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3 réponses à “Choisir le sophrologue que l’on veut être”
Je me suis sentie riche de rencontres, des valeurs qui sont les miennes, de pratiquer la sophrologie avec tout ce que je suis.
pour moi ce mot liberté, cette liberté me parle dans le sens ou être libre d’être le sophrologue que l’on veut est le fait d’être une sophrologue compétente, avec des outils, des valeurs, une ligne directrice, mais aussi une formation complète et surtout continue. Etre alignée avec soi-même et surtout être en perpétuelle remise en question, en partage d’expérience. Etre libre d’être le sophrologue que l’on veut c’est aussi et surtout se former, travailler, apprendre continuellement, ne pas rester sur ses acquis, creuser et comprendre pour pouvoir transmettre en étant compétent dans nos accompagnements.
Bonjour Charlotte, voici les phéno des différentes vidéos :
1) Expérimenter la liberté : expérimenter des pratiques différentes : J’étais bien dans l’instant présent à tester mes points d’appuis sur les pieds et comment maintenir mon équilibre de façon plus ou moins confortable. En faisant l’exercice du hula hoop et en me regardant, je me suis sentie amusée car j’avais bien conscience que plusieurs cerceaux seraient tombés car c’est très difficile pour moi d’actionner à la fois le cou, les mains, la taille et les chevilles 😂. Mais j’ai fait ces mouvements circulaires. En pause d’intégration j’ai senti mes pieds au sol plus ancrés, mon rythme cardiaque accéléré et de la légèreté dans mes membres. Je n’ai pas ressenti d’autre émotion particulière que l’amusement, mais c’était une expérience agréable.
2) Vivre la liberté : découvrir la liberté en soi : J’ai choisi de faire le geste du Tra-tac avec mon index dans le 1er espace, entre les deux sourcils, pour me rappeler cette liberté par ce geste signal et j’ai senti le point d’impact dans cet espace, qui est resté présent après avoir enlevé mon doigt et j’ai pensé comme à une empreinte laissée, l’empreinte de “ma liberté” et j’ai décidé de faire ce geste deux fois.
3) Se projeter librement : se transporter dans une journée de travail en se sentant réellement libre. Je suis bien rentrée dans la visualisation d’une journée dans mon cabinet avec plusieurs clients en séances et j’ai su m’adapter selon leur humeur et leurs émotions du moment, en changeant les exercices que j’avais prévu. C’est facile pour moi de le visualiser puisque je le vis déjà. Personnellement après 6 mois de pratique en cabinet, j’ai commencé à quitter mes protocoles (après avoir suivi des formations dans plusieurs écoles) et aussi par soucis d’adaptation face à des clients qui ne sont pas du tout dans le thème de la séance que j’avais prévue initialement par exemple. Mais aussi parce que j’ai perdu énormément de temps à préparer des protocoles pour des clients qui se sont finalement désistés après la 1ère séance d’anamnèse. Donc je prends maintenant l’habitude de préparer ma séance la veille ou juste avant.
La liberté de m’éloigner des protocoles et de m’adapter à mes clients a éveillé en moi un sentiment de satisfaction et de confiance, de me sentir à ma juste place aussi lorsque je vois le client repartir de la séance en ayant répondu à ses attentes.
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