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Théorie de la résilience

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13 réponses à “Théorie de la résilience”

  1. corinne giraud

    Merci Nathalie. J’aime beaucoup l’image du Kintsugi !

  2. Valérie GOOCH

    “la douleur est inévitable, la souffrance est facultative” – je ne connaissais pas ce proverbe bouddhiste mais il est très parlant.

  3. Laure LAGRAVE

    J’aime bien l’idée de s’appuyer sur cette expérience pour faire les choses autrement par la suite, c’est une dose d’espoir !
    Effectivement j’ai déjà reçu une victime qui s’est présentée en me disant qu’elle se demandait si elle n’était pas folle et me demandant de valider qu’elle n’était pas folle. S’approprier de l’espace et se reconnecter à sa vie, définir ses besoins, ses valeurs et ses ressources personnelles me paraissent vraiment indispensable. Se respecter et se mettre au centre demande de la vigilance.
    Merci pour ce résumé.

  4. SILVIA GOUBIN

    Laisser de l’espace à la victime pour exprimer ce qu’elle vit, pour l’aider avec distance a s’approprier son vécu et enfin en prendre conscience de son historicité permettent elles toujours d’amener à la résilience aux personnes qui comme vous dites n’a pas cette capacité en soi de résilience.
    Y a t’il d’autres paramètres qui rentrent en ligne de mire dans l’apprentissage de cette résilience ?

    Merci

  5. Amélie Pernelle-Thuret

    L’importance de la mise en maux des mots et ce deuil qui s’opère de la relation. Comprendre que je ne peux pas agir sur l’autre, le changer mais que par contre je peux agir sur moi en décidant de me placer au centre, de me respecter et ainsi retrouver mon pouvoir.

  6. Martine GASGNIER

    Bonsoir Nathalie,
    J’ai une petite question. Ce cours dit que le traumatisme n’est pas une épreuve, mais une épreuve peut être traumatisante. Du coup, le cerveau fonctionnant au ralenti lors d’un traumatisme, c’est ce qui arrive à la suite d’une épreuve qui ne peut pas être gérée ?
    La résilience arrive après, lorsque différentes épreuves ont finalement été gérées. On en ressort plus fort, c’est bien cela ?
    Le traumatisme, lui, laisse des traces lorsqu’une même épreuve revient encore et encore (guerre, abandon …) ?
    On traverse une épreuve, on la gère, et on est dans la résilience, ou on en ressort traumatisé lorsqu’elle se répète, Merci pour votre aide.

    1. nathalie pochon riesen
      nathalie pochon riesen

      Bonsoir Martine : dans ce cours est dit :” Il n’y a pas un CV sans épreuve cachée derrière et on estime qu’une personne sur deux va connaître ce qu’on appelle un traumatisme, un événement si grave que la personne n’est plus en capacité de résoudre le problème, seule. Un traumatisme n’est pas une épreuve car dans un traumatisme, le cerveau est en agonie et fonctionne donc au ralenti, alors que dans l’épreuve, le cerveau reste allumé.

      IL est important de faire la différence entre épreuve et traumatisme ce qui n’est pas pareil.La résilience est un processus singulier et individuel propre à chaque individu dépendant de son histoire personnelle de son environnement et du contexte dans lequel il évolue (a évolué) ce n’est pas systèmqtique. la personne peut aussi tourner en boucle sans engager le processus de résilience.

  7. Patricia Pulido-Sergent

    Bonjour Nathalie,
    oui cela répond à mes questions et également ce qui a été abordé sur l’épigénétique.
    Merci

    1. nathalie pochon riesen
      nathalie pochon riesen

      Bonjour Patricia, Parfait et ravie que vos questions aient trouvé réponses. A votre disposition pour la suite.

  8. Estelle Gourdon
    Estelle Gourdon

    Je ne savais pas exactement ce qu’était la résilience. Merci pour cette explication

    1. nathalie pochon riesen
      nathalie pochon riesen

      Bonjour Estelle, De rien, n’hésitez pas à me poser des questions.

  9. Patricia Pulido-Sergent

    Bonjour Nathalie,
    Est ce que les caractéristiques d’un bourreau sont indélébiles ? Est ce que c’est inscrit dans les gènes?
    Merci

    1. nathalie pochon riesen
      nathalie pochon riesen

      Bonjour Patricia, Il me semblait avoir répondu à votre question. désolée. Dans la masterclass, vous avez un chapitre dédié à l’auteur des violences et à son mode de fonctionnement, également aux confusions de l’utilisation du terme de “pervers narcissique”. Dites-moi si cela peut déjà répondre à quelques unes de vos interrogations, la question est vaste. Ce que je peux répondre c’est que peu d’auteurs reconnaissent les faits et que peu font une démarche thérapeutique volontaire.

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