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106 réponses à “Le quatrième trimestre côté père”
De plus en plus d’hommes prennent à cœur la prise en charge de leur bébé à tous les niveaux. Même si l’allaitement au sein demeure une priorité et la propriété exclusive de la femme, dans la pratique du maternage proximale, c’est le maternage proximal qui est compromis par la prise des biberon, puisque le lait maternel, première alimentation par excellence du nourrisson, peut être aujourd’hui prélevé et stocké pour des prises ultérieures ou nocturne de biberons. Certes, c’est lié à l’organisation du repos alterné de la mère et du père. Alors qu’il est si agréable et constructif, de la plus haute importance pour la mère et l’enfant d’entretenir cette proximité et même cette disponibilité, je découvre aujourd’hui que ça l’est aussi physiologiquement pour le père, outre le sensoriel et l’émotionnel.
Il est agréable de constater l’implication de l’homme d’aujourd’hui, père géniteur ou pas. Que cela soit par paternalisme légitime ou désir et besoin de sentiment ou de prise de responsabilités au sein du couple et de la famille. Certains pères peuvent aussi vivre le syndrome de couvade dont la sources et les conséquences peuvent être problématiques. Est-ce d’ordre psychologique, psychiatrique, ou pouvons nous, nous sophrologues, être concernés et y être confrontés ? Selon l’importance de l’atteinte, certainement.
C’est une réalité à laquelle je prends conscience aujourd’hui, en vous écoutant et en écrivant mon commentaire. C’est un réel sujet de prise en charge sophrologique.Bonjour Francine
En toute franchise, je n’ai jamais été confrontée à une couvade qui serait qualifiée de pathologique. Cela me parait très nébuleux et peu probant (d’ailleurs cela n’apparait pas dans le DSM, la classification des troubles psychiques https://psychologie-ge.ch/Psychologie_DSM.html).
La sophrologie a de toute façon toute sa place pour accompagner les futurs pères, couvade ou pas ^^
Merci.
J’ai été étonnée par l’existence de la dépression post partum chez les pères et son taux élevé. Evidemment, leur vie est également totalement chamboulée !10% de dépression du post-partum chez les pères, ce n’est pas rien tout de même. Ce qui prouve bien aussi qu’il est important aujourd’hui d’inclure, d’inviter davantage lors des préparations à la naissance.
Ravie de découvrir comment le père vit ce 4ème trimestre. C’est tellement important que les deux parties soient reconnues. Comment cela se passe t’il physiquement dans le cadre d’un couple lesbien ? Quels sont les changements physiques/psychologiques de la deuxième maman ?
Très intéressant. C’est la première fois que j’entends comment un père peut être impacté physiologiquement par le post partum. Merci Charlotte.
J’apprends qu’il existe une dépression post-partum paternel, Très intéressant, merci pour ces informations.
Merci de parler du rôle des papas et de leur donner leur vraie place!
Cela évolue mais il y a encore du travail!!
Je connaissais la dépression post-partum paternelle mais je suis étonnée que le chiffre soit si élevé.Merci pour ce point côté père dans le vécu de ce quatrième trimestre. L’accent est souvent mis sur les mamans mais les papas aussi vivent ces changements.
je ne savais pas que la dépression post partum paternelle existait aussi en tout cas pas décrite comme cela
Je n’avais pas connaissance de la dépression du post partum chez le père, merci pour ce partage.
Merci pour ce focus papa !
merci pour les informations
Il est vrai qu’on ne parle pas assez des pères! Merci pour toutes ses informations!
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