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22 réponses à “Accueil du nouveau regard du module 1”
Merci !
Je retiens les notions de déconnexion et d’asphyxie, l’importance de réanimer et de réoxygéner, en douceur, avec finesse et délicatesse, mais aussi prudence, présence, écoute et attention bienveillante à l’expérience de l’autre afin de bien prendre en compte et respecter son rythme et ses besoins.
Je retiens aussi l’image très parlante de la publicité suisse.
Et aussi l’importance de faire simple et court, le fait d’avoir vécu les différentes pratiques m’a rappelé combien les techniques proposées peuvent être à la fois simples et puissantes.Douceur, prudence, écoute et observation : ces mots vont rester d’autant que l’image choisie est très parlante.
Vraiment parlante cette pub en Suisse. Ça m’aide à mieux comprendre ce que vivent les victimes de relations toxiques.
Et merci pour ce rappel important d’y aller en douceur, au rythme de la personne que l’on accompagne.
C’est vrai que cette pulsion de vie peut faire peur et que cela peut-être plus rassurant de rester hors de son corps…merci pour ce résumé de ce module 1 : clair concis et pertinent.
Je retiens la violence psychique sans bruit , qui gangrène
cela m’est bon de redire pour chaque relation, quelqu’elle soit: 1+1=3.
Je note l’importance de la respiration, très accompagnée avec des exercices simples et profonds de respiration
Je suis sensible aussi aux mots et aux phrases des pratiques: “conscience de ma vie, de ma précieuse vie””je suis libre à tout moment…de choisir ce qui est bon pour moi””un cocon de protection”quand je le désire, en toute liberté”Merci pour ce premier module très riche. Je note l’importance de s’adapter au rythme de la victime, d’être à l’écoute et prudent quand à ce “retour à la vie” par la respiration.
merci, vous terminez ce point accueil du nouveau regard par une bien belle expression “conscience enveloppante”. conseillez-vous à une victime de relation toxique d’être accompagnée également par un psychologue?
La (le) sophrologue doit être à l’écoute, observer les réactions et aller au rythme de la victime qui peut avoir peur de ce qu’elle va voir avec ce nouvel éclairage. Il faut aussi rester vigilante pour ne pas glisser avec elle, sous peine de ne plus pouvoir aider, entre autres effets non désirables.La respiration est primordiale chez une personne “asphyxiée”. Ce n’est plus de l’automatisme, c’est aussi une belle présence à soi, avec conscience de la corporalité. La pub me parle bien aussi.
C’est exactement cela … oui l’image de la pub est très parlante
Bonjour,
J’ai beaucoup apprécié l’explication ainsi que l’image qui est très représentative si bien !
merci 🙂J’ai bien retenu qu’il fallait être particulièrement attentive dans l’écoute et l’observation , apprivoisez la personne avec douceur , apportez des outils petit à petit pour que la personne se les appropris facilement.
Merci !parfait bonne continuation.
Merci, ces conseils sont extrêmement précieux et indispensables.
OUI à garder précieusement en tête
Merci pour ces explications importantes
Parfait Christine, pensez à poser vos questions si besoin.
Merci pour vos recommandations : elles sont très précieuses. Gratitude.
Chère Murielle, La posture du sophrologue est essentielle dans l’accompagnement de victimes de relations toxiques.
Vos mots sont forts et justes. Et je note combien notre rôle, notre posture est importante pour accompagner au mieux ces victimes. Etre enveloppante, à l’écoute et dans la douceur et le rythme de la personne.
Vos mots résonnent !
L’écoute et la bienveillance sont les maîtres-mots de cet accompagnement particulier. De plus, comme le dit si bien La Fontaine :”Rien ne sert de courir, il faut partir à point”.
Bonsoir Estelle, Effectivement, je dis également souvent, à force d’aller vite on dérape dans les virages… toutes ces prises de conscience et ces nouveaux apprentissages passent par l’apprentissage de la patience.
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