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9 réponses à “Que faire quand çà ne marche pas ? 2/ Coté patient”
Beaucoup de mes patients en sophro verbalisent leur volonté de changer; je vais y arriver , je veux être sereine ….et je leur explique ce n’est pas avec la volonté que le
Lâcher prise arrivera ( en toute bienveillance )Je retiendrai en autres, ces mots de votre part:
… car lorsque nous sommes dans la volonté
Nous sommes encore dans le contrôle
Derrière le contrôle des peurs …Merci
@ Catherine,
Merci de votre merci !
C’est mon souhaite le plus cher que ces prises de conscience vous permettent de lâcher prise avec plus de facilité, ainsi que d’accompagner vos clients dans des prises de conscience similaires..
Identifier ces pièges du mental permet de pouvoir travailler avec lui en toute sérénité (car le mental nous est indispensable, quand il reste à sa place !)
Vraiment très intéressant ce chapitre. Tellement important dans l’accompagnement de nos patients. Et naturellement, pour nous-même aussi.
En vous écoutant,je viens effectivement de comprendre certains de mes mécanismes notamment celui de vouloir comprendre ma pathologie depuis 12 ans en pensant que je pouvais être à l’origine de ma guérison., de l’arrêt de ces calculs hépatiques et de ces douleurs. Certes je peux l’être mais pas dans le vouloir mais bien dans le lâcher prise…@ Alice, effectivement, le “comprendre” nous met au niveau du mental, or c’est au niveau biologique que peuvent avoir lieu des transformations. L’EFT peut faciliter le processus en permettant de faire des liens via les émotions., Mais d’autres outils sont parfois nécessaire (décodage bio et sytèmique)
Merci Marie Odile pour votre réponse, j’avais banni le “être” sous toutes ces formes (sourire), je ne faisais pas de différence entre le verbe et l’auxiliaire, un champs des possibles encore plus immense !
vraiment très interessant, une ouverture sur le champs des possibles dans la pratique ..
je m’interroge toutefois sur certaines phrases données en exemple avec “même si je suis…..”, je pensais qu’il ne fallait surtout pas mettre le verbe être, y aurait il une différenciation a faire ?@ Sandrine :
Une seule phrase, et il ne s’agit pas du verbe être mais de l’auxiliaire ! 😉
Explorer une chose et son contraire, les barrières de protection érigée par notre cerveau, qu’est ce que je pourrais bien découvrir derrière…
En écoutant cette leçon, je ressens un fort écho. Derrière ce moi, dont tout mon entourage vante et apprécie ce “toujours calme ” qui rassure et apaise, n’y aurait-il pas de la colère. Cette émotion qui me dérange tant chez l’autre ?Ce cours est une vraie découverte qui va bien au-delà de ce que j’en attendais.
Très intéressant cet apport sur les bénéfices secondaires. Le questionnement sur ‘identité me paraît très intéressant aussi à mener avec certains patients qui viennent me voir pour un burn out et qui à un moment du travail n’avance plus précisément à cause de cela. Et je garde en tête cette phrase : et si le problème était une solution ?
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