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46 réponses à “Pratique : Hors-jeu”
Bonjour,
Merci pour cette proposition de pratique très intéressante.
Il m’arrive de proposer des pratiques similaires en utilisant des figurines, mais je mesure l’importance de disposer d’espace et de pouvoir se déplacer, de disposer de sièges différents de ceux qu’on occupe habituellement peut-être aussi, idéalement, et je me questionne sur la faisabilité dans mon espace qui est un peu limité, je vais laisser mûrir …Merci pour cette découverte. 8 minutes me semblent trop rapide pour bien cerner le fonctionnement de cette pratique. Svp pouvez-vous nous transmettre une trame écrites avec plus d’informations ? Cela m’éclairerait beaucoup. Merci d’avance
Pratique à vraiment maîtriser avant de la proposer. J’aurais bien aimé avoir un aperçu de quelques extraits d’une séance telle que celle-ci. J’avoue que cela reste un peu abstrait pour le moment même si je comprends parfaitement l’intérêt de cet exercice pour vivre la triangulaire et en sortir.
bonsoir
bel exercice, pour l’aider et sortir de ce schéma triangulaire. une façon douce, bienveillante et je rajouterai accueillante pour la victime.
merciUn bel exercice à pratiquer soi pour mieux accompagner. La “mise en mouvement” dans le passage d’un rôle à l’autre me semble être une belle “mise en mouvement intérieure”
Exercices vraiment intéressant pour prendre du recul sur sa posture.
Cela dit j’ai des questions sur l’exercice :
Quand elle est sur la chaise du bourreau ou sauveur, la victime doit-elle observer son propre rôle en tant que bourreau ou sauveur (puisque les rôles sont glissants), ou bien doit-elle se mettre à la place du bourreau du sauveur actuel ? Peut-être les deux d’ailleurs ?
Je ne sais pas si ma question est très claire…
bonjour,
merci pour cet exercice, à pratiquer personnellement afin de vivre et ressentir avant de le proposer.
Ne pas forcer les choses et rester dans la bienveillance et l’adaptation, tout en accompagnant la personne dans la prise de conscience.Besoin de revenir sur cette pratique pour l’intégrer. Mais je perçois tout l’intérêt qu’elle présente.
Nathalie, je reviens sur l’une de vos réponses qui me questionne :
“Attention également car un bourreau dans les relations toxiques NE PREND JAMAIS CONSCIENCE de ses actes, pour lui c’est l’autre et toujours l’autre qui a un souci ! si une personne prend conscience e ses actes c’est que vous êtes dans une relation conflictuelle et que vous pouvez méditer et faire des choix pour améliorer la situation, elle a pour base un terreau sain de relations 1+1 = 3 ce qui n’est pas le cas des relations toxiques qui prennent racine dans un terreau de 1+1 = 1”
Avez-vous eu des personnes accompagnées, qui, par leur extraction de cette triangulaire toxique (amoureuse), ont pu induire chez le partenaire, la prise de conscience nécessaire pour sortir de cette relation toxique ?
Comme la victime alimente le phénomène, à partir du moment où elle ne plie plus et est alignée ++, avez-vous vu des couples se rééquilibrer ?
Merci pour votre attention, c’est une question qui me taraude car je ne trouve pas d’exemples concrets à l’issue salvatrice autour de moi. Je ne vois que le cas où le bourreau se remet en position de sauveur en tirant sur d’autres ficelles pour “attendrir” la victime.
Merci pour cette idée de pratique en mouvement en matérialisant bien des postures, qui par ailleurs peuvent sembler abstraites.
Pratique très intéressante et pertinente. J’aime beaucoup l’aspect dynamique, en mouvement. J’ai pu proposer ce type de pratique mais en passant par la visualisation. Le fait d’ajouter le mouvement est un réel plus. Merci beaucoup.
Merci pour votre commentaires et à disposition si besoin
merci pour cette pratique qui demande d’être mise en oeuvre.
j’ai un peu de difficultés à imaginer le positionnement dans le rôle du bourreau
j’ai ressenti le besoin, en écoutant cette pratique, de me concentrer aussi sur ma respiration
merciBonjour Nathalie,
Cette approche est vraiment intéressante, je vais la mettre en pratique plusieurs fois pour bien m’en imprégner !On sent dans les explications combien la solidité de l’alliance est à prendre en compte avant d’entamer ce chemin. Tout autant que prendre soin de soi pour ne pas participer à ces jeux psychologique et rester en accueil. J’imagine les émotions que cela peut susciter chez la victime qui revit ces moments avec intensité. Ca invite à respecter plus que jamais le temps psychologique propre à la personne. Je me vois totalement proposer cet exercice pour favoriser la prise de conscience dans la tête mais aussi dans le corps avec le vécu des émotions et le déplacement.
tout en douceur et dans l’écologie des personnes avant tout 😉
Merci beaucoup pour cette puissante pratique de mise en corps la triangulaire toxique.
En l’expérimentant sur une situation personnelle, je perçois combien la bienveillance et le respect de la personne sont essentiels car certaines prises de conscience peuvent être inconfortables. Au delà de ma propre posture vis-à-vis de la personne, j’aurais bien envie de l’inviter elle-même à accueillir ses prises de conscience en douceur, en mettant de côté toute forme de jugement vis-à-vis d’elle-même ou vis-à-vis de la partie d’elle qui juge.J’ai repris ce cours 2 fois et pris des notes pour bien intégrer le déroulé. Cela m’amène à des questions.
La sophrologue reste donc debout à l’extérieur du triangle, pendant toute la durée de la séance, ou est-elle juste observatrice et assise à certains moments (à l’extérieur, bien sûr) ?
Ce triangle étant potentiellement vécu au sein de l’entreprise, pourrait-on (en période normale), envisager
avec des petits ajustements, un jeu de rôles avec plusieurs personnes pour une prise de conscience d’une
situation donnée ? (je pense aux relations conflictuelles entre employés).
Cet exercice doit être très fort pour une conscience de l’état de victime, mais aussi parfois de bourreau ou de sauveur. Ce doit être une délivrance de se retrouver à l’extérieur avec des ressentis et des émotions libérateurs.
Merci !Bonjour Martine
Le/la sophrologue suit et est un guide… il n’est pas concerné par la situation… j’ai pour habitude de danser au rythme et avec les personnes à qui je propose cette pratique… je peux décider de rester à l’extérieur ou de me positionner si cela peut relancer la dynamique. Il s’agit en fait d’être dans l’humanité partagée de la pratique. NB surtout jamais de suggestions ou autres aux personnes que l’on accompagne juste des faits et de la reformulation.
En entreprise il est très intéressant, on peut alors demander à un groupe lors d’une formation de présenter une situation , je le fais régulièrement mais en ayant pris soin d’évaluer les enjeux, le public et les conséquences pour que le protocole ne serve pas à valider une organisation toxique. Cela aurait un effet amplifié et contraire au but du départ, les victimes se sentant alors piégées.
En gros il faut toujours se poser la question de l’adéquation d’un outil dans un contexte donné, et si on sent que l’outil va plus servir l’auteur que soutenir les victimes éventuelles il ne vaut mieux pas le pratiquer.
J’ai en mémoire une ou deux expériences où j’ai refusé clairement de le faire, sentant que dans les personnes présentes il y avait peut-être un risque que l’on glisse vers une justification de comportement toxiques de l’auteur qu’autre chose.
Attention également car un bourreau dans les relations toxiques NE PREND JAMAIS CONSCIENCE de ses actes, pour lui c’est l’autre et toujours l’autre qui a un souci ! si une personne prend conscience e ses actes c’est que vous êtes dans une relation conflictuelle et que vous pouvez méditer et faire des choix pour améliorer la situation, elle a pour base un terreau sain de relations 1+1 = 3 ce qui n’est pas le cas des relations toxiques qui prennent racine dans un terreau de 1+1 = 1
Je reste à votre disposition pour clarifier si besoin.
pardon médier et non méditer (4ème ligne avant la fin)
Bonjour, donc si j’ai bien compris, parfois c’est bien qu’on prévienne que cette séance dure 4 heure environ, afin de la faire comme vous l’avez expliqué ?
Bonjour Nour-el-Houda,
Oui exactement ou de la faire en plusieurs étapes prédéfinies pour que la personne puisse digérer les choses mais jamais moins de 90 minutes pour créer l’émergence de contenu.
Cet exercice doit être une vraie source de prise de conscience pour la victime , à utiliser avec grande précaution en effet , cela doit demander beaucoup de courage à la victime de reconnaitre quel rôle elle a endossé pendant la relation.
Bonjour Roxane. Le travail sur la responsabilité est essentiel et fait partie du cheminement existentiel.
Bonjour,
Merci c’est très enrichissant.
Cette séance doit être éprouvante pour prendre conscience de ce qu’il se joue , de ce qui émerge.
Je pense bien m’exercer au préalable en effet .Bonjour Catherine, la pratique est essentielle.
Méthode qui doit être puissante en effet !Il faut se l’approprier , j’ai essayé ….c’est un début ! a refaire !
Merci Nathalie .Par la répétition s’approprier les protocoles pour pouvoir les restituer en toute écologie et compétences.
Séance très puissante en effet. Avant de pratiquer j ‘envisage de la faire et refaire jusqu’à bien m’en imprégner. Merci.
Important en effet de prendre le temps pour se sentir à l’aise dans la pratique avant de la proposer en cabinet
Pratique intéressante merci
A pratiquer en toute écologie
Gratitude. Cette pratique doit être en effet très puissante. Je pense aussi la pratiquer d’abord avec une amie thérapeute avant de la proposer en séance, très intense et porteuse en tout cas.
Chère Emilie,
A entraîner… la répétition vivantielle permettant de viser l’excellence.
Hâte de tester cet exercice . En effet cela doit être un exercice très éprouvant mais je pense très efficace pour que la victime prenne vraiment conscience des différents rôle qu’elle a pu jouer .
Bonjour Clarisse, La prise de conscience de la réalité pour la victioe dit se faire de façon extrêmement délicate et enveloppante.
Cette pratique me rappelle un peu les constellations familiales. C’est effectivement très puissant et animer cet exercice doit demander de la pratique…
Si nous pratiquons cette séance en fractionnée, comment cela se passe t’il ? Nous refaisons ensemble la séance pour créer une nouvelle vivance ? Et ainsi de suite pour les prochaines séances ?
Cette pratique suppose que nous ayons déjà fait un chemin avec la personne au préalable avec des séances précédentes. Comme vous le dites, cette séance est intense et très puissante !
Merci pour cette belle découverte !
Bonjour Murielle,
Vous avez raison, cela peut ressembler aux constellations familiales sachant que nous sommes là dans la mise en lumière du triangle dramatique.
Je préfère bien-sûr que la personne se rende disponible pour une séance de 180 minutes afin que nous ayons le temps de tout poser et de faire une phénodescription qui souvent peut agir comme un révélateur immédiat, d’où l’importance d’avoir le temps avec la personne pour l’accompagner dans ces prises de conscience et l’accueil de toute cette vivante.
Si on doit la faire en fractionner, procéder par étape et poser le cadre de la séance par exemple en ne choisissant qu’une position celle du bourreau par exemple puis celle du sauveur puis celle de la victime… ainsi proposer à la personne des petits exercices entre les séances pour observer cette position dans son quotidien et quand elle l’occupe ou quand elle la remarque dans des situations qu’elle vit… toujours en gardant cela pour elle bien-sûr, car le travail. qu’elle fait la concerne elle et elle-seule.. .il est important de poser cela avant avec elle… elle ne peut pas changer les autres c’est bien seulement sur sa façon d’accueillir les choses pour elle et comme elle va choisir de les orienter qui est important.
J’estpère avoir répondu à votre question et je reste à votre entière disposition.
Quelle pratique ! je ne savais pas que l’on pouvait travailler de cette manière ! cela ouvre de nombreuses possibilités d’accompagnement.. Je suis prête à intégrer ce jeu dans mes futurs accompagnements. Merci !!! La visualisation des différentes places est souvent importantes pour prendre conscience de sa position.
Bonjour Estelle,
Il est important d’accompagner la victime en toute écologie, cette pratique est très puissante 😉
Belle manière de faire prendre conscience des différentes places que la victime peut avoir pris ainsi que celles prises par son bourreau. Pouvoir vivre les places – ou pas. Prise de conscience qui lui permettra de couper les liens et de retrouver sa liberté.
Bonjour Sandrine,
C’est exactement cela : “pouvoir vivre les places” et c’est aussi pour cela qu’il faut bien suivre le rythme de la personne et que l’accompagnement soit adéquat pour que les vérités qu’elle va découvrir reste dans son écologie.
Cet exercice doit être très remuant et permet cette distance avec ces 3 rôles du triangulaire dramatique.
Je pense le faire avec une amie sophrologue pour expérimenter avant de le proposer
MerciBonsoir Paricia, je me réjouis de votre feed back, tenez-moi au courant. Très bonne continuation.
Merci pour cet exercice qui sort des séances de sophro plus habituelles tout en l’utilisant subtilement. Hâte d’essayer !
Tenez moi au courant
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