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5 réponses à “Choisir sa voix, investir un pronom”
Le “je” je l’utilise quand je me fais des pratiques pour moi.
Le “on”” ne me parle pas car il n’identifie personne.
Le “vous” et le “tu” supposent pour moi que je ne fais pas la pratique avec la personne que je reçois et cela est tout à fait entendable. C’est en fonction de chacun.En ce qui me concerne, j’ai aussi appris avec le “nous” qui induit un lien, une sorte d’harmonie entre les sophronisant et le sophrologue. C’est ce pronom que j’utilise en séance.
le je c’était comme si vous me racontiez une histoire et que je n’y adhérais pas du tout.
le tu je le trouve intéressant pour les enfants et les ados mais trop familier pour les adultes, ça me gêne
le on faisait mécanique et détaché c’est le pronom qui m’a le plus gêné et dérangé
le nous je ne le pratique que depuis cette masterclass et je le trouve engobant et une sensation de partager la séance à 2, je l’aime beaucoup et je pense le mettre en pratique beaucoup plus
le vous me parle beaucoup, je l’ai appris comme ça , c’est peut être pour ça mais il me correspond aussi.
Bonjour Danièle
Merci pour ce retour !
L’important, c’est que vous trouviez le ou les pronoms qui font sens pour vous (et pour vos client.es) 🙂
J’ai l’impression que c’est le cas ^^Charlotte
“Je” j’ai des ressentis presqu’en ifn de séance, au moment ou je commence à ressentir c’est déjà le moment de passer à autre chose, je n’utiliserai pas ce pronom
“Tu” je ressens tout de même des sensation légères comme une légère brise au niveau du 3° espace mais ma conscience me ramène à une séance de groupe dans une école élémentaire et je guide la pratique, je rentre tout de même dans la vivance.
“On” Alors là ça ne me correspond pas du tout, du toutou tout, je suis complètement sortie de l’expérience, j’ai bougé, et je n’ai eu aucun ressenti.
“Nous” Je n’ai pas appris comme cela mais avec le Nous , c’est une expérience englobante, je me recentre sur moi, j’ai la sensation que nous sommes qu’un, et je ne parle pas seulement de Charlotte qui me guide mais plutôt de NOUS que je définit à ce moment comme :
1 – Mon corps, mon esprit, ma conscience supérieur
2- Mes autres corps, ceux de mes cellules, leurs propres consciences
3- toutes ces consciences qui convergent en un seul point
Je pense donc que je vais adopter ce pronom car je cela me correspond un peu plus, je le trouve plus puissant et je me sens plus à l’écoute, je ressens de la chaleur, des frétillements, de la légèreté, et de la grandeur , l’impression d’être dans une magique harmonie, sur tout les plansBonjour Charlotte,
– Le “je” a bien raisonné en moi, j’étais réceptive, je me sentais concernée directement, c’est un peu comme si je me parlais à moi-même.
– En employant le “tu”, c’est comme si je n’étais pas concernée, que ça ne s’adressait pas à moi, que c’était pour quelqu’un d’autre et je n’ai donc pas eu beaucoup de ressentis.
– Le “on” ne m’a pas concernée non plus, c’est comme si ça ne m’étais pas adressé, j’ai même un peu décroché en ayant des pensées parasites.
– Le “nous” me fait ressentir les choses, cela m’est familier, c’est aussi parce que j’ai l’habitude d’écouter vos pratiques sous cette forme.
– Avec le “vous” je me sens directement concernée, c’est à moi que ça s’adresse et ça m’incite à être plus réceptive, plus attentive.
En conclusion, je trouve le “on” trop impersonnel et ça ne me correspond pas. Je sais que je ne l’utiliserais pas.
Avec mes clients j’utilise le “tu” pour les enfants et les jeunes et ça fonctionne plutôt bien car je les sens réceptifs. Il n’y a pas de confusion possible, c’est bien à eux que je m’adresse. Et j’utilise le “vous” pour les adultes, je trouve que ça les implique bien dans la pratique et je les accompagne dans les mouvements.
Personnellement l’usage du “tu” et “vous” me correspond bien, je suis à l’aise avec, il n’y a pas de confusion, je les accompagne et c’est “leur” pratique, c’est pour eux, dans “leur” moment à eux.
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