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3 réponses à “La sophrologie comme hypothèse”
J’ai aimé le recadrage : “le sophrologue est tenu à la démarche, pas au résultat”. Vous décrivez une posture celle de l’accueil dans ce qui est, à l’instant où cela se vit.
oui la sophronisation dépend de l’humeur, le temps, l’heure … et de la personne !
Qu’est ce que l’instant me guide ? je garderai cette question.
Et cette liberté me rend plus sereine et confiante.
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