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110 réponses à “Les besoins de la femme pour un accouchement physiologique”
Jolie check liste pour le jour J, merci !
Merci de préciser tous ces besoins de la maman, cela va permettre de l’orienter davantage vers ce qui est bon pour elle
Il y a déjà des choses que je mettais en place avec la maman et son conjoint mais cela me donne encore plus d’informations pour étayer mon argumentaire si besoin 😉 et de proposer encore plus … notamment encore plus d’échanges avec son bébé !! merci
Très instructif !
Merci pour toutes ces informations.
Merci pour cette vidéo très intéressante sur les besoins des femmes pour favoriser un accouchement physiologique.
écouter les besoins de la femme et écouter ses besoins en étant libre de tout mouvement et accompagnement
Merci pour ces informations.
Merci pour toutes ces informations, j’aurai aimé savoir tout cela avant mes accouchements !
Très intéressant !! merci pour toutes ses informations!!
Merci beaucoup!
Merci pour ce rappel complet de ce dont la femme a besoin et surtout qu’elle ose l’exprimer, le verbaliser et s’écouter
merci pour ces infos complémentaires
très riche d’informations ! Merci beaucoup
Merci pour ce partage et ces informations.
J’ai beaucoup aimé l’idée de parler à son bébé…et j’ai réalisé le rôle important de l’accompagnant.
Merci pour ces explications. Le sentiment de sécurité et le lien avec l’accompagnant et le bébé sont tous deux importants
Merci pour toutes ce informations essentielles
j’aime bien l’idée de rassurer le bébé et de lui montrer le chemin
Merci, tout ce que vous évoquez est tellement important!
Merci pour ces belles explications et de votre expérience .
merci pour toutes ces explications
Merci pour ce module, je me rends compte à quel point la sophrologie a toute sa place dans l’accompagnement des futures Maman.
J’ai beaucoup apprécié cette partie sur les besoins de la femme lors d’un accouchement. Des conseils avisés et si essentiels. Merci.
Beaucoup d’informations dans cette vidéo toujours très utiles. La sophrologie est tellement bénéfique pour accompagner les mamans !
merci
Merci c’est tres interessant comme toujours
Super, j’ai adoré ce module. On voit bien à quel point la Sophrologie est une grande aide pour bien vivre son accouchement, rester détendue, sereine….et en confiance surtout.
La sophrologie a vraiment toute sa place pour mieux vivre ses accouchements.
Je l’ai découverte pour ma seconde grossesse et j’ai pu gérer la douleur et vivre un très bel accouchement.Chacun est unique et à chacun son besoin. Dans cette préparation à la naissance chaque détail a son importance. Savoir s’écouter.
Merci pour ce rappel. On voit bien à quel point la préparation mentale joue un rôle important lors de l’accouchement.
Merci pour ce rappel des différents besoins. C’est très intéressant pour notre pratique de sophrologue pour accompagner les femmes à la naissance.
La sophrologie a toute sa place dans ce parcours de femme.Merci Charlotte de nous apporter toute votre expérience et vos connaissances a ce sujet.Il est tellement important d’accompagner la femme enceinte a s’autoriser à exprimer ses besoins , ses désirs et a parler avec son bébé!Cela semble évident mais pas toujours facile a appliquer le jour de l’accouchement lorsqu’on a pas pris le temps de se préparer, de s’entraîner au préalable.
Beaucoup de femmes ne sont pas consciente de leurs réels besoins. C’est aussi notre rôle de sophrologue de l’aider à s’écouter davantage.
Ce sera notre rôle également de rappeler ces besoins aux futures mamans, car elles n’en ont peut-être pas conscience. Et surtout leur rappeler qu’elles ont la possibilité de les faire respecter en salle de naissance.
Après voir décortiquer tous ces besoins, on constate que chacun d’entre eux sont primordiaux pour l’accomplissement d’un accouchement physiologique.
chaque femme est unique, chaque accouchement est unique. une bonne préparation avec une sophrologue permet de bien se préparer à la naissance
Merci de rappeler ces besoins : de parler au bébé, de le guider, de renforcer le lien et surtout que la femme écoute son corps.
En tant que sophrologue cela va permettre de pouvoir bien les accompagner, les rassurermerci pour toutes ces informations qui permettent de mieux identifier les besoins de la femme lors de l’accouchement et qui nous donnent tellement d’éléments importants afin de mieux les accompagner pendant la grossesse.
Besoin de sécurité intérieure, confiance en son corps, apprivoiser les contractions, développer le lien avec le-la conjoint (e) ou accompagnant, communiquer avec son bébé pour l’aider aussi, oui c’est un beau projet de naissance que la pratique sophrologique peut vraiment favoriser!
Merci pour toutes ces précisions, et de précisez également que parler au bébé pendant l’accouchement pour l’aider à venir au monde est très intéressant
merci pour le rappel de tous ces besoins qui ne sont pas forcément les nôtres mais qui permettent la création d’un cocon pour accoucher.
Merci, j’ai hâte de pouvoir accompagner les femmes dans cette étape si importante, les replacer au coeur de l’action et non en “subissant” l’accouchement encore trop souvent médicalisé. Ca a été le cas pour moi mais pour beaucoup autour de moi, et pourtant, il y a seulement 5 ans! heureusement les choses évoluent vraiment ces dernières années et les femmes semblent plus au fait de tout cela donc tant mieux pour elles, et pour nous sophrologues !
Etre informé est donc essentiel, bien accompagné aussi !
Plus d’explications pour une meilleure compréhension et préparation pour vivre ce moment le plus serein possible pour la mère et les accompagnants!
Merci pour la métaphore de la vague !Super ! l’importance de la présence des accompagnants, leur donner un rôle, et l’importance de la communication dans le couple.
Mercij’aime beaucoup cette image de la vague.
Tout cela est très inspirant pour ma pratique!Toujours aussi passionnant .
Mettre en avant le rôle de l’accompagnant , ainsi que les répercussions positives du besoin de parler de la maman à son bébé , me plait beaucoup .C’est très parlant et inspirant pour les pratiques sophrologiques que l’on peut mettre en place
Super, cela me conforte dans ma pratique. 😀
Merci pour toutes ces informations
s’écouter, bouger comme on l’entend et surfer sur les vagues…merci pour ces conseils que chaque femmes enceintes devraient pouvoir entendre.
J’apprécie la métaphore de la vague.
J’ai particulièrement apprécié la fin de la vidéo où il est question du besoin de la femme de parler à son bébé que ce soit à voix haute ou par la voix intérieure et les bienfaits que cela peut engendrer pour la maman et pour l’enfant.
J’accueille cela avec un mélange de joie, d’humilité et de reconnaissance.Merci
Merci Charlotte. Je suis ravie de cette vision globale que vous nous donnez de l’accouchement physiologique et j’ai hâte de pouvoir contribuer à aider des mamans à “surfer sur les vagues”, à s’écouter, se faire confiance et surpasser leurs peurs … je comprends bien toute notre valeur ajoutée en tant que sophrologue 🙂
Bonjour Charlotte
J’ai beaucoup aimé la métaphore de la vague, c’est tout à fait cela, plus on lutte contre la contraction plus elle est douloureuse (ressentie) , plus on la laisse venir et repartir plus elle est tolérée et efficace.
MerciMerci pour ces explications claires et précises
Si seulement toutes les femmes avaient accès à cela pour leur accouchement ! très intéressant comme d’habitude
Très belle image de la vague j’adore!! et savoir que l’environnement est crucial pour le bien être de maman et bébé
J’ai beaucoup aimé l’image de la vague pour les contractions.
J’ai beaucoup aimé la métaphore de la vague pour parler de la contraction à la femme enceinte. Très belle image qui je pense permet d’appréhender les contraction positivement.
Très intéressant et clair.
Ca fait écho avec l’accouchement que j’ai vécu il y a quelques mois.
Et primordial à savoir dans le cadre d’un accompagnement sophrologique à la naissance.Cela me rappelle plein de choses sur mes accouchements et cela conforte mon idée que j’ai eu un bon accompagnement surtout pour le deuxième.
Que ça fait du bien d’entendre ces paroles de liberté dans le mouvement ! Je ne me souviens pas les avoirs entendues lors de mes accouchements (un peu plus pour le dernier mais plutôt avant pas tellement pendant) je me souviens d’avoir eu un peu le sentiment d’être empêchée, et je ne me suis pas autorisée à ! ce serait sans doute différent aujourd’hui…
Bonjour Natacha
Oui, les mentalités ont bien évolué ces dernières années. Moi j’ai vraiment vu le changement entre mes études sages-femmes terminées en 2004, mon début de pratique professionnelle avec des femmes totalement allongées et la prise de conscience de l’importance de la mobilité dans les années 2008-2010.
J’aurais aimé avoir toutes ces informations et accompagnements pour mes accouchements! Heureuse de faire cette formation qui donne encore plus de sens à mon accompagnement.
Pour mon dernier accouchement, ma sage femme m’a invitée à faire les choses que j’aime pendant le pré-travail, j’ai donc décidé de peindre un tableau en écoutant de la musique pour me détendre, ça m’a beaucoup aidée et j’ai maintenant un magnifique souvenir qui illustre bien la naissance de ma fille.
Pour en avoir fait l’expérience, c’est tellement vrai…. je revis mes accouchements.. magique… merci
Toutes ces connaissances me paraissent indispensables pour les futures mamans, c’est rassurant et motivant de savoir à quel point on peut être actrice de ce moment.
Merci de parler des besoins de la future maman qui j’imagine ne sont pas toujours entendus. En tant que sophrologue, nous pourrons ainsi les aider à se sentir légitimes et confiantes en parlant de leurs besoins sans avoir peur.
Merci Charlotte pour cette écoute des besoins des mamans, ce n’est pas toujours le cas, en tout cas pour moi ça n’a pas été respecté. Permettre aux femmes de s’approprier leur accouchement, d’écouter leurs sensations, leur corps, de communiquer avec bébé. Quel bonheur que cette formation qui fait sens ! La sur médicalisation oublie quelque fois ces préceptes de bon sens.
J’ai adoré l’image de la vague, c’est très parlant pour moi.
Parler des besoins, merci Charlotte. Je suis vraiment heureuse de suivre cette formation et au-delà de ma posture de sophrologue je me sens chanceuse d’avoir accès à toutes ses informations, à cette démarche alignée avec mes valeurs et j’ai hâte de pouvoir les transmettre.Heureuse de ce module qui me replonge dans mes plus belles expériences.
Ravie de découvrir les avancées en matière de compréhension du lien maman/bébé, de l’écoute des besoins de la maman aussi . J’ai accouché en 2002 et 2004 alors évidement les choses ont bien progressé. Je me souviens toutefois que j’étais intimement persuadée qu’il était utile de communiquer avec le bébé sous différentes formes(, mots, caresses etc) et j’ai l’impression que cela a joué un rôle essentiel dans le lien privilégié obtenu avec mes filles dès la naissance
Percevoir la contraction comme une vague, c’est une belle image agréable et suivre le mouvement pour adoucir la sensation douloureuse .Beaucoup aimé ce module. J’aurais aimé savoir tout ceci avant mes deux accouchements… Merci Charlotte, tout ceci est complètement indispensable pour pouvoir accompagner avec bienveillance la future maman.
J’aime beaucoup votre façon de présenter les choses et de mettre en lumière cette connexion maman / bébé qui ne fait que s’amplifier au rythme de la grossesse pour atteindre son paroxysme lors de l’accouchement. c’est tellement beau.
Je suis contente de vivre à cette époque pour tout l’avancé que cela représente ! toute cette compréhension ! et toute cette bienveillance autour de la naissance… merci pour ces riches partages ! je ne regrette vraiment pas avoir pris cette formation !
je réalise à quel point mes prépas à l’accouchement n’ont pas été optimales! le seul conseil reçu était de marcher tant que c’était possible …
Bonjour Anne-Françoise
Je ne sais pas de quand votre dernier accouchement mais quand j’ai fait ma formation de sage-femme (2000-2004), c’était aussi ce qu’on disait. Heureusement, la compréhension avance et les prises de conscience aussi ^^
J’apprécie beaucoup tout ce que tu dis Charlotte et cela résonne fort en moi, je ressens des émotions. Certains regrets, ceux de ne pas avoir jadis compris certaines choses, ou de ne pas avoir fait ce qui aurait été bien mieux, laissent place à l’espoir. Je peux transmettre.
Je suis heureuse de comprendre et, cette fois ci, pas seulement cognitivement mais profondément de tout mon être : la relation, le ressenti et la façon d’être et d’être accompagnée, dans ces moments d’accouchements, sont cruciaux. Je perçois comment j’aurais pu vivre mes accouchements autrement. A l’époque je ne faisais pas de sophrologie.
La vague et son accompagnement à l’inverse de la lutte, sont pour moi extrêmement évocateur des phénomènes ressentis, ceci en temps que femme ayant accouché et également en temps que nageuse, connaissant ”la barre” de l’océan qu’il faut savoir utiliser pour revenir sur la berge. ( car lutter contre elle c’est risquer le naufrage.)
J’ai versé une larme lorsque tu as évoqué le fait de parler à son bébé pour cette étape ”qu’ils franchissent ensemble”. Et je me demande alors si, moi, j’ai jadis parlé, à mon, à l’un de mes trois bébés. Je ne me souviens pas et j’en ressens de la tristesse. J’étais plus dans le faire, que dans l’être. Le processus de douleur m’envahissait et empêchait peut-être ma conscience de…d’être présente. Cela me semble tellement évident aujourd’hui en temps que sophrologue ! Je me souviens surtout que je souffrais et ”pestais”.
La lumière se fait en moi car ton enseignement ( arrivé hélas trop tard pour moi) et mes différentes expériences vont me permettre d’accompagner au mieux ma fille, puis peut-être, d’autre futures mamans.
Merci Charlotte. Gratitude.Hello Michèle
Il y a aussi “parlé” et “parlé”. Beaucoup de futures mères ne “parlent” pas à leur bébé mais communiquent autrement, avec le toucher, avec des images, des sensations… une connexion immatérielle. Peut-être pourrais-tu faire une Sophromnésie d’une de tes grossesses pour réaliser que cette communication, cette communion, existait à sa manière.
Et si ce n’est pas le cas, et bien, peut-être est-ce triste, ou peut-être était ta réalité objective de ce moment. En tout cas, cela a fait partie de ton chemin pour arriver ici et maintenant. Et peut-être peux-tu voir tout le chemin parcouru avec… un sentiment qui s’éveille, peut-être. Si oui, lequel ? 🙂
Tellement éclairant de savoir que parler à son bébé diminue les risques de complications et renforce le lien. Toutes ces notions sont très intéressantes, et vont me permettre un accompagnement complet et global. Top !
Accompagner vers l’autonomie, l’écoute de soi et de ce qui est bon pour soi malgré les contraintes, difficultés qui peuvent se présenter.
merci pour cet élargissement de mon champ de vision.Accompagner vers l’autonomie, l’écoute de soi et de ce qui est bon pour soi malgré les contraintes, difficultés qui peuvent se présenter.
merci pour cet élargissement de mon champ de vision.Bonjour la communauté,
Je m’interroge:
Reste- t- il encore des accouchements physiologiques dans notre société occidentale?
Dans le cadre de mon travail en PMI , j’ai le souvenir d’avoir vu que “eutocique” ou “césarienne” mentionnés sur les carnets de santé.
Bonjour Florence
Une partie de la réponse se trouve dans le module suivant ^^
Bonjour Charlotte.Comment eviter l’immobilite si une femme accouche sous peridurale? Elle ne pourra pas bouger, vu l’immobilite du bas du corps. Merci!
Bonjour Hélène
Tout dépend du dosage de la péridurale, certaines permettent de maintenir une certaine motricité. Et l’équipe médicale est aussi là pour aider à mobiliser les femmes. 🙂
Mais du moment où il y a péridurale, on n’est plus dans un accouchement physiologique mais dans un accouchement eutocique 😉
En effet le sentiment de sécurité est très important, et la femme se sachant accompagnée par un être cher qu’elle a choisi va l’aider à se sentir en sécurité.
Etre libre de bouger, de prendre les positions qui sont les meilleures pour elle est également important. C’est vraiment super de savoir tout cela afin de leur fournir un maximum d’informations pendant l’accompagnement en sophro.Tellement juste! Merci pour ces explications toujours aussi claires 😉
Je me rappelle être restée sagement dans mon lit pour mon 1ER accouchement, ne pas oser! c’etait il y a 36 ans! Heureusement je m’étais préparée instinctivement à ne pas lutter contre la douleur à l’epoque je m’etais imaginé une vague, j’ai souri quand vous en avez parlé, comme quoi l’instinct est bien là! Mais je m’etais sentie bien seule à l’époque quand même, et mon bébé avait fait de la bradycardie! mais elle est née très vite et tout s’est bien passé quand même ….. pour les autres ça a été comme sur des roulettes…. sans péridurale….( j’avais plus peur de la péridurale que des contractions lol!)
Je suis heureuse de voir combien tout ça a évolué, mes filles sont mères à leur tour et il y a un autre accompagnement plus personnalisé et plus à l’écoute! Mais par contre ma fille ainée est en Suisse et là-bas c’est encore plus “à l’écoute”, on a encore en France pour certaines maternités des pas à faire en avant! Notre rôle de sophrologue peut d’ailleurs y contribuer fortement je penseJe me rappelle avoir crier, bouger de manière un peu honteuse…l’idée de il faut rester digne ..heureusement la sage-femme m’a autorisé elle m’a dit que j’avais tout les droits et a demander à mon mari de m’aider à bouger..quelle chance de pouvoir savoir tout cela avant pour les femmes et les accompagnants!
Bonjour Céline
“Honteuse”… comme cela nous a été imposé au cours de l’Histoire… Heureusement, les professionnels de santé ont aussi évolué ! Merci de partager votre expérience intime avec nous.
Quels regrets de ne pas avoir su tout ça avant mes accouchements.
Savoir que je devais vivre la contraction comme une amie et non la redouter.
Savoir que je pouvais bouger pour aider mes filles à passer.
Savoir que j’avais le droit de me détendre et de lâcher prise pour accompagner la sortie de mes filles.
Merci pour cette nouvelle vision de l’accouchement.Merci pour toutes ces explications ! J’accompagne actuellement une femme enceinte de 5 mois et je comprends pourquoi elle a mis 12h à accoucher de son 1er enfant. Peut-être n’était-elle pas en sécurité et peut-être qu’en effet elle était en “opposition” face à ses contractions. Cela me permettra de mieux la guider pour les prochaines séances afin qu’elle vive mieux son 2eme accouchement.
Merci !Bonjour Ingrid
Peut-être était-ce pour cela, peut-être pas. Mais en tout cas, cela ouvre des pistes de travail 😉
Je vous souhaite un bel accompagnement !
Voici une manière structurée de parler des besoins de la femme. Cela donne beaucoup de pistes pertinentes pour travailler en sophro. Renforcer la sécurité, permettre à la femme de s’autoriser à faire/dire ce dont elle a besoin, accepter/accompagner les “vagues”, lui permettre de parler à son bébé …
Merci pour cette approche très humaine.Merci beaucoup pour toutes ces informations. De part mon expérience j’avais déjà beaucoup d’éléments dans ma tête mais les voilà bien organisés. J’adhère totalement au rôle important de l’accompagnant.Se préparer , savoir s’ écouter, accepter la contraction et comprendre son rôle et surtout la vivre sereinement comme une vague, voilà les éléments clés !
Merci pour tous ces apports.
J’ai compris en quoi nous pouvons les aider.J’apprends tellement! Merci! Juste avant de regarder cette vidéo, je parlais à mon mari de ma formation un peu dans les détails. (J’ai vécu un accouchement physiologique avec lui) et je lui disais que je n’étais pas si bien préparé que je ne le croyais. Il m’a émis l’hypothèse qu il faudrait plus préparer les papas aussi. Car lui c’est senti démuni, il dit que ce qu il avait vu en préparation ne lui a pas suffit. Il c’est senti inutile. Il pense que son rôle était de nous aider, de nous accompagner de nous protéger et face à ma douleur il n’a pas su vraiment comment agir. Alors que moi je l’ai trouvé juste très présent et cela m’a tellement suffit. Peut être que je ne lui ai pas permis plus, j’étais comme seule avec moi et mon bébé. Peut être comme vous évoquez ici, les préparer à un refus « d’aide » qu’ils prennent conscience que parfois seul leur présence est importante. Sans lui je ne me serais pas sentis en sécurité, il était là c’est tout et c’est tellement pour moi! D’autant plus que toutes les sages femmes étaient dans la salle d’accouchement à côté, j’étais vraiment seule avec bébé et lui. Il a su les appeler au bon moment, je n’aurais jamais pu les appeler par moi même! Dommage qu’il en garde ce souvenir..d’ailleurs je file lui dire ce que je viens de vous dire!!! ❤️
Merci encore pour vos mots.
À très vite
Cette formation est magnifique.😀 😀 Voilà pourquoi il est toujours intéressant d’inviter les papas aux séances de sophrologie (et sinon, d’inviter les femmes à en parler avec eux, à leur faire vivre les séances avec les enregistrements. Parce que eux aussi ont leur propre chemin à parcourir vers la paternité)
Merci pour ces éclairages très riches. Effectivement voir et ressentir la contraction comme une amie qui nous aide dans la mise au monde, se laissé traverser par la douleur dans l’acceptation de celle-ci comme nécessité à la mise au monde, et non pas rentrer dans une lutte contre cette manifestation corporelle.
En revanche, qu’en est-il des accouchements durant cette période COVID, avec parfois dans certains hôpitaux (et cela est mon cas) l’entretien pré natal annulé ainsi que les 7h d’accompagnement à la parentalité (malheureusement aucunes alternatives sont proposées)…?
Vous parlez du rôle primordial des accompagnant durant la naissance mais comment apaiser une future maman, qui pourrait accoucher seule (réalité objective), si la maternité n’accepte pas le conjoint durant la mise au monde?
Qui prendrait ce rôle?Merci d’avance pour vos réponses.
Bonsoir Caroline
Il est vrai que beaucoup de maternités ont “ouvert le parapluie” et fermé tout ce qui était proposé aux futures mamans. Mais, il reste encore le réseau des sages-femmes libérales qui s’est adapté et a proposé des séances de préparation à la naissance en visioconférence. N’hésitez pas à les solliciter !
Concernant l’absence d’accompagnant au cours de l’accouchement, c’est de plus en plus remis en cause au niveau local. Les équipes sont parfaitement conscientes de l’importance de soutien pour la parturiente (et d’autant plus quand les sages-femmes sont débordées !).
Donc, en pratique, je dirais : encourager la femme à “ne pas se laisser faire” et à faire valoir ses droits. Si jamais cela coinçait vraiment (ou si vous accompagnez une femme de militaire, une femme dont le conjoint devrait garder un aîné…), je vous invite à travailler +++ ses capacités propres : se recentrer, s’écouter, rentrer dans sa bulle, garder confiance en elle (le soutien est important mais la femme, elle, est essentielle). Tout est dans ses mains à elle. Lui faire travailler +++ la vague (vous verrez cela au module 7). Je vous propose de garder cette question en tête et nous reparlerons quand vous aurez visionné le module 7. Ça marche ?
Bonne soirée !
Charlotte
Merci pour toutes ces explications !
J’ai beaucoup aimé l’image de la vague dont j’avais déjà entendu parlé, ça me fait penser aux émotions qui sont moins “violentes” si elles sont pleinement vécues…
Je relève aussi l”importance de parler à son bébé, de le rassurer, la maman et le bébé forme une belle équipe dans cet accouchement 🙂
Merci pour ce module très intéressant ! Hâte de poursuivre mais je vais déjà laisser tout cela infuser jusqu’à demain 😉J’ai réécouté une 2 ème fois, je retiens : apprivoiser la contraction (sensation/perception) imaginer la contraction comme une vague, se laisser porter par la vague .) accompagner la contraction, l’accompagner lui donner du sens . Si on lutte contre la contraction, on rallonge l’accouchement et on augmente la douleur.
Perso, je n’ai pas du tout pensé a cela , pourtant j’avais “soit disant” été préparée par une sophrologue ;-( (d’où mon envie de me former moi-même à cela 10 ans après )Bonjour Laurence
Je pense que 10 ans, cela change beaucoup de choses ^^ Notamment dans la compréhension des mécanismes physiologiques de l’accouchement, dans la vision de la médicalisation. Il y a beaucoup de chemin de fait, dans le monde de l’obstétrique, de la sociologie, de la psychologie…C’est pour cela que je parle beaucoup d’histoire. Parce que tout cela est un mouvement évolutif, non figé. Forcément les formations doivent s’adapter.
Des échos que j’ai eus (et qui ne sont surement pas significatifs ^^), beaucoup de sophrologues étaient formés à accompagner des femmes avec péridurale. Ici, je vous propose une démarche différente parce que je pars du principe que si vous savez accompagner une femme dans un accouchement physiologique, vous saurez totalement vous adapter à de la médicalisation. L’inverse n’est pas si sûr.
C’est tellement important ce que vous dites , percevoir la contraction comme une amie qui aide l’enfant à avancer… parler à son enfant même intérieurement, , si la maman à conscience que chaque contraction c’est son corps qui la produit et l’accepter comme une vague au lieu de se bloquer. Merci. hâte de dire tout cela !
merci pour toutes ces précicions
Ces besoins sont en effet importants, à prendre en considération et à respecter à chaque instant. Merci pour ces informations !
Merci pour ces informations précieuses ! elles sont logiques mais dans le feu de la grossesse et de l’accouchement on y pense pas. D’où notre vrai plus en tant que Sophrologue… j’ai envie de donner ces informations à toutes les femmes enceintes maintenant !
Dans la liste des besoins de la femme, j’ai pu prendre conscience de l’importance du besoin de parler à son bébé pour le rassurer pendant l’accouchement
Tout ce module a été très très intéressant !oui effectivement se laisser porter par la vague de la contraction me parait être une bonne image et s’écouter.
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