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157 réponses à “A quoi sert la phénodescription ? phéno immédiate – phéno différée”
Très riche. Habiter son corps : essentiel!
Pheno immédiate. S’accueillir soi même au plus profond de soi n’est pas toujours simple. Je trouve que ces explications sont riches et amènent pour ma part une ouverture et une manière différente de voir la pheno description. merci
Je comprends fort bien cette nécessité de s’autoriser à s’accueillir soi (ce qui n’est pas simple du tout) être en capacité d’oser aller à la rencontre de ce que nos structures profondes cherchent à nous communiquer. Très très intéressant à titre personnel de revenir sur cet aspect. Merci
Phénodescription immédiate, mais la différée comme décrite m’attire. A tester. La corporalisation me semble être la base.
Merci pour tous ces rappels ou ajouts d’information pour moi .
Je vais en retenir plusieurs :
Si je veux apprendre à accueillir le phenomene je dois d’abord apprendre à m’accueillir moi.
Ajouter la phéno description immédiate ET différée ( récit dans lequel on inscrit des extraits des descriptions)
Utiliser le Je
Quitter le langage commun pour aller vers la structure de profondeur.Je suis issue d’une formation surement différente de tous ici et pourtant tellement enrichissante. Tout ce qui est dit ici me parle. Ma formatrice nous a appris à ressentir, accueillir ….apprendre à s’accueillir SOI dans sa globalité avant d’accueillir le phénomène.
Quand je pratique pour moi, je suis parfois dans les transports en commun et je ne fais pas de phenodescription. Si j’essaie de la faire après, je ne me souviens plus de la viande.
Sinon, je fais ma pheno dans un carnet et en formation on lit ensuite ce qu’on a écrit.
Avec mes sophronisés, je leur fais écrire lorsque c’est possible et puis partage à l’oral de la même manière.
Mon style est plutôt télégraphique. Je ne creuse pas trop le contenu tel qu’expliqué ici.
Je pratique la phéno immédiate orale.
Il est évident qu’il me manquait des notions, des explications pour trouver un sens et “un petit quelque chose en plus “qui fera je pense la différence.
La phéno différée est intéressante.
Merci de partager vos connaissances et réflexions .Je pratique la phénodescription immédiate orale mais je trouve l’idée du carnet de vivance vraiment bien car ça peut être plus facile pour certaines personnes de s’exprimer ainsi et aussi pour qu’elles puissent se rendre compte plus facilement de leur évolution.
interessant
Je pratique la phénodescription écrite immédiate et le partage post sophronique oral (avec accusé de récéption / reformulation)
Je pratique principalement la phénodescription immédiate, ce qui n’est pas toujours simple pour le sophronisé. L’idée d’une phéno différée est intéressante. Allez chercher le positif du positif, j’aime beaucoup. Cela permet de se poser, et de mettre des mots sur des ressentis, qui seraient restés enfermés dans notre conscience.
Je pratique principalement la phénodescription immédiate, majoritairement de manière orale, que ce soit en groupe ou en individuel. Toutefois, lors des séances individuelles, je demande à la personne de consigner par écrit ses expériences après la séance, une fois chez elle. Lors de la séance suivante, elle me partage les réflexions et les sensations qui ont émergé.
Vidéos très captivantes ! J’apprends énormément sur la phénoménologie et la description. Je sors d’une école caycédienne mais je trouve ces propos encore plus profonds. Merci !
J’ai toujours tendance à utiliser la phéno immédiate. Je propose aux personnes que j’accompagne et qui ont du mal à trouver les mots à l’oral, de le faire sur un carnet en rentant chez eux. Mais je pense qu’une fois rentrés chez eux, ils ne le font pas. J’aime beaucoup l’idée, en groupe, que chacun soit libre de sortir du cercle pour déposer les mots. Et je pense que je prendrai également le temps nécessaire pour qu’ils puissent le faire en cabinet.
Je pratique essentiellement la phénodescription immédiate et la plupart du temps de façon orale en groupe comme en individuel.
En individuel, je demande par contre à la personne de noter ce qu’elle a vécu après la séance une fois rentrée chez elle. En début de séance suivante, elle me parle de ce qui a émergé alors.
En groupe, je ne fais que de l’oral. Je vais revoir cette possibilité de prendre un temps pour noter dans la posture de leur choix leur phénodescription.
Mais je trouve très intéressant ce que vous décrivez comme étant la phénodescription différée.Je n’avais pas mesuré à quel point la phénodescription servait “à inscrire dans sa conscience ce qui a été mis en mouvement, à fixer le volatil, à intégrer dans sa conscience ce qui a été mis en mouvement lors de la séance”.
Jusqu’à présent, je ne pratique que la phénodescription immédiate…
Si j’ai bien compris, la phénodescription différée nécessite une démarche intellectuelle, une réflexion (“à partir des propos de la personne, décrire ce qui a changé en elle et les transformations suite à la séance”): “apprendre à corporaliser la description, orienter sa conscience vers un objet donné, accueillir ce qui se passe en soi”! il me semble qu’on puise alors dans l’intime, ce n’est pas une démarche commune dans nos fonctionnements en société…”Si je veux apprendre à accueillir le phénomène, il faut que j’apprenne à m’accueillir moi!”… Un tel processus pour élaborer la phénodescription différée m’était jusque-là inconnu: il me faudra du temps pour intégrer toutes ces étapes que vous avez si minutieusement décrites, “choisir le lieu où avoir le sentiment d’être en proximité avec soi-même”, “choisir la posture qui permettrait de m’ancrer dans ma réalité corporelle” et, seulement alors, “commencer à écrire lorsque je me sens habiter mon corps”… la phénodescription (décrire comment cela s’exprime et dans quelle partie du corps)… il me faudra du temps pour expérimenter tout cela et apprendre à passer de la phénodescription immédiate, (langage commun), pour accéder à cette étape de la structure de profondeur (expérience sensorielle). Tout cela est pour moi une découverte où le corps prend une dimension si essentielle. Merci à vousJe partique la phodescription immédiate. Mais ca donne envie de pratiquer la phénodescription différée. merci !
Je pratique la phénodescription immédiate.
Merci pour ces précisions qui vont me permettre d’approfondir avec la phénodescription différée.Je pratique la phéno immédiate, mais j’ai très envie à présent de tester la phéno différée !
Merci 🙏🏻.“Fixer le volatile”, la phénodescription prend tout son sens…
Merci pour ces précisions !Je pratique la phenodescription immédiate.
Merci pour ces éclairages qui vont me permettre d’expérimenter la phenodescription différemment.Merci pour ces explications claires et concises qui à chaque fin de vidéo m’éclairent un peu plus sur la phénodescription.
C’est un beau cadeau que vous nous faites !C’est très intéressant de vivre la phénodescription davantage en profondeur grâce à la technique du différé ; en posant les mots sur le papier, on prend conscience d’une réalité différente.
Merci pour ces éclairages pertinents.
Je découvre le sens de la phénodescription, vos explications sont claires et riches de sens, merci infiniment !
bonjour,
merci pour cette vidéo explicative qui met plus de sens sur la phénodescription. je retiens la structure de surface et de profondeur, très percutant pour ma part ces 2 termes.
Approche très intéressante de la phéno.
Et j’ai hâte de mettre en pratique cette technique de sophro analyse de Caycedo
destinée notamment à accroitre l’autonomie du sophronisé tout en en développant
ses valeurs existentielles.Merci
Merci beaucoup c’est le moment où je dois rédiger ma première phenodescripion différée et tout est plus clair grâce à vous.
Je découvre la façon de présenter la phénodescription
Effectivement je saute sur mon stylo pour noter ma phéno !!
Je comprends l’importance de la phéno aujourd’hui, c’est très intéressant.
Merci beaucoup.Je réalise l’importance primordiale de la phénodescription, que je n’avais pas saisie lors de ma formation à l’IFS. Et pour y accéder il faut accompagner le sophronisé à ne plus être dans le contrôle… Merci pour ce nouvel éclairage.
Je découvre tout le potentiel de la phénodescription grâce à vous.
Un grand merci pour votre phrase : “si je veux accueillir le phénomène, il faut que j’apprenne à m’accueillir moi … et ça, ça peut tout changer “. En effet, je pense que ça va tout changer pour moi !une super vidéo très enrichissante.
Pour ma part, je pratique la phéno immédiate. Cette vidéo m’ouvre à de nouvelles idées de travail.
Merci pour la richesse de vos propos !
Merci pour cette prise de conscience heureusement que je ne me suis pas encore installée car je me rend compte que j’ai trop négligé la phéno pour un sujet de mon mémoire qui ne voulait pas écrire ses ressentis… j’aurai du trouver les mots pour lui donner envie et surtout l’intérêt qu’il y a de ressentir son corps et ses émotions en profondeur.
Je vais vivre et pratiqué la phéno-description différemment suite à vos apports. Merci beaucoup pour cette richesse et cette clarté.
Je me rends mieux compte de toute la richesse de la phéno description, grâce à vos explications. L’écrit proposé dans un groupe permet en plus aux personnes de s’exprimer plus facilement.
Véronique
Très majoritairement la phénodescription immédiate, orale, sûrement insuffisamment reliée au corps en profondeur, ou “çà dépend des fois”
Ce qui a réellement résonné en moi: “Si je veux apprendre à accueillir le phénomène, il faut que j’apprenne à m’accueillir MOI !”
Car j’en suis moi-même venue à ce constat après 3 ans de pratique personnelle. Constat qui peut sembler être une évidence, évidence intellectuelle pour ma part au début. Un concept dont je ne savais pas trop quoi faire finalement. Et lorsqu’il s’est pleinement manifesté à ma conscience, je l’ai réellement senti dans tout mon être!! Ma pratique et mes phénodescriptions n’ont plus jamais été les mêmes depuis. Et quel bonheur, quel allègement…
Merci de m’avoir permis de revivre cette grande étape dans mon parcours de transformation.J’apprécie la clarté, la simplicité avec laquelle vous nous parlez de la phénodescription. Cela me parle beaucoup tant sur le plan personnel que professionnel; Cela vient me renforcer tant au niveau de mon corps, des phénomènes qui apparaissent et dans la manière dont je veux désormais accompagner.
Jusqu’à maintenant, les personnes accompagnées font une phénodescription orale. C’est tellement plus riche de” fixer le volatile” 🙂
Je retiens aussi qu’il est essentiel de savoir accueillir les phénomènes. Il en est ainsi aussi dans la vie me semble t il…Merci
Jusqu’ici je faisais pratiquer la phénodescription immédiate et orale, cependant je viens de percevoir la richesse d’une pheno écrite. J’ai déjà remarqué cette évolution de richesse et de finesse de phénodescription au fur et à mesure de l’avancée des séances.
Il me semble particulièrement intéressant de les écrire, de les conserver puis d’y revenir maintenant, pour constituer comme un album souvenirs de ressentis, en constater leur évolution, leur richesse, leur finesse…..
PassionnantBonjour,
Je pratique la phéno-immédiate parce qu’elle fait partie de l’instant, mais j’aime à y revenir plus tard. Cela dit, je n’ai pas encore expérimenté le fait de m’accueillir en me recentrant vraiment sur mon corps. J’ai plutôt le sentiment de m’extérioriser lorsque je fait une vivance.
Je note aussi, qu’il faille aller en profondeur de cette expérience sensorielle pour qu’elle nous offre tout ce qu’elle a à nous dire.
Merci Geneviève. Laisser venir ce qui se présente spontanément à ma conscience et qui est chargé de sens. Observer sans jugement, ne rien attendre et me laisser surprendre.
Je pratique la pheno immédiate
Merci pour cet éclairage sur toutes les strates de la vivance.
La phénodescription différée a été pour ma part une véritable révélation ! C’est je crois à ce moment-là que j’ai pris conscience encore plus de mon être et de la profondeur de ce que je vivais pendant les séances, mais surtout de l’évolution au fur et à mesure des vivances.
Me donne de nouvelles pistes pour mieux communiquer sur la phénodescription
Ca me remet en question! Super! Merci
merci pour toutes ces informations, je pratiquais la phénodescription immédiate , je vais me mettre très rapidement à la phénodescription différée.
Encore très stimulant, et m’instruit vraiment à revoir et à changer la façon dont je ferai mes phénos à partir de là.
oral et écrite, mais je remarque que peu de personnes le font à l’écrit, certainement en lien avec ma manière de présenter la phéno 🙂
Je suis captivée par cette approche de la phenodescription. Elle prend un sens tellement plus clair et lumineux.
Très intéressant et aidant ! L’impression d’ouvrir une porte et un autre point de vue sur la phénodescription. Un grand merci à Geneviève.
grandiose !!!!!!!
Merci pour toutes ces précisions!!!
Avec ces explications, la phénodescription prend vraiment tout son sens et sa dimension.
Merci pour cet éclairage !Quel merveilleux enseignement, très riche ! Merci infiniment !
Très intéressant et riche d’enseignements. Merci Geneviève.
Passionnant, éclairant d’un jour nouveau et transformateur à coup sûr ! merci
Magnifique !
Cette réflexion est très intéressante/enrichissante.
Mercicet approfondissement et vraiment passionnant
quel approfondissement aidant! Merci pour ces éclairages!
Étant débutante je fais que de la pheno immédiate. Cet apport prend tout son sens Rien à voire avec la formation passée à toute vitesse ?
Merci pour ces éclairages sur la phénodescription qui n’a pas été aussi approfondi pendant ma formation.
les choses s’éclairent de plus en plus pour moi, je me rends compte que ma formation initiale n’a pas suffisamment approfondi cette étape si précieuse qu’est la phénodescription
merciConcernant ma pratique des phénodescriptions je dirais que je les expérimente toutes, j’adapte en fonction de mon ressenti selon les pratiques.
S’accueillir en tant qu’être paraît être l’essentiel… Effectivement tout le sens de la phénoménologie et de la phenodescription est là : accueillir le phénomène pour apprendre à mieux s’accueillir…c’est très bien amené ici. Merci.
Déposer les mots sur la feuille. Avec le je. Comment cette joie s’exprime dans mon corps.
Il est vraiment très important de se poser dans un endroit calme, pour écrire ce que l’on ressent.
La notion de “structure de surface” et celle de “structure profondeur” ont retenu mon attention. Merci pour votre partage
Merci pour votre partage de connaissances. C’ est de manière intuitive que je propose parfois la phénodescription différée et avec votre masterclass, je prends conscience de son importance et surtout des outils pour amener les personnes accompagnées à une meilleure intégration. Lors de mes séances, je ne considérai plus les phénodescriptions de la même manière et vais travailler le sujet . Recevez toute ma gratitude.
Apprendre à corporatiser sa phenodescription en profondeur et ne pas se contenter d’une description de surface uniquement. Merci pour ces précieux conseils.
Cela demande forcément un entraînement car il n’est pas toujours évident de décrire si profondément ses ressentis.Très intéressant. De l’importance du corps dans la phénodescriotion. Habiter son corps avant de commencer à écrire. Corposaliser cette description. Quitter le langage commun. Aller vers la structure en profondeur. Toutes ces notions sont précieuses. Merci!
Je me rends compte que je ne me rendais pas compte de la puissance de la phénodescription 😉
Encore une fois merci pour ces éclairages et ces explications précieuses.Très instructif, merci !
Cela me permet d’avoir une autre vision de la phénodescription plus en profondeur…qui bien souvent reste en surface.J’ai bien aimé le concept de structure de surface et de structure profonde. De passer du langage commun à un langage plus profond. Pourtant je m’interroge sur la difficulté parfois à mettre des mots sur un ressenti; C’est là, je perçois le phénomène, je le vis profondément mais nul vocabulaire ne peut identifier ce que je vis au plus profond de ma conscience.
Quelle richesse dans ce témoignage!Merci!
Pendant ma formation, j’ai suivi une personne, et nous avons, lors de la dernière séance, fait une relecture de ses phénodescriptions… je l’avais proposé dans l’intention de souligner le cheminement de cette personne et ça avait été très positif.
Je ne connaissais pourtant pas le concept de phénodescription différée. Passionnant!Je pratique la phénodescription immediate. Je ne connaissais pas la phénodescription différée, qui me paraît très puissante comme outil pour identifier le processus de transformation. Je ressens profondément que la phénodescription est quelque chose de très précieux, qui me représente, un peu comme un instantané. Un grand merci pour cet éclairage.
Je pratique la phéno immédiate en variant entre l’oral et l’écrit selon les situations et les profils. Certains clients sont plus à l’aise avec une forme de d’échange oral dans lequel je vais stimuler l’expression des phénomènes vécus par des questions ou relances, alors que d’autres ont davantage besoin de se “centrer” dans un premier temps, puis de partager leurs ressentis écrits.
La phénoménologie différée… intéressant.
Pour entrer petit à petit, de plus en plus dans sa propre intimité, dans la connaissance de soi. Quitter le langage commun pour aller en profondeur…Phénodescription différée intéressante à pratiquer désormais 😉 et j’aime l’image de la structure de surface et profonde ! Très parlant et clair.
merci.Très intéressant de creuser la structure de surface et permettre au client d’aller en profondeur
J’ai également apprécié d’apprendre à s’accueillir afin d’accueil les phénomènes
Merci à vousJe me suis bien reconnue dans le comportement de me précipiter sur mon carnet pour écrire ma phéno…. explications trés intéressantes sur la phéno différée. Je vais l’utiliser pour moi-même avant de la proposer à mes sophronisants.
C’est hyper intéressant et très clair, je pratique une phéno immédiate avec maintenant l envie de pratiquer aussi plus en différé.
Dans votre description de “l’erreur du débutant” je me suis bien bien visualisée en train de me précipiter sur mon carnet pour ne rien oublier et d’y penser pendant la séance ??
Pendant ma formation, en fin de première année, j’ai du faire la synthèse de mes phénodescriptions et j’ai été très surprise de la richesse de cet exercice qui pourtant à l’énoncé m’avait parut juste redondant et rébarbatif.passionnant, on a encore envie d’aller plus loin. merci
Avec ce nouvel éclairage, je me rend compte que je pratique essentiellement la phénodescription immédiate.
L’expression “fixer le volatile” prend tout son sens. Merci.Merci beaucoup, je touche du doigt mon sérieux manque d’approfondissement de ma formation bcp trop basique. La phénoménologie différée est fortement intéressante et je pense l’intégrer dans ma technique…
bonsoir, je pratique la phénodescription immédiate et je ne connaissais pas la différée. Mais je me rends compte que justement si j’ai parfois du mal à faire mes phéno c’est justement parce que je m’y prenais mal ou du moins trop rapidement et superficiellement. Merci pour ces éclaircissements.
C’est très interessant. Je pratique la phéno-description immediate et j’ai souvent senti l’envie d’aller plus loin dans la phénodescription sans vraiment savoir comment y parvenir. Merci infiniment.
Je pratique la phéno immédiate et je ne connaissais pas la phéno différée.
Je découvre la phénodescription avec un regard neuf et plus authentique. Je retiens l’idée émise que la phénodescription représente qui je suis et est donc précieuse. Cela m’a fait comme un arrêt sur image et m’a donné envie d’aller plus loin en essayant de m’appuyer sur la structure profonde du message.Faire passer de la structure de surface à la structure de profondeur n’est pas chose facile.
Effectivement, prendre le temps de trouver le bon endroit et la bonne posture pour le faire renforce la présence du corps et peu faciliter l’écriture.
Merci pour ces rappelsJe pratique la phéno immédiate.
Je retiens l’importance de la structure de profondeur pour permettre la représentation de ce qui a été ressenti.Je viens de voir la question au-dessus, donc du coup, je pratique surtout de la phénodescription immédiate.
J’ai relevé la distinction entre structure de surface et structure de profondeur. Ca pousse à rester en éveil sur la teneur de ce qui est dit, avec le critère que vous avez donné : est-ce que l’objet est nommé ou suffisamment décrit pour s’en faire une représentation. Je retiens cette notion là.
Je pratique les deux types de phénodescription en dépendant du moment, évidement. Les références à la linguistique sont très pertinentes et illustrent bien les niveaux d’ouverture d’un récit.
Le parallèle avec l’approche structure de surface et structure de profondeur sur le langage est très explicite, Cela fait échos à ce que l’écriture de certains écrivains peut dégager et qui touche au-delà de l’anecdote.
Je pratique la phénoménologie immédiate. Je pose en mots ce qui apparaît à ma conscience pendant la séance ainsi qu’au moment où j’écris.
Encore merci pour ces informations je me rends compte que je suis très souvent dans une phénodescription immédiate. je retiens votre phrase si je veux apprendre à accueillir le phénomène, je dois apprendre à m’accueillir moi “. Je serai vigilante sur la description de ma phénodescription et de celle du groupe.
Je pratique la phéno immédiate en m’attachant à écrire les manifestations corporelles de mes ressentis.
J’ai pratiqué la phéno différée lors de mes études qui permet d’approfondir et percevoir les changements sur la durée. Je ne l’ai jamais repratiquée de manière écrite et structurée.Je pratique la phénodescription immédiate
Je retiens l’importance d’écrire lorsque je me sens habiter mon corps, avec l’utilisation du “je”
Je retiens aussi l’importance des phénodescriptions différé (grâce aux explication de cours) que je fais de temps en temps mais pas assez
Merci“Si je veux accueillir le phénomène, il faut que j’apprenne à m’accueillir moi”
C’est tellement précieux cet enseignement !
Je retiens que la phenodescription ce n’est pas retenir des morceaux de vivance, c’est déjà habiter son corps et décrire sa vivance du moment présentJe la fais en 2 temps: d’abord immédiate, puis différée.
Je note des différences notables, lorsqu’on la fait différée.
c’est plus profond, plus complet.Je pratique la phénodescription immédiate.
Cette leçon et vos explications m’ont permis de comprendre l’utilité d’aller plus loin, chose que je percevais sans savoir l’expliquer; ni comment faire! pour ma part, j’avais d”énormes difficultés lors de ma formation à exprimer devant le groupe mes ressentis, surtout par le besoin que j’avais de laisser décanter mes ressentis pour les exprimer pleinement et l’instant n’y était pas propice… vous me rassurez car je voyais certains de mes collègues exprimer des choses tellement facilement mais qui pour le coup restait dans “la surface” …ayant vécu cette impression d’inachevé, lors de la fin des séances de mes clients, je les ai bien souvent incité à noter par écrit leurs ressentis mais que je sache personne ne l’a ait…je vais donc m’attacher à amener les personnes que j’acccompagne vers des phénos en profondeur et poursuivre ma réflexion sur la remise d’un petit livret dès la première séance en expliquant bien l’importance de trouver, de s’accorder ce temps pour soi afin d’accueillir et d’exprimer la “façon dont sa conscience s’est saisie de l’objet lorsqu’il s’y est manifesté” …un peu comme un scanner de son monde intérieur dont il est bon d’en noter les révélations…Je pratique la phenodescription orale et depuis peu j’ai débuté avec l’écriture…
L’évolution au fil des séances m’a encouragée à continuer ces deux pratiques…complémentaires.Je pratique la phéno immédiate. Parfoie j’aime bien aussi me laisser du temps
Fixer le volatile est très parlant.Je retiens de commencer à écrire lorsque je me sens habiter mon corps, avec l’utilisation du “Je”.
Je retiens aussi l’importance des phéno différées, que je fais de temps en temps, mais pas assez.Je me rend compte que la phénodescription orale n’est pas suffisante. Je vais proposer à mes clients une phénodescription écrite au fur et à mesure des séances et d’avoir un carnet avec eux pour pouvoir noter leurs ressentis tout au long de leur pratique pour pouvoir y retourner et voir l’évolution.
j’invite le sophronisé a faire une phéno orale, mais qui ne permets pas de se relire et de puvoir constater reellement de sa transformation. je vais mettre en application cette phéno ecrite des aujourd’hui, merci
Je pratique la phénodescription orale, et l’écrit est important aussi, les ressentis, accueillir…
Je note le pre-requis pour la phenodescription : avoir appris à s’accueillir puis rendre compte sensoriellement du vécu
Je réalise la superficialité de mes phénodescriptions et ai l’impression d’aborder une dimension toute autre et o combien utile. Merci
Je pratique la phénodescription orale Immédiate et de toute évidence beaucoup trop superficielle…je le savais (le craignais?) et cette formation me donne des axes d’amélioration pour ma pratique.
Je pratique la phénodescription orale et immédiate et je viens donc de découvrir la phénodescription différée. C’est une joie de nous faire partager votre savoir…qui nous permet de nous former et d”être plus à l’aise lorsque l’on débute.
Je fais la phénodescription en fin de séance. Lors du retour de la personne, je lui demande toujours s’il y a eu des changements chez elle. Mais le fait d’écrire me semble encore plus précis.
Savoir s’accueillir et écrire au plus près des sensations du corps.
Je pratique la phénodescription immédiate et orale. J’incite au bout de 2 ou 3 séances le sophronisant à faire une phénodescription différé pour suivre les transformations de soi et ainsi se voir évoluer et y prendre plaisir.
Je ne pratiquais que la phénodescription immédiate … merci pour cet éclairage très clair, et si important pour la suite, sur la phénodescription différée.
Merci pour ces explications limpides. J’utilisais principalement la phénodescription immédiate et me contentais souvent d’une phénodescription du genre “j’ai ressenti de la joie”. Je sens fortement l’intérêt d’y passer plus de temps, même en groupe. Merci pour ce rappel.
Je pratique les deux phénos. Je me retrouve bien dans la corporalisation de la vivance, “accueillir ce mouvement de la conscience en soi”. Merci.
J’ai appris de belles notions : phéno immédiate et différée
Commencer à écrire lorsque l’on est bien dans son corps,
Je vais expérimenter merci !La joie, qui se manisfeste pour moi par un sourire intérieur, comme un rire qui veut sortir de ma gorge en écoutant cet exposé car je constate que ce que je demande au client durant les séances pour exprimer leur phenodescription est juste.
ME voilà rassurée.J’avais une croyance : se précipiter sur le carnet juste après la séance. je jette et j’expérimente. Merci
Merci pour ces explications. sur la structure de surface et la structure de profondeur. Le lien avec les écrits de Noam Chomsky m’a beaucoup parlé.
Quelle magnifique et étrange sensation que de revoir quelque chose de connu mais avec un angle beaucoup plus large. Merci pour le partage !
Très intéressant ce partage. Merci.
Je pratique la phénodescription immédiate.
Je vous remercie pour les précisions sur la structure de surface et de profondeur.Merci pour ces explications. Je vais aller lire mon carnet de phéno avec un œil neuf…
Très intéressant! Merci
Je pratique la phénodescription immédiate et occasionnellement la phénodescription différée.
Merci pour ces vidéos très éclairantes
Je pratique la phéno immédiate. Merci de ces explications claires qui vont m’aider à passer de la structure de surface à la structure de profondeur. Je comprends mieux l’apport de la phénodescription, et surtout comment mieux accompagner le sophronisant lors du partage post-sophronique. Merci beaucoup, c’est vraiment d’un apport très enrichissant..
Merci pour toutes ces précisions , très claires et très intéressantes.
Merci pour cette explication sur la différence entre la structure de surface et la structure de profondeur du langage, cela va m’aider dans la présentation de la phénodescription, entre autres !
Je pratique la phenodescription immédiate. Je ne connaissais pas la différée. A pratiquer .
je pratique pour moi la phéno immédiate, j’ai d’ailleurs des petits carnets réservés à mes phénos, je vais tester la phéno différée!! Merci Genevieve
je ne connaissais pas du tout la phéno différée, je vais vivre cette expérience!
Je découvre la phénodescription différée et son intérêt. Je pratique essentiellement la phéno immédiate et orale. Cette masterclass est d’un apport certain pour faire évoluer ma pratique et mes phénodescriptions.
Je ne connaissais pas la phéno différée, j’étais uniquement sur de la phénodescription immédiate et orale, je découvre avec un immense plaisir toute la dimension inexplorée et dont je vais mettre en pratique. C’est un immense plaisir que de vous écouter. Merci
Pour ma part, je suis encore trop souvent dans la phéno immédiate et la corporalisation . Après le visionnage de cette vidéo je prends conscience de l’importance de pratiquer plus régulièrement la phéno différée que je vais intégrer dans ma pratique personnelle dès à présent. Merci aussi pour cette explication du nouveau langage qui permet une réelle et profonde transformation
Mise en lumière de l’importance de la corporalité dans la phénodescription avec un focus interne très bien expliqué.
Merci pour cette notion de différences entre “profondeur” et surface”
Je m’attache beaucoup à la corporalité dans une phéno orale immédiate.
J’ai plus de personnes qui partagent oralement que par écrit… cependant, je trouve intéressant cette question de phéno différée qui peut être proposée en fin d’accompagnement, même pour les personnes qui n’écrivaient pas, pourquoi pas…
Essentiellement des phenodescriptions orales et avec plutôt une structure de surface. Les propos sur le lien avec l’existence et la structure profonde vont m’apporter beaucoup. Merci énormément de ces précieux apports
Merci pour tous ces propos. Très clairs.
Personnellement, l’exercice de phénodescription différée que j’ai du faire à plusieurs reprises dans mon parcours m’a beaucoup apporté en ratifiant les changements observés et j’essaye de continuer à le faire chaque année.
Je donne des carnets à mes sophronisants lors de la première rencontre en leur expliquant l’importance de la phénodescription (et même de la phénodescription différée) mais il est difficile de leur faire adopter (oubli récurrent). C’est encore plus difficile avec les groupes où même la phénodescription orale est parfois “timide”. Pour les y aider, je retiens “Si je veux apprendre à accueillir le phénomène, il faut que j’apprenne à m’accueillir moi”. MERCI !
Je retrouve particulièrement dans cette partie ce que j’ai vécue au cours de ma formation.
Mais en tant que sophrologue maintenant, très peu de mes clients ne prennent l’option d’une phénomène écrite bien que je leur propose.Quelle phéno je pratique ?
Je pratique une phéno orale immédiate avec mes consultants.
En même temps j’ai de la difficulté à les emmener vers une phénodescription détaillée et corporalisée.
La notion de phénodescription écrite leur est plus ou moins sollicitée par la tenue d’un cahier ou ils peuvent se représenter et s’exprimer intimement (verbalement ou sous toute autre forme artistique) pour suivre leur cheminement. Sauf que peu le font. Ces explications précises vont me permettre de mieux les guider vers des phénodescriptions plus approfondies et pourquoi pas d’instaurer des phénodescriptions écrites immédiatement après la séance. Ces propos sont très enrichissants, et très éclairants. MerciMerci pour cette précision entre le message de surface et celui de profondeur ;
Je retiens l’importance de corporaliser la phénodescriptionMerci, très intéressant la notion de surface et de profondeur, cela permet de mieux définir le ressenti, de l’accueillir dans le détail …..
Bonjour Geneviève,
Merci de clarifier ce moment si particulier qui est dans l’analyse vivanteille de faire le lien si important vers l’existence.
ton apport est précieux dans notre pratique.Toutes mes amitiés
LucienJe pratique exclusivement les phénos orales. Mais j’entrevois à travers ce module à quel point les phénos écrites peuvent emmener plus loin. Surtout pratiquées comme il est expliqué comme des moments précieux pour soi, en mettant en scène quelque part ce moment pour être à l’aise et bien ancré.e dans le corps. Je découvre aussi les phénos différées qui viennent donner forme à un processus d’”évolution”.
Tout cela est vraiment passionnant!
Néanmoins, cela ne me parait pas facile à mettre en oeuvre en-dehors de groupes d’entraînement sophrologique.Passionnant ! ça me parle beaucoup le lien avec la linguistique, étant moi aussi angliciste de formation. Merci !
J’invite en effet à creuser quand la personne reste « en surface », à lui faire exprimer plus en détail comment la sensation, l’émotion s’est manifestée …
Réminiscence de mes cours de linguistique (Celsa1987) et prise de conscience que si aujourd’hui je n’apprécie que peu les discours (perso ou politiques d’ailleurs ) autour de moi, c’est parce que je suis mal à l’aise avec ces discours de surface. Pourrait on être dans des dialogues phenodescriptifs tout le temps ou serait ce épuisant ???oui la phénodescription en profondeur proche des sens
Envie d’en savoir plus sur le SAVC…
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