Bientôt les concours, les examens de fin d’année. La sophrologie est une aide réellement conséquente pour les concours.
Pendant plusieurs mois, j’accompagne ces jeunes en Sophrologie, je recueille leurs ressentis, leurs désirs, leurs peurs, ils sont ultra adaptables, persévérants, créatifs, collaboratifs, communicatifs, je crois en eux !
Je prépare pour les concours la génération 4C, nos 15-22 ans, nos décideurs de 2050 et ils nous préparent un nouveau monde…
Pourquoi 4C ?
Tout d’abord, le C de Connexion symbolise le fait que cette génération est née avec Internet et que son langage naturel est structuré par les TIC (technologies de l’information et de la communication).
Les autres C sont ceux de la Communication (dynamique d’échanges continue, sans retenue, limites, ni tabous),
de la Créativité (volonté de changer en permanence, de tenter, d’innover),
et de la Collaboration (bien que se sachant égoïstes ils aspirent à des échanges sur le ton de la réciprocité et de l’équité)
Les MOOC sont une application directe de la pensée de la génération 4C.
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Les Inrocks ont choisi de baptiser les 4C en génération Z, quelle erreur de les nommer dans la suite de l’alphabet, dans la suite des générations Y.
Ce sont des mutants, ils ouvrent un autre monde, leur monde virtuel est leur monde réel, notre monde de demain.
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« Tavi est la figure de proue de la génération Z, les 15-25 ans : ils ne se souviennent pas d’un monde sans crise et n’ont pas suivi les traces et diplômes des aînés pour s’immerger dans la société.
Si la génération Y se démarquait par son hyperconnectivité et son nomadisme (merci Erasmus et Ryan Air), ces bambins sont sa version 4G. Ils savent coder en HTML dès le primaire, créent des blogs à la récréation et prennent des notes de cours sur leur iPad mini. Ils sont surinformés et désinhibés. Ils ne font pas de séparation entre la vie réelle et la vie digitale tant cette dernière a joué un rôle-clé dans leur éducation. Il n’y a pas de différence, donc, entre un travail en communauté et en réseau, entre une rencontre amoureuse sur Tinder ou dans un bar local. Le désincarné n’imite plus le monde tangible mais en fait entièrement partie.
Dans un monde où toute stabilité professionnelle semble relever de la légende urbaine, ces jeunots donnent un ton do it yourself à leur carrière. Ils font naître un entreprenariat à petite échelle et doucement solidaire, qui prône le travail de groupe et la philosophie du partage. On préfère louer des films et des chansons sur Spotify et Netflix que de les acheter. Ils plébiscitent le libre accès à l’acquisition. Crise ou pas crise, le tableau de la génération à venir est plutôt optimiste. »
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