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A quoi sert la phénodescription ? phéno immédiate – phéno différée

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158 réponses à “A quoi sert la phénodescription ? phéno immédiate – phéno différée”

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  1. Sonia Neto

    J’ai relevé la distinction entre structure de surface et structure de profondeur. Ca pousse à rester en éveil sur la teneur de ce qui est dit, avec le critère que vous avez donné : est-ce que l’objet est nommé ou suffisamment décrit pour s’en faire une représentation. Je retiens cette notion là.

  2. Daniela

    Je pratique les deux types de phénodescription en dépendant du moment, évidement. Les références à la linguistique sont très pertinentes et illustrent bien les niveaux d’ouverture d’un récit.

  3. VIVIANE STORA

    Le parallèle avec l’approche structure de surface et structure de profondeur sur le langage est très explicite, Cela fait échos à ce que l’écriture de certains écrivains peut dégager et qui touche au-delà de l’anecdote.

  4. Martine GASGNIER

    Je pratique la phénoménologie immédiate. Je pose en mots ce qui apparaît à ma conscience pendant la séance ainsi qu’au moment où j’écris.

  5. Bénédicte CIRBA

    Encore merci pour ces informations je me rends compte que je suis très souvent dans une phénodescription immédiate. je retiens votre phrase si je veux apprendre à accueillir le phénomène, je dois apprendre à m’accueillir moi “. Je serai vigilante sur la description de ma phénodescription et de celle du groupe.

  6. MARYLINE DANEZAN

    Je pratique la phéno immédiate en m’attachant à écrire les manifestations corporelles de mes ressentis.
    J’ai pratiqué la phéno différée lors de mes études qui permet d’approfondir et percevoir les changements sur la durée. Je ne l’ai jamais repratiquée de manière écrite et structurée.

  7. Sylvie FERRON
    Sylvie FERRON

    Je pratique la phénodescription immédiate
    Je retiens l’importance d’écrire lorsque je me sens habiter mon corps, avec l’utilisation du “je”
    Je retiens aussi l’importance des phénodescriptions différé (grâce aux explication de cours) que je fais de temps en temps mais pas assez
    Merci

  8. Judith Benitah

    “Si je veux accueillir le phénomène, il faut que j’apprenne à m’accueillir moi”
    C’est tellement précieux cet enseignement !
    Je retiens que la phenodescription ce n’est pas retenir des morceaux de vivance, c’est déjà habiter son corps et décrire sa vivance du moment présent

  9. mattei catherine

    Je la fais en 2 temps: d’abord immédiate, puis différée.
    Je note des différences notables, lorsqu’on la fait différée.
    c’est plus profond, plus complet.

  10. Martine PERDRIX
    Martine PERDRIX

    Je pratique la phénodescription immédiate.
    Cette leçon et vos explications m’ont permis de comprendre l’utilité d’aller plus loin, chose que je percevais sans savoir l’expliquer; ni comment faire! pour ma part, j’avais d”énormes difficultés lors de ma formation à exprimer devant le groupe mes ressentis, surtout par le besoin que j’avais de laisser décanter mes ressentis pour les exprimer pleinement et l’instant n’y était pas propice… vous me rassurez car je voyais certains de mes collègues exprimer des choses tellement facilement mais qui pour le coup restait dans “la surface” …ayant vécu cette impression d’inachevé, lors de la fin des séances de mes clients, je les ai bien souvent incité à noter par écrit leurs ressentis mais que je sache personne ne l’a ait…je vais donc m’attacher à amener les personnes que j’acccompagne vers des phénos en profondeur et poursuivre ma réflexion sur la remise d’un petit livret dès la première séance en expliquant bien l’importance de trouver, de s’accorder ce temps pour soi afin d’accueillir et d’exprimer la “façon dont sa conscience s’est saisie de l’objet lorsqu’il s’y est manifesté” …un peu comme un scanner de son monde intérieur dont il est bon d’en noter les révélations…

  11. Blandine Bertrand

    Je pratique la phenodescription orale et depuis peu j’ai débuté avec l’écriture…
    L’évolution au fil des séances m’a encouragée à continuer ces deux pratiques…complémentaires.

  12. Rastel Ingrid

    Je pratique la phéno immédiate. Parfoie j’aime bien aussi me laisser du temps
    Fixer le volatile est très parlant.

  13. Raphaëlle NGUYEN

    Je retiens de commencer à écrire lorsque je me sens habiter mon corps, avec l’utilisation du “Je”.
    Je retiens aussi l’importance des phéno différées, que je fais de temps en temps, mais pas assez.

  14. Valérie VINCENT

    Je me rend compte que la phénodescription orale n’est pas suffisante. Je vais proposer à mes clients une phénodescription écrite au fur et à mesure des séances et d’avoir un carnet avec eux pour pouvoir noter leurs ressentis tout au long de leur pratique pour pouvoir y retourner et voir l’évolution.

  15. marie cecile

    j’invite le sophronisé a faire une phéno orale, mais qui ne permets pas de se relire et de puvoir constater reellement de sa transformation. je vais mettre en application cette phéno ecrite des aujourd’hui, merci

  16. BESENVAL LAETITIA

    Je pratique la phénodescription orale, et l’écrit est important aussi, les ressentis, accueillir…

  17. Catherine

    Je note le pre-requis pour la phenodescription : avoir appris à s’accueillir puis rendre compte sensoriellement du vécu

  18. Sylvie Cauchy

    Je réalise la superficialité de mes phénodescriptions et ai l’impression d’aborder une dimension toute autre et o combien utile. Merci

  19. Caroline Joguet

    Je pratique la phénodescription orale Immédiate et de toute évidence beaucoup trop superficielle…je le savais (le craignais?) et cette formation me donne des axes d’amélioration pour ma pratique.

  20. Caroline PUJOL

    Je pratique la phénodescription orale et immédiate et je viens donc de découvrir la phénodescription différée. C’est une joie de nous faire partager votre savoir…qui nous permet de nous former et d”être plus à l’aise lorsque l’on débute.