme en prime) à telle point qu’elle est exfiltrée par les associations de soutien aux femmes victimes de violence et qu’elle doit déménager à 200 km de chez elle. Malgré des preuves, la plainte aboutit à un non-lieu et elle se retrouve confrontée à une plainte en diffamation par son ex-mari.
Actuellement, elle est dans un état dépressif majeur avec des pensées suicidaires.Nous ne pouvons pas aller plus vite que les femmes. Ce n’est pas à nous de décider pour elles.
Elles ont déjà été dépossédées de tout ce qu’elles possédaient par leur bourreau, offrons-leur de posséder au moins notre respect de leurs décisions.Nous ne savons pas quelles peuvent être les conséquences de nos actes et si les femmes sont prêtes à les endurer. D’autant plus que la levée du secret médical a été votée cet été pour les médecins au grand regret des associations de défense des victimes qui se sentent trahies et qui craignent que les femmes ne révèlent plus rien du tout (https://www.franceinter.fr/la-levee-du-secret-medical-desormais-autorisee-pour-les-victimes-de-violences-conjugales)
A mon avis, il vaut mieux maintenir l’alliance, la confiance, travailler sur elle, ses valeurs, lui rendre sa dignité et, quand elle sera prête, l’accompagner en lui donnant des outils pour surmonter les épreuves judiciaires.Mais cela nous demande beaucoup, en terme de lâcher-prise, en renoncement à un rôle de sauveur, et peut-être, cela nous confronte à certaines de nos valeurs. Ce n’est pas simple du tout.
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Un grand merci pour ces informations précieuses et ce regard aguerri.
Merci Charlotte -
Merci Charlotte pour ce live qui apporte beaucoup d’informations très importantes.
Je n’avais pas idée du nombre de femmes enceintes qui subissaient des violences et je serais très vigilante lors de mes accompagnements. -
Merci Charlotte pour ce Live qui nous remets face à la (dure) réalité et à notre juste place d’accompagnant et non de sauveurs. Merci cette sensibilisation ou ce rappel de ce que l’on peut trouver dans nos consultations.
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Merci pour ce live qui n’est pas une simple annexe pour moi. Je serai vigilante et je retiens l’idée première “d’éveil de la conscience chez les femmes violentées”.
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Merci pour ce live très clair.
Le fait d’évoquer la malheureuse fréquence des violences faites aux femmes enceintes nous permet d’en prendre conscience. Nous serons sans doute plus vigilant(e)s ou en tout cas sensibilisé(e)s à la chose et donc nous développerons peut-être une meilleure intuition au contact de ces femmes.
En tant que sophrologue, je pense que face à une situation de violence que nous découvrons chez une cliente, les associations de soutien aux femmes peuvent sans doute nous accompagner , être une ressource pour discuter, échanger, envisager des solutions possibles ou des postures possibles. -
C’est vrai que c’est un sujet délicat auquel si j’avais étais confronté sans ce post je me serais sentis tout à fais démunis. Merci pour cette vidéo. Vraiment importante et complémentaire.
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Merci pour cette vidéo très enrichissante, effectivement notre rôle n’est surement pas de résoudre le symptôme, mais de cheminer à deux pour éveiller la conscience… “toute action positive se répercute sur a totalité de l’être”…
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Merci pour cette rediffusion du Live, c’est très enrichissant. Cette situation très délicate doit en effet nous pousser à les accompagner sur leur chemin, leur conscience, leur vie. Je pense que le risque de dénoncer et donc de « forcer » une femme a partir, dénoncer son bourreau etc c’est finalement qu’elle retourne dans son cercle vicieux parce qu’elle n’aura pas cheminé. Elle aura toujours cette impression que c’est une forme d’amour, d’attention. Vraiment très délicat et surtout qui bouscule nos propres convictions mais nous devons respecter le cheminement pour être efficace. Enfin c’est mon avis ..
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merci Charlotte pour toutes ces informations, elles sont effectivement capitales et à savoir.
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Nous pouvons toujours mettre notre “petit grain de sel” pour aider ces femmes à cheminer, à prendre conscience, à oser en sortir….
Je vous rejoins sur le signalement, c’est toujours qqch à prendre avec des pincettes… j’avais participé à des échanges entre professionnels (psychologues, éducateurs, infirmières,…) lors d’un de mes stages sur un signalement à faire pour un enfant que nous soupçonnions victime de violence et ce n’est pas chose facile, tout est à réfléchir,… dans les faits on se dit bien entendu il faut le retirer de suite, le placer mais tout comme pour les femmes enceintes cela peut être très violent pour l’enfant et il faut prendre le temps de cheminer avec lui…. Merci encore pour tous ces éclairages 🙂 -
Merci Charlotte pour ce complément très intéressant qui reflète la triste réalité des faits….
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Merci beaucoup Charlotte pour ces conseils!
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Merci Laurence !
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