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3 réponses à “Passer de la théorie à la pratique”
la pratique choisie est la RDP. C’est une technique que j’affectionne particulièrement car elle me recentre et m’apaise.
C’est exactement cela que j’ai ressenti à nouveau dans le souvenir vécu en formation.
La sérénité est l’état dans lequel je me suis trouvée dans le présent et c’est aussi cela que j’ai vécu en conduisant cette pratique auprès d’une cliente dans la futurisation.
Je ressens de la maîtrise et une quiétude par rapport à cette technique.
Je mesure le chemin à parcourir encore sur d’autres pratiques, et du travail accompli déjà.
Je prends conscience que la technique que j’ai apprise, je l’ai au début retransmise telle quelle puis au fur et à mesure je me la suis appropriée en utilisant mes propres mots dans le respect de la méthode.J’ai fait pratiqué l’enfant interieur à ma cliente, avant la guidance je voulais faire le voyage dans le cosmos et pendant la sophro mnésie j’ai visualisé la 1ère fois que la formatrice nous l avait fait et pleins de sensations sont revenus. J’ai imaginé l’animer ensuite à ma cliente et j’étais à ma place parce que en animant ma séance je la vivais et donc j’étais cohérente parce que je l’ai pratiqué très souvent pour moi même. Plus je pratique pour moi mieux je transmets à l’autre, Ce sont des prises de consciences importantes et essentielles à mes yeux désormais.
Bonjour Charlotte,
Je me suis imaginée faire pratiquer la Sophro Contemplation du Schéma Corporel. Dans ma visualisation j’étais très concentrée et les mots venaient plutôt facilement. Je me sentais à ma place dans ma posture de sophrologue en guidant et je visualisais mon client concentré et réceptif à cette pratique. J’étais à la fois calme et concentrée et plutôt à l’aise, c’était agréable… C’est au moment de la phénodescription que j’ai senti mon corps se tendre, mon coeur battre plus vite et ma confiance s’étioler. Je redoutais presque mes questions qui n’allaient peut-être pas recevoir de réponse ou peu. D’ailleurs je ne sais pas les réponses que j’ai obtenue.
Je sais que c’est vraiment la partie principale que je dois travailler…
Et comment je me suis sentie après avoir écrit cela ? Je me sens bien dans ma posture de sophrologue, j’ai trouvé ma place. Comme si cette posture enveloppe mon corps de façon juste, cohérente. Mais au fond de moi une frustration et de l’incertitude persiste à cause de mes phénos que je ne trouve pas du tout efficaces, et c’est là que le doute m’assaille dans mes compétences de sophrologue.
A travailler donc…
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