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136 réponses à “Le quatrième trimestre côté mère”
Dans ce cas, au regard de toutes les manifestations physiologiques de la conception à la fin du 4è trimestre de la grossesse, du début de la gestation à la dégestation, pourrait-on dire qu’une grossesse “en générale” dure 12 mois (1 an), en fonction des femmes, puisque certaines peuvent présenter des manifestations plus ou moins longtemps, physio-physiques ou/et psychologiques ? Peut-on toujours prétendre qu’un grossesse dure 9 mois ( en décompte, 8 mois, 1 semaine et cinq jours, soit environ 39 semaines), tenant compte également du fait que la vie du fœtus, si l’on peut dire du bébé, commence dès sa conception ?
Est-il possible d’intégrer systématiquement le renforcement ou l’instauration de l’estime de soi dès le début de l’accompagnement, en prévention ou préparation du terrain de l’accompagnement, même si l’accompagnement évoque régulièrement les capacités personnelles et maternelles de la femme ?
Bien qu’en tant que sophrologue, nous nous devons d’accompagner la femme et la mère en fonction de ses choix et de ses besoins, serait-ce déplacé ou hors déontologie de l’intégrer, sachant que tout facteur lié à la grossesse peu entrainer cette faiblesse lourde de conséquence, faiblesse qui peut être occultée, minimisée, masquée ou non reconnue par la femme elle-même ?
Sans commettre d’impair, je souhaiterais permettre à la femme/mère, l’opportunité d’un état psycho-corporel valorisé dès le départ.Bonjour Francine
Je ne sais pas à quoi vous faites référence comme pratique lorsque vous parlez de renforcer l’estime de soi. Pouvez-vous m’en dire davantage ?
Pour ma part, je ne ressens pas la nécessité de travailler frontalement l’estime de soi parce qu’en fait, elle se renforce d’elle même : avec la pratique des respirations, la femme réalise qu’elle peut être compétente pour s’apaiser, accompagner ses contractions… Par le moment ressource idem… Les futurisations et la prise de conscience des capacités… Vous verrez lorsque vous arriverez à ma proposition de protocole que finalement, toutes les pratiques vont permettre un renforcement de l’estime et de la confiance en soi.
C’est juste quelque chose qui me parait indissociable d’un accompagnement en sophrologie. Toute pratique sophro travaille indirectement ces deux aspects. Il n’est pas forcément nécessaire de le forcer.
Est-ce que vous voyez ce que je veux dire ?
Charlotte
Vous avez totalement raison. Tout au long des pratiques sophrologiques, au fur et à mesure de l’acquisition des outils et la prise de conscience de savoir et de pouvoir maîtriser ses ressentis, de les comprendre et d’avoir la capacité de les accompagner, d’en atténuer les douleurs par exemple et d’en optimiser les résultats, confère apaisement, confiance en soi et en ses capacités. Ce qui nourrit progressivement l’estime de soi sans être dans l’obligation de la travailler frontalement, pour reprendre votre expression.
Merci.
Très intéressant toutes ces informations sur les modifications après l’accouchement. Notre corps est décidément, encore une fois, exceptionnel. Et il y a tellement de notions que j’aurai aimé connaître pour les grossesses.
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